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C'était Elisabeth II
Pour les funérailles du siècle qui se tiennent ce lundi à Londres , la Grande -Bretagne entend dire Adieu à sa Reine et lui rendre hommage de la plus belle des manières.
Pour cela, un dispositif inédit et jamais vu et des mesures de sécurité draconiennes ont été adoptées afin de mettre sur pied un plan élaboré depuis des décennies déjà pour le décès de la Reine.
Outre le protocole Royal, Londres accueille une centaine de chefs d'états et deux mille invités sont prévus à la Westminster Abbey où aura lieu la cérémonie funéraire.
Il faut dire que la capitale anglaise reçoit tous ceux qui comptent ou presque dans le monde aujourd'hui.
Des recommandations très strictes ont été adressées aux chefs d'états invités , comme celle de ne pas arriver en jet privé ou en hélicoptère et d'utiliser les bus prévus par l'organisation pour se rendre à l'abbaye de Westminster.
Et comme des chefs d'états ont refusé de s'astreindre à ce protocole et à monter dans les bus , des exceptions ont été permises - pour raisons de sécurité - et ainsi Joe Biden et Emmanuel Macron se rendront sur place en fonction de l'organisation de leur propre services de sécurité.
En attendant, les renseignements et les services de sécurité britanniques sont débordés , sur le qui- vive et craignent d'être dépassés par les foules qui vont s' amasser le long du trajet qu'empruntera le cortège funèbre.
Effectivement , il est prévu que la dépouille de Elisabeth II quitte l'abbaye de Westminster pour se diriger vers sa dernière demeure au château de Windsor s'il plaît à Dieu.
L'agacement et l'énervement des services de sécurité britanniques laissent penser que ces derniers redoutent affreusement une attaque terroriste .
C'est juste une probabilité prise très au sérieux à Londres car il se pourrait que l'ombre d'une menace terroriste plane sur cette cérémonie de funérailles .
Pour les funérailles du siècle qui se tiennent ce lundi à Londres , la Grande -Bretagne entend dire Adieu à sa Reine et lui rendre hommage de la plus belle des manières.
Pour cela, un dispositif inédit et jamais vu et des mesures de sécurité draconiennes ont été adoptées afin de mettre sur pied un plan élaboré depuis des décennies déjà pour le décès de la Reine.
Outre le protocole Royal, Londres accueille une centaine de chefs d'états et deux mille invités sont prévus à la Westminster Abbey où aura lieu la cérémonie funéraire.
Il faut dire que la capitale anglaise reçoit tous ceux qui comptent ou presque dans le monde aujourd'hui.
Des recommandations très strictes ont été adressées aux chefs d'états invités , comme celle de ne pas arriver en jet privé ou en hélicoptère et d'utiliser les bus prévus par l'organisation pour se rendre à l'abbaye de Westminster.
Et comme des chefs d'états ont refusé de s'astreindre à ce protocole et à monter dans les bus , des exceptions ont été permises - pour raisons de sécurité - et ainsi Joe Biden et Emmanuel Macron se rendront sur place en fonction de l'organisation de leur propre services de sécurité.
En attendant, les renseignements et les services de sécurité britanniques sont débordés , sur le qui- vive et craignent d'être dépassés par les foules qui vont s' amasser le long du trajet qu'empruntera le cortège funèbre.
Effectivement , il est prévu que la dépouille de Elisabeth II quitte l'abbaye de Westminster pour se diriger vers sa dernière demeure au château de Windsor s'il plaît à Dieu.
L'agacement et l'énervement des services de sécurité britanniques laissent penser que ces derniers redoutent affreusement une attaque terroriste .
C'est juste une probabilité prise très au sérieux à Londres car il se pourrait que l'ombre d'une menace terroriste plane sur cette cérémonie de funérailles .
Qui sait, peut- être que Vladimir Poutine a pensé à un feu d'artifice nucléaire pour l'occasion !?
Pour les services de Sa Majesté , certes il a toujours été plus facile de réaliser des opérations en Irak , voire d'envoyer dans le plus grand secret des mercenaires et des assassins faire exploser des innocents dans un pays lointain.
Mais, lorsqu'on se retrouve face à une menace invisible et sournoise on se découvre tout d'un coup une étrange et soudaine vulnérabilité.
Pour le reste , la famille Royale a profité de cette disparition et de la mise en scène parfaitement orchestrée pour distiller des images d'union , de communion et d'harmonie avec les citoyens.
On a vu ainsi le Roi Charles III et le prince William aller à la rencontre des foules , serrer des mains et remercier chaleureusement tous ceux qui ont exprimé leur sympathie, leur compassion et leur amitié à la famille Royale.
Au final, comme dans toutes les monarchies le mot d'ordre est levé : Elisabeth est morte , vive Charles III.
Et comme depuis quelques mois , les britanniques boivent la soupe à la grimace, avec une économie au ralenti, des grèves à répétition et une crise post- Brexit auquel le gouvernement n'arrive pas à trouver des solutions, le Roi Charles d'Angleterre devra très vite s'atteler à la tâche pour remettre son Royaume sur de bons rails.
God save the King .
Pour les services de Sa Majesté , certes il a toujours été plus facile de réaliser des opérations en Irak , voire d'envoyer dans le plus grand secret des mercenaires et des assassins faire exploser des innocents dans un pays lointain.
Mais, lorsqu'on se retrouve face à une menace invisible et sournoise on se découvre tout d'un coup une étrange et soudaine vulnérabilité.
Pour le reste , la famille Royale a profité de cette disparition et de la mise en scène parfaitement orchestrée pour distiller des images d'union , de communion et d'harmonie avec les citoyens.
On a vu ainsi le Roi Charles III et le prince William aller à la rencontre des foules , serrer des mains et remercier chaleureusement tous ceux qui ont exprimé leur sympathie, leur compassion et leur amitié à la famille Royale.
Au final, comme dans toutes les monarchies le mot d'ordre est levé : Elisabeth est morte , vive Charles III.
Et comme depuis quelques mois , les britanniques boivent la soupe à la grimace, avec une économie au ralenti, des grèves à répétition et une crise post- Brexit auquel le gouvernement n'arrive pas à trouver des solutions, le Roi Charles d'Angleterre devra très vite s'atteler à la tâche pour remettre son Royaume sur de bons rails.
God save the King .
Hafid Fassi Fihri