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Ce document met en lumière cinq menaces majeures qui influenceront l'économie du Maroc cette année. En premier lieu, la crainte d'une « récession ou contraction économique » alarme les spécialistes, suivie de près par la menace de l'« inflation ».
La « rareté de l'eau » occupe la troisième position des inquiétudes, selon les conclusions de l'« enquête d'opinion des cadres » menée en septembre 2023, intégrée dans l'étude sur les risques mondiaux.
De plus, le Maroc est confronté à une « disparité de richesse et de revenu » ainsi qu'au danger du « chômage », cinquième et dernier obstacle majeur.
Cette version confirme la tendance notée en 2023, mettant en avant que les risques « économiques » dominent les préoccupations de cette année, reléguant au second plan les risques « sociaux » et « environnementaux ».
À l'échelle internationale, la 19ème édition du rapport souligne un environnement de changement technologique rapide et d'incertitude économique, alors que le monde fait face à une double crise redoutée : la crise climatique et la crise conflictuelle. La présence de tensions géopolitiques latentes, combinée à l'émergence de conflits actifs dans plusieurs zones, contribue à l'instabilité de l'ordre mondial, caractérisée par des narrations polarisées, une perte de confiance et un sentiment d'insécurité, indique la source.
Parallèlement, les pays sont confrontés aux conséquences de phénomènes climatiques extrêmes sans précédent, tandis que les efforts d'adaptation au changement climatique et les ressources disponibles ne sont pas suffisants face à la nature, l'étendue et l'intensité des phénomènes climatiques actuels.
Les pressions sur le coût de la vie persistent, dans un contexte d'inflation continue, de taux d'intérêt élevés et d'une incertitude économique qui se prolonge dans de nombreuses régions du monde. Les nouvelles alarmantes traversent les frontières, étant diffusées de manière régulière et étendue, engendrant une frustration croissante vis-à-vis de la situation actuelle.
Globalement, cela engendre un environnement favorable à l'expansion de risques accrus, tels que la désinformation et la mésinformation, au sein de sociétés déjà affaiblies politiquement et économiquement ces dernières années.
La « rareté de l'eau » occupe la troisième position des inquiétudes, selon les conclusions de l'« enquête d'opinion des cadres » menée en septembre 2023, intégrée dans l'étude sur les risques mondiaux.
De plus, le Maroc est confronté à une « disparité de richesse et de revenu » ainsi qu'au danger du « chômage », cinquième et dernier obstacle majeur.
Cette version confirme la tendance notée en 2023, mettant en avant que les risques « économiques » dominent les préoccupations de cette année, reléguant au second plan les risques « sociaux » et « environnementaux ».
À l'échelle internationale, la 19ème édition du rapport souligne un environnement de changement technologique rapide et d'incertitude économique, alors que le monde fait face à une double crise redoutée : la crise climatique et la crise conflictuelle. La présence de tensions géopolitiques latentes, combinée à l'émergence de conflits actifs dans plusieurs zones, contribue à l'instabilité de l'ordre mondial, caractérisée par des narrations polarisées, une perte de confiance et un sentiment d'insécurité, indique la source.
Parallèlement, les pays sont confrontés aux conséquences de phénomènes climatiques extrêmes sans précédent, tandis que les efforts d'adaptation au changement climatique et les ressources disponibles ne sont pas suffisants face à la nature, l'étendue et l'intensité des phénomènes climatiques actuels.
Les pressions sur le coût de la vie persistent, dans un contexte d'inflation continue, de taux d'intérêt élevés et d'une incertitude économique qui se prolonge dans de nombreuses régions du monde. Les nouvelles alarmantes traversent les frontières, étant diffusées de manière régulière et étendue, engendrant une frustration croissante vis-à-vis de la situation actuelle.
Globalement, cela engendre un environnement favorable à l'expansion de risques accrus, tels que la désinformation et la mésinformation, au sein de sociétés déjà affaiblies politiquement et économiquement ces dernières années.