Un phénomène qui semble augmenter avec le temps
Une étude récente a révélé une découverte inquiétante : des microparticules de plastique ont été trouvées dans les tissus cérébraux humains.
Cette découverte s'inscrit dans une série de recherches démontrant la présence croissante de ces particules à travers divers organes du corps humain.
Conduite par des chercheurs de l’Université du Nouveau-Mexique, cette étude souligne un phénomène préoccupant : l'accumulation de microplastiques dans le cerveau semble augmenter avec le temps.
Cette découverte s'inscrit dans une série de recherches démontrant la présence croissante de ces particules à travers divers organes du corps humain.
Conduite par des chercheurs de l’Université du Nouveau-Mexique, cette étude souligne un phénomène préoccupant : l'accumulation de microplastiques dans le cerveau semble augmenter avec le temps.
Une infiltration de plus en plus préoccupante
Les microplastiques, ces minuscules fragments de plastique provenant de divers produits de consommation et déchets, ont envahi tous les aspects de notre environnement, des sommets des montagnes aux profondeurs des océans, et maintenant, jusqu’à nos organes internes.
Le dernier domaine touché est le cerveau humain, où ces particules ont réussi à traverser la barrière hémato-encéphalique, un obstacle censé protéger le cerveau des substances nocives circulant dans le sang.
L'étude a révélé que les concentrations de microplastiques dans les tissus cérébraux sont jusqu'à 20 fois plus élevées que dans d'autres organes étudiés, tels que le foie et les reins.
Ce constat alarmant s’accompagne d’une augmentation significative par rapport aux données collectées lors des autopsies de 2016, avec une concentration de plastique atteignant 0,5 % du poids des échantillons cérébraux.
Le dernier domaine touché est le cerveau humain, où ces particules ont réussi à traverser la barrière hémato-encéphalique, un obstacle censé protéger le cerveau des substances nocives circulant dans le sang.
L'étude a révélé que les concentrations de microplastiques dans les tissus cérébraux sont jusqu'à 20 fois plus élevées que dans d'autres organes étudiés, tels que le foie et les reins.
Ce constat alarmant s’accompagne d’une augmentation significative par rapport aux données collectées lors des autopsies de 2016, avec une concentration de plastique atteignant 0,5 % du poids des échantillons cérébraux.
Des implications pour la santé inconnues mais inquiétantes
Bien que les implications à long terme de cette accumulation de microplastiques dans le cerveau restent encore à déterminer, les chercheurs signalent déjà des préoccupations quant à leur impact potentiel sur la santé.
Les études antérieures ont montré que ces particules peuvent causer des dommages cellulaires.
Dans cette étude, les scientifiques ont observé une concentration plus élevée de plastique dans les cerveaux des personnes décédées de démence par rapport à ceux des individus en bonne santé, bien qu'aucun lien de causalité n'ait encore été établi.
Cette découverte ajoute une nouvelle dimension à la prise de conscience croissante concernant la pollution plastique.
Les microplastiques ont déjà été détectés dans divers environnements, de la mer Méditerranée aux sommets des Pyrénées, ainsi que dans des aliments courants.
L’omniprésence de ces particules dans notre environnement et maintenant dans nos organes internes souligne l’urgence de mesures plus strictes pour limiter l’exposition et comprendre les effets à long terme de ces contaminants sur notre santé.
Les études antérieures ont montré que ces particules peuvent causer des dommages cellulaires.
Dans cette étude, les scientifiques ont observé une concentration plus élevée de plastique dans les cerveaux des personnes décédées de démence par rapport à ceux des individus en bonne santé, bien qu'aucun lien de causalité n'ait encore été établi.
Cette découverte ajoute une nouvelle dimension à la prise de conscience croissante concernant la pollution plastique.
Les microplastiques ont déjà été détectés dans divers environnements, de la mer Méditerranée aux sommets des Pyrénées, ainsi que dans des aliments courants.
L’omniprésence de ces particules dans notre environnement et maintenant dans nos organes internes souligne l’urgence de mesures plus strictes pour limiter l’exposition et comprendre les effets à long terme de ces contaminants sur notre santé.