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Intolérable ! C’est ce que pensent les polisariens de la 15ème édition du rallye Africa Eco Race, plus communément appelé le « Monaco-Dakar » et traversant le Maroc de Nador, au Nord, jusqu’à Lagouira, au Sud, qu’ils accusent de concurrence déloyale.
Qui roule le plus vite, demandent les polisariens, les participants au rallye Monaco-Dakar ou les miliciens du polisario fuyant les drones des Forces Royales Air (FRA) ?
Les polisariens se sentent vraiment outrés. Ils n’ont même pas été invités à participer au dit rallye. Le reproche qui leur est adressé, selon lequel les polisariens puent la mort, les a encore plus blessés. Assassiner des innocents, comme ils l’ont fait avec Hamza Jeaifri, le 29 octobre à Smara, n’est-ce pas leur raison d’être ?
De fait, les polisariens ont menacé les organisateurs et les participants au fameux rallye, dans la durée s’étale du 30 décembre 2023 au 14 janvier 2024. Si ces derniers venaient à oser traverser les provinces du Sud du royaume, les polisariens s’en plaindraient auprès des drones des FRA.
Les polisariens étaient pourtant très heureux d’avoir reçu la visite du chef d’Etat algérien, Abdelmajid Tebbounne, qui s’est rendu dans leur capitale, Tindouf, le 30 novembre. Ils lui ont même réclamé l’ouverture d’une ambassade d’Algérie, à titre de reconnaissance officielle de leur mainmise sur Lahmada de Tindouf.
Sauf que le président Tebbounne n’est pas du tout content et l’a fait savoir aux polisariens.
Des mercenaires qui coûtent plus d’un milliard de dollars par an à l’Algérie, sans avoir réussi, après près d’un demi-siècle d’investissement à fonds perdus, à voler ne serait-ce qu’un centimètre de bout de terrain aux Marocains, c’est indéniablement une mauvaise affaire.
Ce sont les drones des FRA qui nous arrosent d’insecticides se sont lamentés les polisariens, plus aptes à détourner les aides humanitaires qu’à se battre contre les soldats marocains. Mais rien n’y fit.
Les polisariens ont alors proposé au président Tebbounne de piller ensemble la mine de fer de Ghara Jebilet, ce qui l’a encore mis plus en colère.
Personne à Alger n’aime se faire rappeler que l’exploitation de ladite mine de fer a fait l’objet d’une convention de mise en valeur commune signée avec le Maroc en 1972.
S’il y a une chose dont un voleur a le plus horreur, c’est de se faire voler. Et par qui ? Ses propres mercenaires !
Dépités, les polisariens n’ont eu d’autres choix, pour se défouler, que de s’entretuer entre bandes de trafiquants rivales.
S’ils ne peuvent pas exporter l’insécurité dans les provinces du Sud du Maroc, alors ils vont l’exercer dans leurs propres camps. Au moins, ils peuvent être sûrs d’obtenir un résultat garanti sur facture.
Pour distraire un peu les habitants des camps de Tindouf, la direction du polisario a proposé d’organiser une course de vitesse pour ses miliciens à bord de véhicules tout terrain, qui consiste à rouler plus rapidement qu’un missile tiré par un drone marocain.
Aux dernières nouvelles, on ne se bouscule pas, dans les rangs des polisariens, pour se faire inscrire sur la liste des participants. Ils préfèrent suivre sur leurs iphones, en sirotant tranquillement des verres de thé, le déroulement des différentes étapes du rallye Monaco-Dakar.
Avec un brin de jalousie quand même. Mettez un polisarien à bord d’un véhicule tout terrain, avec un drone marocain aux trousses, et ils verront, ces pilotes amateurs étrangers, ce que c’est que d’avoir le pied au plancher !
Qui roule le plus vite, demandent les polisariens, les participants au rallye Monaco-Dakar ou les miliciens du polisario fuyant les drones des Forces Royales Air (FRA) ?
Les polisariens se sentent vraiment outrés. Ils n’ont même pas été invités à participer au dit rallye. Le reproche qui leur est adressé, selon lequel les polisariens puent la mort, les a encore plus blessés. Assassiner des innocents, comme ils l’ont fait avec Hamza Jeaifri, le 29 octobre à Smara, n’est-ce pas leur raison d’être ?
De fait, les polisariens ont menacé les organisateurs et les participants au fameux rallye, dans la durée s’étale du 30 décembre 2023 au 14 janvier 2024. Si ces derniers venaient à oser traverser les provinces du Sud du royaume, les polisariens s’en plaindraient auprès des drones des FRA.
Les polisariens étaient pourtant très heureux d’avoir reçu la visite du chef d’Etat algérien, Abdelmajid Tebbounne, qui s’est rendu dans leur capitale, Tindouf, le 30 novembre. Ils lui ont même réclamé l’ouverture d’une ambassade d’Algérie, à titre de reconnaissance officielle de leur mainmise sur Lahmada de Tindouf.
Sauf que le président Tebbounne n’est pas du tout content et l’a fait savoir aux polisariens.
Des mercenaires qui coûtent plus d’un milliard de dollars par an à l’Algérie, sans avoir réussi, après près d’un demi-siècle d’investissement à fonds perdus, à voler ne serait-ce qu’un centimètre de bout de terrain aux Marocains, c’est indéniablement une mauvaise affaire.
Ce sont les drones des FRA qui nous arrosent d’insecticides se sont lamentés les polisariens, plus aptes à détourner les aides humanitaires qu’à se battre contre les soldats marocains. Mais rien n’y fit.
Les polisariens ont alors proposé au président Tebbounne de piller ensemble la mine de fer de Ghara Jebilet, ce qui l’a encore mis plus en colère.
Personne à Alger n’aime se faire rappeler que l’exploitation de ladite mine de fer a fait l’objet d’une convention de mise en valeur commune signée avec le Maroc en 1972.
S’il y a une chose dont un voleur a le plus horreur, c’est de se faire voler. Et par qui ? Ses propres mercenaires !
Dépités, les polisariens n’ont eu d’autres choix, pour se défouler, que de s’entretuer entre bandes de trafiquants rivales.
S’ils ne peuvent pas exporter l’insécurité dans les provinces du Sud du Maroc, alors ils vont l’exercer dans leurs propres camps. Au moins, ils peuvent être sûrs d’obtenir un résultat garanti sur facture.
Pour distraire un peu les habitants des camps de Tindouf, la direction du polisario a proposé d’organiser une course de vitesse pour ses miliciens à bord de véhicules tout terrain, qui consiste à rouler plus rapidement qu’un missile tiré par un drone marocain.
Aux dernières nouvelles, on ne se bouscule pas, dans les rangs des polisariens, pour se faire inscrire sur la liste des participants. Ils préfèrent suivre sur leurs iphones, en sirotant tranquillement des verres de thé, le déroulement des différentes étapes du rallye Monaco-Dakar.
Avec un brin de jalousie quand même. Mettez un polisarien à bord d’un véhicule tout terrain, avec un drone marocain aux trousses, et ils verront, ces pilotes amateurs étrangers, ce que c’est que d’avoir le pied au plancher !