En effet, en cette période où la pandémie atteint son point culminant, la contagion bat aussi son plein auprès des étudiants qui, à défaut de présenter un test PCR, se voient obligés de venir tous les jours aux cours, et par la même occasion, propager la contagion auprès des amis, des professeurs, du personnel administratif, ….et de la famille.
Or, les étudiants n’ont pas les moyens de se faire tester après chaque contact avec un « covidien » et ainsi donner un justificatif à leur absence. Ce qui fait qu’ils se présentent aux cours, tant bien que mal, même s’ils sont cas-contact, et les cas se multiplient jusqu’à fermeture de l’établissement.
Ce qui est incompréhensible, c’est que ni le ministère de la Santé, ni le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation ne font quelque chose pour remédier à cette situation qui ne fait qu’aggraver la crise sanitaire au Maroc. Il fallait, comme ce qui se fait en France et dans d’autres pays étrangers, de prendre le mal à la racine, et d’implanter au niveau des établissements, des centres ou points de dépistage du virus. Autrement dit, il faut mettre à la disposition des étudiants, au sein même de leur milieu estudiantin, des tests PCR ainsi que des pôles de vaccination. Même les médicaments sont à dispenser au sein même des établissements universitaires.
Un test PCR au niveau de l’école peut préserver de bien d’aléas et de contagiosité omicron, sachant que les étudiants ne pourront plus venir aux cours ainsi malades et propager le virus. Ils auront par la même occasion le certificat médical passible d’arrêt de cours. On fait ainsi d’une pierre deux coups.
Le Gouvernement ne cesse d’alerter et de nous rabâcher les oreilles sur les gestes barrière, la distanciation, le port du masque, le vaccin et autres gestes sécuritaires et préventifs qui deviennent l’apanage des citoyens. Il faudrait faire preuve de bonne volonté, dans le cadre de la mise en place d’infrastructures de proximité, afin de faciliter la tâche aux étudiants les plus rebelles.
Si le Maroc est considéré comme l’un des premiers et des meilleurs pays qui ont su minimiser la propagation du virus dans les meilleurs délais et réussi sa campagne vaccinale, il y a de petites choses pourtant utiles qui passent inaperçues. L’accès aux tests et aux vaccins, au niveau des établissements universitaires, est aussi témoin d’une bonne gestion de la pandémie.
A bon entendant !
Or, les étudiants n’ont pas les moyens de se faire tester après chaque contact avec un « covidien » et ainsi donner un justificatif à leur absence. Ce qui fait qu’ils se présentent aux cours, tant bien que mal, même s’ils sont cas-contact, et les cas se multiplient jusqu’à fermeture de l’établissement.
Ce qui est incompréhensible, c’est que ni le ministère de la Santé, ni le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation ne font quelque chose pour remédier à cette situation qui ne fait qu’aggraver la crise sanitaire au Maroc. Il fallait, comme ce qui se fait en France et dans d’autres pays étrangers, de prendre le mal à la racine, et d’implanter au niveau des établissements, des centres ou points de dépistage du virus. Autrement dit, il faut mettre à la disposition des étudiants, au sein même de leur milieu estudiantin, des tests PCR ainsi que des pôles de vaccination. Même les médicaments sont à dispenser au sein même des établissements universitaires.
Un test PCR au niveau de l’école peut préserver de bien d’aléas et de contagiosité omicron, sachant que les étudiants ne pourront plus venir aux cours ainsi malades et propager le virus. Ils auront par la même occasion le certificat médical passible d’arrêt de cours. On fait ainsi d’une pierre deux coups.
Le Gouvernement ne cesse d’alerter et de nous rabâcher les oreilles sur les gestes barrière, la distanciation, le port du masque, le vaccin et autres gestes sécuritaires et préventifs qui deviennent l’apanage des citoyens. Il faudrait faire preuve de bonne volonté, dans le cadre de la mise en place d’infrastructures de proximité, afin de faciliter la tâche aux étudiants les plus rebelles.
Si le Maroc est considéré comme l’un des premiers et des meilleurs pays qui ont su minimiser la propagation du virus dans les meilleurs délais et réussi sa campagne vaccinale, il y a de petites choses pourtant utiles qui passent inaperçues. L’accès aux tests et aux vaccins, au niveau des établissements universitaires, est aussi témoin d’une bonne gestion de la pandémie.
A bon entendant !
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