Avec la crise sanitaire qui perdure encore de nos jours, après deux ans révolus, entre variants alpha, delta…, et de nos jours avec le nouveau mutant du dernier variant qui s’installe, le monde entier perd la boule. Les Droits ne sont plus des Droits. Les libertés individuelles, définies comme des droits reconnus aux individus en tant que tels, quels que soient, leur pays, leur origine ethnique ou sociale, leur sexe, leurs croyances religieuses ou politiques seront bientôt d’un autre temps. Les principaux droits fondamentaux telle que dignité de la personne (droit de disposer de son corps, etc.) ; droit à la vie privée et à l'intimité ; droit et liberté d'aller et de venir ; droit de la propriété ; liberté d'opinion ; droit de grève…n’ont plus aucune signification de nos jours.
Si le premier droit fondamental est le droit à la dignité, il n’y a plus de dignité qui tienne dans ce contexte. Avec la Covid 19, toutes ces libertés individuelles sont « abolies », de cause à effet, à fortiori, depuis le droit à la vie privée jusqu’à celui du droit d’aller et de venir (librement).
Le droit d’aller et venir, ne serait-ce qu’au sein de son petit patelin est remis en question de nos jours. Le pass vaccinal, sujet polémique au niveau des pays développés, devient une obligation dès demain jeudi 21 octobre 2021 au Maroc, une date à marquer d’une pierre blanche.
Une nouvelle qui n’a pas plu à plus d’un, tellement le moment prévu est inopportun. Il est vrai que cette obligation était prévisible un jour ou l’autre, mais après les élections et avec l’arrivée d’un nouveau gouvernement, il fallait attendre un peu.
Mais surtout, prévenir les citoyens et citoyennes en donnant une date précise, sur le long terme et non du jour au lendemain. Et ce, pour ne pas assister à tout ce boucan au niveau des centres de vaccination : vaccinodrome de Salé, au niveau des chapiteaux de l’hôpital Avicenne de Rabat…Il y a de la pagaille partout, suite à cette nouvelle, sachant que les fonctionnaires du privé sont pénalisés pour tout retard (retenue du salaire).
Le jeudi va être un jeudi noir partout, au niveau des écoles, des administrations, du secteur privé. Le stress gagne du terrain pour les non-vaccinés. Le compte à rebours commence…
Comment va se passer la rentrée scolaire, si bien sûr, l’obligation est de mise dans les établissements du MEN ?
Les élèves non vaccinés, malades, avec motif sérieux, ou pas, vont-ils poursuivre leur année scolaire normalement ? Même problématique pour les étudiants ?
Qui fera l’inspection des pass vaccinaux ? Est-ce les agents de police, les agents de sécurité des différentes institutions, des gens particuliers ?
Va-t-on relayer cette corvée aux répétiteurs des établissements scolaires, aux enseignants… ? Quitte à perdre encore plus de temps après tout un mois de retard dû aux élections, aux vacances de l’Aid et bientôt ceux de la marche verte.
Les taxis et les autres moyens de transport, sont-ils en mesure de gérer cette problématique de pass vaccinaux ? Les gens vaccinés vont-ils arriver à l’heure ?
Sans pour autant oublier les pénalités qui devraient être dispensées « à tire d’aile », dès demain.
Y-aura-il une date butoir pour l’assouplissement de ces mesures en attendant que tout le monde soit vacciné ?
Autant de questions pour lesquelles on sera quittes dès demain, mais au travers desquelles la corruption battra son plein. Il fallait juste préméditer tous ces aléas en mesurant toutes les possibilités, impossibilités, conséquences fâcheuses et en optant, comme dans certains pays d’Asie, pour des appareils de décryptage de pass afin de faciliter le travail des opérateurs d’inspection.
Si le premier droit fondamental est le droit à la dignité, il n’y a plus de dignité qui tienne dans ce contexte. Avec la Covid 19, toutes ces libertés individuelles sont « abolies », de cause à effet, à fortiori, depuis le droit à la vie privée jusqu’à celui du droit d’aller et de venir (librement).
Le droit d’aller et venir, ne serait-ce qu’au sein de son petit patelin est remis en question de nos jours. Le pass vaccinal, sujet polémique au niveau des pays développés, devient une obligation dès demain jeudi 21 octobre 2021 au Maroc, une date à marquer d’une pierre blanche.
Une nouvelle qui n’a pas plu à plus d’un, tellement le moment prévu est inopportun. Il est vrai que cette obligation était prévisible un jour ou l’autre, mais après les élections et avec l’arrivée d’un nouveau gouvernement, il fallait attendre un peu.
Mais surtout, prévenir les citoyens et citoyennes en donnant une date précise, sur le long terme et non du jour au lendemain. Et ce, pour ne pas assister à tout ce boucan au niveau des centres de vaccination : vaccinodrome de Salé, au niveau des chapiteaux de l’hôpital Avicenne de Rabat…Il y a de la pagaille partout, suite à cette nouvelle, sachant que les fonctionnaires du privé sont pénalisés pour tout retard (retenue du salaire).
Le jeudi va être un jeudi noir partout, au niveau des écoles, des administrations, du secteur privé. Le stress gagne du terrain pour les non-vaccinés. Le compte à rebours commence…
Comment va se passer la rentrée scolaire, si bien sûr, l’obligation est de mise dans les établissements du MEN ?
Les élèves non vaccinés, malades, avec motif sérieux, ou pas, vont-ils poursuivre leur année scolaire normalement ? Même problématique pour les étudiants ?
Qui fera l’inspection des pass vaccinaux ? Est-ce les agents de police, les agents de sécurité des différentes institutions, des gens particuliers ?
Va-t-on relayer cette corvée aux répétiteurs des établissements scolaires, aux enseignants… ? Quitte à perdre encore plus de temps après tout un mois de retard dû aux élections, aux vacances de l’Aid et bientôt ceux de la marche verte.
Les taxis et les autres moyens de transport, sont-ils en mesure de gérer cette problématique de pass vaccinaux ? Les gens vaccinés vont-ils arriver à l’heure ?
Sans pour autant oublier les pénalités qui devraient être dispensées « à tire d’aile », dès demain.
Y-aura-il une date butoir pour l’assouplissement de ces mesures en attendant que tout le monde soit vacciné ?
Autant de questions pour lesquelles on sera quittes dès demain, mais au travers desquelles la corruption battra son plein. Il fallait juste préméditer tous ces aléas en mesurant toutes les possibilités, impossibilités, conséquences fâcheuses et en optant, comme dans certains pays d’Asie, pour des appareils de décryptage de pass afin de faciliter le travail des opérateurs d’inspection.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});