Le gouvernement marocain s’efforce de combler les lacunes fiscales, notamment dans le secteur du commerce électronique et des créateurs de contenu, jusqu’ici largement exemptés de taxation. Cette réforme s’inscrit dans une stratégie globale visant à surveiller les revenus générés en ligne et à contrôler les actifs financiers des créateurs.
Désormais, les créateurs de contenu, y compris ceux publiant des formats comme *Routini Lyawmi* sur les réseaux sociaux, seront soumis à des contrôles fiscaux de leurs comptes bancaires. Ils devront déclarer leurs revenus et s’acquitter de la nouvelle taxe applicable aux gains issus de partenariats publicitaires ou autres sources numériques.
Une réforme entre équité et controverse
Cette décision s’inscrit dans un objectif de fiscalité plus équitable et transparente, mais elle suscite des inquiétudes. Certains créateurs craignent que cette mesure freine l’émergence de nouveaux talents dans un secteur en pleine croissance. Le défi pour le gouvernement sera de concilier l’application de cette réforme avec le soutien à l’économie numérique.
Adapter sa gestion pour éviter les sanctions
Face à cette nouvelle réglementation, les créateurs de contenu devront rapidement ajuster leur gestion fiscale et se conformer aux obligations légales pour éviter des pénalités. Les prochains mois seront cruciaux pour évaluer l’impact de cette mesure sur l’écosystème numérique marocain.
Désormais, les créateurs de contenu, y compris ceux publiant des formats comme *Routini Lyawmi* sur les réseaux sociaux, seront soumis à des contrôles fiscaux de leurs comptes bancaires. Ils devront déclarer leurs revenus et s’acquitter de la nouvelle taxe applicable aux gains issus de partenariats publicitaires ou autres sources numériques.
Une réforme entre équité et controverse
Cette décision s’inscrit dans un objectif de fiscalité plus équitable et transparente, mais elle suscite des inquiétudes. Certains créateurs craignent que cette mesure freine l’émergence de nouveaux talents dans un secteur en pleine croissance. Le défi pour le gouvernement sera de concilier l’application de cette réforme avec le soutien à l’économie numérique.
Adapter sa gestion pour éviter les sanctions
Face à cette nouvelle réglementation, les créateurs de contenu devront rapidement ajuster leur gestion fiscale et se conformer aux obligations légales pour éviter des pénalités. Les prochains mois seront cruciaux pour évaluer l’impact de cette mesure sur l’écosystème numérique marocain.