A lire ou à écouter en podcast :
Par Dr Anwar CHERKAOUI avec Dr Hachem TYAL, médecin-psychiatre / Président de la Fédération Nationale de la Santé Mentale ( FNSM)
Il y a la partie visible de l'iceberg qu'est le jeu spectaculaire et le plaisir pour les joueurs et pour les spectateurs.
Mais, il y a une partie cachée, très sous-estimée, presque un sujet tabou : les troubles mentaux chez les footballeurs professionnels.
De grands noms du football professionnel, dont la carrière a été stoppée ou ralentie à cause de troubles mentaux non diagnostiqués, non suivis en psychiatrie ou à cause de troubles psychiques négligés.
Plusieurs footballeurs professionnels ont vu leur carrière affectée par des troubles mentaux ou psychiques non diagnostiqués ou négligés.
L'un des cas les plus connus est celui de Robert Enke, gardien de but allemand, qui a lutté contre une dépression sévère avant de se suicider en 2009.
Sa mort a choqué le monde du football et mis en lumière l'importance de la santé mentale chez les athlètes de haut niveau.
Andrés Iniesta, la légende espagnole, a également parlé de sa lutte contre la dépression après le décès de son ami Dani Jarque en 2009.
Bien qu'il ait reçu de l'aide et surmonté ses difficultés, ses troubles mentaux ont temporairement affecté ses performances.
Paul Gascoigne, ancien international anglais, a eu une carrière marquée par des problèmes d'alcoolisme et des troubles mentaux non traités.
Ses difficultés ont largement entravé son potentiel et sa carrière.
Mais, il y a une partie cachée, très sous-estimée, presque un sujet tabou : les troubles mentaux chez les footballeurs professionnels.
De grands noms du football professionnel, dont la carrière a été stoppée ou ralentie à cause de troubles mentaux non diagnostiqués, non suivis en psychiatrie ou à cause de troubles psychiques négligés.
Plusieurs footballeurs professionnels ont vu leur carrière affectée par des troubles mentaux ou psychiques non diagnostiqués ou négligés.
L'un des cas les plus connus est celui de Robert Enke, gardien de but allemand, qui a lutté contre une dépression sévère avant de se suicider en 2009.
Sa mort a choqué le monde du football et mis en lumière l'importance de la santé mentale chez les athlètes de haut niveau.
Andrés Iniesta, la légende espagnole, a également parlé de sa lutte contre la dépression après le décès de son ami Dani Jarque en 2009.
Bien qu'il ait reçu de l'aide et surmonté ses difficultés, ses troubles mentaux ont temporairement affecté ses performances.
Paul Gascoigne, ancien international anglais, a eu une carrière marquée par des problèmes d'alcoolisme et des troubles mentaux non traités.
Ses difficultés ont largement entravé son potentiel et sa carrière.
Adriano, ancien attaquant brésilien, a vu sa carrière prometteuse s'effondrer à cause de la dépression et de l'abus d'alcool suite à la mort de son père.
Clarke Carlisle, ancien défenseur anglais, a lutté contre la dépression et a fait plusieurs tentatives de suicide.
Son cas a mis en avant les problèmes de santé mentale dans le football anglais.
Danny Rose, défenseur de Tottenham Hotspur et de l'équipe nationale anglaise, a révélé qu'il avait lutté contre la dépression après une série de blessures et de problèmes personnels.
Son honnêteté a aidé à ouvrir la discussion sur la santé mentale dans le sport.
David Bentley, ancien joueur d'Arsenal et de Tottenham, a pris sa retraite prématurément à 29 ans en raison de troubles psychiques et d'un manque de plaisir dans le football.
Rien ne filtre au Maroc. Et il n'y a pas d'études statistiques ou épidémiologiques sur les troubles psychiques ou sur le statut psychologique des joueurs professionnels marocains.
Ces exemples montrent l'importance de la prise en charge des troubles mentaux chez les athlètes de haut niveau.
Les stigmates entourant ces problèmes ont souvent empêché ces joueurs de chercher l'aide nécessaire, soulignant la nécessité d'une meilleure sensibilisation et de soutiens adaptés dans le milieu sportif.
*Appel aux autorités médicales sportives marocaines*
Le Maroc a de grandes échéances devant lui, la Coupe d'Afrique 2025 et la Coupe du Monde de football 2030.
Oui, pour la médecine du sport qui s'intéresse à tous les bilans organiques et biologiques de nos grands footballeurs marocains.
C'est indispensable et très utile pour la performance sportive.
Mais, un bilan psychologique est indispensable pour un meilleur rendement sportif et surtout pour sauver un champion d'un déséquilibre psychique latent ou caché, qu'on peut prendre en charge efficacement sur le plan thérapeutique.
Par Dr Anwar CHERKAOUI avec Dr Hachem TYAL, médecin-psychiatre / Président de la Fédération Nationale de la Santé Mentale ( FNSM)
Clarke Carlisle, ancien défenseur anglais, a lutté contre la dépression et a fait plusieurs tentatives de suicide.
Son cas a mis en avant les problèmes de santé mentale dans le football anglais.
Danny Rose, défenseur de Tottenham Hotspur et de l'équipe nationale anglaise, a révélé qu'il avait lutté contre la dépression après une série de blessures et de problèmes personnels.
Son honnêteté a aidé à ouvrir la discussion sur la santé mentale dans le sport.
David Bentley, ancien joueur d'Arsenal et de Tottenham, a pris sa retraite prématurément à 29 ans en raison de troubles psychiques et d'un manque de plaisir dans le football.
Rien ne filtre au Maroc. Et il n'y a pas d'études statistiques ou épidémiologiques sur les troubles psychiques ou sur le statut psychologique des joueurs professionnels marocains.
Ces exemples montrent l'importance de la prise en charge des troubles mentaux chez les athlètes de haut niveau.
Les stigmates entourant ces problèmes ont souvent empêché ces joueurs de chercher l'aide nécessaire, soulignant la nécessité d'une meilleure sensibilisation et de soutiens adaptés dans le milieu sportif.
*Appel aux autorités médicales sportives marocaines*
Le Maroc a de grandes échéances devant lui, la Coupe d'Afrique 2025 et la Coupe du Monde de football 2030.
Oui, pour la médecine du sport qui s'intéresse à tous les bilans organiques et biologiques de nos grands footballeurs marocains.
C'est indispensable et très utile pour la performance sportive.
Mais, un bilan psychologique est indispensable pour un meilleur rendement sportif et surtout pour sauver un champion d'un déséquilibre psychique latent ou caché, qu'on peut prendre en charge efficacement sur le plan thérapeutique.
Par Dr Anwar CHERKAOUI avec Dr Hachem TYAL, médecin-psychiatre / Président de la Fédération Nationale de la Santé Mentale ( FNSM)