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Un espoir avorté
La discorde est semée, le désagrément, les grimaces, les grommellements, puis les clameurs peignent d’une mauvaise couleur, à la senteur du fiel, ce pauvre ciel de la politique, lunatique, qui tire sur l’inconstance. Que n’a-t-on pas dit, après la tombée de cette foudre vite constituée en une loi organique, qui s’apprête, menue de ses grandes lignes, à s’attaquer de front, sans coup férir ? à la liste électorale de nos jeunes, la réduire à néant.
Une entaille, selon certains, adepte de l’ostentatoire et de coups de pique, faite aux avancées marquées, tant encensées, hissées au rang de cette dite ouverture sur un germe porteur d’avenir, sur une prétendue implication de nos jeunes pousses, à même de prendre la relève, porter leur expression, leur jeunesse, leur humeur dans l’hémicycle d’un parlement où se concocte les lois, où se tisse cette trame future du pays.
De la mauvaise foi ?
De ces jeunes qui se disent jetés aux oubliettes, de par la symbolique d’un acte, qui dit de ses intentions, qui lève toute ambiguïté sur le manichéisme de cette affaire de liste. Il sied ici que d’évoquer de ce dualisme manichéen, car il s’agit là de substituer une chose de par son contraire, de rayer plutôt que de revoir à la baisse un quota qui dérange.
Pourquoi ? les adeptes de cette éradication à la dure, vous avancent, ou presque, que cette dite liste est déjà un mauvais départ, revient dans leurs tics comme hérésie, comme une enfreinte à la déontologie, à une façon de faire qui aurait reçu la bénédiction de l’universel, car ailleurs vous dit-on cette liste de jeunes n’a pas lieu.
C’est donc qu’il faut s’aligner avec le reste, semblent-t-ils vous dire, et sans doute, vous vient-il à l’esprit que ce reste du monde, qui se profile comme norme, ne vous soit opposé que quand la mécanique locale grince, peine à convaincre. Mais pas que…et mal vous en prenne, si vous médisez de l’argumentaire, en le jugeant fébrile, mal en place, car, il est de mise, ici, dans cette arène sans état d’âme que, du moins, décorer, à défaut d’avoir, un arc avec des cordes multiples.
La discorde est semée, le désagrément, les grimaces, les grommellements, puis les clameurs peignent d’une mauvaise couleur, à la senteur du fiel, ce pauvre ciel de la politique, lunatique, qui tire sur l’inconstance. Que n’a-t-on pas dit, après la tombée de cette foudre vite constituée en une loi organique, qui s’apprête, menue de ses grandes lignes, à s’attaquer de front, sans coup férir ? à la liste électorale de nos jeunes, la réduire à néant.
Une entaille, selon certains, adepte de l’ostentatoire et de coups de pique, faite aux avancées marquées, tant encensées, hissées au rang de cette dite ouverture sur un germe porteur d’avenir, sur une prétendue implication de nos jeunes pousses, à même de prendre la relève, porter leur expression, leur jeunesse, leur humeur dans l’hémicycle d’un parlement où se concocte les lois, où se tisse cette trame future du pays.
De la mauvaise foi ?
De ces jeunes qui se disent jetés aux oubliettes, de par la symbolique d’un acte, qui dit de ses intentions, qui lève toute ambiguïté sur le manichéisme de cette affaire de liste. Il sied ici que d’évoquer de ce dualisme manichéen, car il s’agit là de substituer une chose de par son contraire, de rayer plutôt que de revoir à la baisse un quota qui dérange.
Pourquoi ? les adeptes de cette éradication à la dure, vous avancent, ou presque, que cette dite liste est déjà un mauvais départ, revient dans leurs tics comme hérésie, comme une enfreinte à la déontologie, à une façon de faire qui aurait reçu la bénédiction de l’universel, car ailleurs vous dit-on cette liste de jeunes n’a pas lieu.
C’est donc qu’il faut s’aligner avec le reste, semblent-t-ils vous dire, et sans doute, vous vient-il à l’esprit que ce reste du monde, qui se profile comme norme, ne vous soit opposé que quand la mécanique locale grince, peine à convaincre. Mais pas que…et mal vous en prenne, si vous médisez de l’argumentaire, en le jugeant fébrile, mal en place, car, il est de mise, ici, dans cette arène sans état d’âme que, du moins, décorer, à défaut d’avoir, un arc avec des cordes multiples.
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De l’instrumentalisation d’ une jeunesse bouc-émissaire ?
Pas que… Car vous dit-on, en vous mettant sous votre hargne un agencement de mots devenu à la mode, qui se décline seule et à l’occasion, qui est « rente politique ».
Qu’en gros, nos jeunes, seraient instrumentalisés pour sauver la face, servir de décor, de devanture, pour mieux vendre de ces dessous politiciens qui se traficoteraient en coulisses. Que de toute façon, nos jeunes ne feraient en rien partie prenante de ces instances décisionnelles où se fait l’essentiel d’un parti, que l’hypocrisie serait mauvaise maitresse, qu’à défaut de servir, ne feraient-ils que desservir, par ricochet, cette cause dite de la jeunesse.
Les contestataires de cette décision, qu’ils décrivent : à l’arrache, semblent rester coi devant de telles allégations jugées en rupture avec le bon sens, car vous disent-ils tout bêtement : Au lieu que de rectifier le tir, aider les jeunes à intégrer ce processus décisionnel au sein des partis, ne trouvons-nous pas mieux que de les évincer des listes électorales ? L’aberration, ici, pourrait être de taille…
Hicham Aboumerrouane
Pas que… Car vous dit-on, en vous mettant sous votre hargne un agencement de mots devenu à la mode, qui se décline seule et à l’occasion, qui est « rente politique ».
Qu’en gros, nos jeunes, seraient instrumentalisés pour sauver la face, servir de décor, de devanture, pour mieux vendre de ces dessous politiciens qui se traficoteraient en coulisses. Que de toute façon, nos jeunes ne feraient en rien partie prenante de ces instances décisionnelles où se fait l’essentiel d’un parti, que l’hypocrisie serait mauvaise maitresse, qu’à défaut de servir, ne feraient-ils que desservir, par ricochet, cette cause dite de la jeunesse.
Les contestataires de cette décision, qu’ils décrivent : à l’arrache, semblent rester coi devant de telles allégations jugées en rupture avec le bon sens, car vous disent-ils tout bêtement : Au lieu que de rectifier le tir, aider les jeunes à intégrer ce processus décisionnel au sein des partis, ne trouvons-nous pas mieux que de les évincer des listes électorales ? L’aberration, ici, pourrait être de taille…
Hicham Aboumerrouane