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Dans tous les cas, la quête est grande pour ces « barbituriques » qui ne se trouvent pas beaucoup dans les étalages des pharmacies, par rupture de stock, par usage outre-mesure, surtout pour la vitamine C, les multivitaminés et le zinc. Ce dernier est un oligo-élément inconnu juste il y a quelques mois dans le jargon marocain, il détient le record et devient précieux en cette période du Covid 19, faute au coronavirus. Selon les médecins, il est indispensable au métabolisme des nutriments (protéines, glucides et lipides) et participe à la synthèse de l'ADN.
Ce qui est intéressant à savoir, c’est que, effectivement, d’après les nutritionnistes, vitamines et micronutriments jouent un rôle énergétique et sont indispensables au bon fonctionnement de l'organisme. Ils jouent également un rôle important puisqu’ils aident le système immunitaire à lutter contre les infections virales (Rhume, Covid 19...). C’est d’ailleurs ce qui explique cette ruée.
Ce qui est intéressant à savoir, c’est que, effectivement, d’après les nutritionnistes, vitamines et micronutriments jouent un rôle énergétique et sont indispensables au bon fonctionnement de l'organisme. Ils jouent également un rôle important puisqu’ils aident le système immunitaire à lutter contre les infections virales (Rhume, Covid 19...). C’est d’ailleurs ce qui explique cette ruée.
Les détresses respiratoires, minimisées par les vitamines C et D
Selon une étude britannique dont les résultats ont été publiés dans la revue BMJ Nutrition , fin octobre 2020, l’apport en vitamines C et D est important pour la fonction respiratoire. Elles protègent le poumon.
D’ailleurs, c’est ce que tous les « covidiens » ont « gobé » parmi le protocole médicamenteux contre ce virus. Ce qui est prouvé dans l’étude, c’est que la carence en vitamine C peut altérer l’immunité. Cette vitamine favorise la production d’anticorps et pourrait limiter la durée des infections virales par le rhume.
Aussi, comme mis en exergue dans le Journal of Global Antimicrobial Resistance, les chercheurs américains avancent qu’ "Une forte dose de vitamine C peut, non seulement, améliorer le stress oxydatif et l'inflammation lors d'une infection par un coronavirus, mais supprimer la réplication virale et améliorer la défense immunitaire antivirale et la fonction surrénale".
La vitamine D, quant à elle, agit sur l'immunité innée, première ligne de défense contre les infections.
Il parait que d’autres oligoéléments, outre le zinc, dont le fer, le sélénium, le magnésium et le cuivre, jouent un rôle important et complémentaire dans le soutien du système immunitaire inné et adaptatif, et confèrent des résistances aux infections.
D’ailleurs, c’est ce que tous les « covidiens » ont « gobé » parmi le protocole médicamenteux contre ce virus. Ce qui est prouvé dans l’étude, c’est que la carence en vitamine C peut altérer l’immunité. Cette vitamine favorise la production d’anticorps et pourrait limiter la durée des infections virales par le rhume.
Aussi, comme mis en exergue dans le Journal of Global Antimicrobial Resistance, les chercheurs américains avancent qu’ "Une forte dose de vitamine C peut, non seulement, améliorer le stress oxydatif et l'inflammation lors d'une infection par un coronavirus, mais supprimer la réplication virale et améliorer la défense immunitaire antivirale et la fonction surrénale".
La vitamine D, quant à elle, agit sur l'immunité innée, première ligne de défense contre les infections.
Il parait que d’autres oligoéléments, outre le zinc, dont le fer, le sélénium, le magnésium et le cuivre, jouent un rôle important et complémentaire dans le soutien du système immunitaire inné et adaptatif, et confèrent des résistances aux infections.