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C 'est une bien inquiétante nouvelle révélée par une étude française concernant les vaccins Pfizer/Moderna
D ’après cette étude française, les vaccins à ARN messager comme Pfizer et Moderna augmentent le risque de myocardite et péricardite.
Une étude menée par l’Assurance maladie et l’Agence du médicament a étudié les situations de plus de 1830 patients âgées de 12 à 50 ans, hospitalisés en France pour des cas de myocardites ou de péricardite, entre le 15 mai et le 31 août.
L’étude publiée ce lundi 8 novembre, confirme le risque de myocardite et de péricardite après une injection de vaccin à ARN messager. Ce risque est qualifié de « peu fréquent » et concerne les vaccins Pfizer ou Moderna.
Les auteurs de l’étude indiquent cependant que le rapport bénéfices-risques n’est pas « remis en cause » . Le risque d’inflammation du cœur concernerait surtout le vaccin Moderna et surviendrait majoritairement dans les 7 jours suivant l’injection.
Les jeunes hommes sont les plus touchés
Les chercheurs ont comparé les risques de myocardite et de péricardite entre les personnes vaccinées et non vaccinées, du même sexe, du même âge et du même département. Il apparaît alors que 33 % des patients hospitalisés pour myocardites et 23 % pour péricardites avaient reçu une dose du vaccin Pfizer ou Moderna durant les trois semaines précédentes.
D’ après l’étude, le risque de développer une inflammation du cœur est plus élevé chez les hommes de moins de 30 ans. Une deuxième dose du vaccin Moderna serait à l’origine de 132 cas de myocardites supplémentaires par million de doses administrées. Parmi les femmes de moins de 30 ans, on compte 37 cas supplémentaires.
Il est important de noter qu’aucun décès n’a été constaté parmi les personnes hospitalisées pour ces affections. L’étude « confirme l’évolution clinique favorable des cas de myocardite et de péricardite suite à la vaccination
Avec Le Parisien
D ’après cette étude française, les vaccins à ARN messager comme Pfizer et Moderna augmentent le risque de myocardite et péricardite.
Une étude menée par l’Assurance maladie et l’Agence du médicament a étudié les situations de plus de 1830 patients âgées de 12 à 50 ans, hospitalisés en France pour des cas de myocardites ou de péricardite, entre le 15 mai et le 31 août.
L’étude publiée ce lundi 8 novembre, confirme le risque de myocardite et de péricardite après une injection de vaccin à ARN messager. Ce risque est qualifié de « peu fréquent » et concerne les vaccins Pfizer ou Moderna.
Les auteurs de l’étude indiquent cependant que le rapport bénéfices-risques n’est pas « remis en cause » . Le risque d’inflammation du cœur concernerait surtout le vaccin Moderna et surviendrait majoritairement dans les 7 jours suivant l’injection.
Les jeunes hommes sont les plus touchés
Les chercheurs ont comparé les risques de myocardite et de péricardite entre les personnes vaccinées et non vaccinées, du même sexe, du même âge et du même département. Il apparaît alors que 33 % des patients hospitalisés pour myocardites et 23 % pour péricardites avaient reçu une dose du vaccin Pfizer ou Moderna durant les trois semaines précédentes.
D’ après l’étude, le risque de développer une inflammation du cœur est plus élevé chez les hommes de moins de 30 ans. Une deuxième dose du vaccin Moderna serait à l’origine de 132 cas de myocardites supplémentaires par million de doses administrées. Parmi les femmes de moins de 30 ans, on compte 37 cas supplémentaires.
Il est important de noter qu’aucun décès n’a été constaté parmi les personnes hospitalisées pour ces affections. L’étude « confirme l’évolution clinique favorable des cas de myocardite et de péricardite suite à la vaccination
Avec Le Parisien