Par Adnane Benchakroun
Sous le ciel éclatant d'un été flamboyant,
Le parasol s'étend, sombre et inquiétant,
Projetant des ombres, mystérieux refuge,
Là où la lumière, en silence, se déjuge.
Son ombre obscure cache bien des secrets,
Des murmures étouffés, des rêves inachevés,
Dans ce voile ténébreux, les cœurs se dissimulent,
Fuyant les vérités que la clarté bouscule.
Sous le grand parasol, les âmes solitaires,
Trouvent un abri sombre, échappant à la lumière,
Mais l'obscurité, compagne de leurs peurs,
N'offre qu'un répit faux, nourrissant leurs douleurs.
Dans l'ombre s'insinuent les pensées ténébreuses,
Les doutes, les regrets, les visions malheureuses,
Le parasol, tel un écran de nuit,
Cache des réalités que le jour fuit.
Les visages masqués, à l'abri des regards,
Tissent des mensonges, des récits illusoires,
Sous ce ciel artificiel, la vérité se perd,
Dans un théâtre sombre, où tout n'est que mystère.
Quand le soleil décline et que la nuit s'avance,
Le parasol devient une sinistre danse,
Des ombres enchevêtrées dans des rêves brisés,
Révèlent des secrets que nul n'ose avouer.
Le vent murmure des histoires effrayantes,
Sous le voile du parasol, des âmes errantes,
Cherchent une échappatoire, un passage secret,
Mais l'ombre les retient dans son sombre attrait.
Tel un complice discret, le parasol obscur,
Protège et cache à la fois les esprits impurs,
Offrant une illusion d'un refuge sacré,
Où l'ombre consume les âmes égarées.
Dans ce sanctuaire sombre, les cœurs déchirés,
Tremblent de se confronter aux vérités cachées,
Le parasol, gardien de leurs plus sombres pensées,
Renforce les chaînes des âmes enchaînées.
Sous cette étoffe noire, les rêves s'effacent,
Les espoirs, les désirs, tout sombre dans l'impasse,
Et le parasol, en gardien silencieux,
Ferme les portes de l'avenir radieux.
Quand le soleil décline et que la nuit s'avance,
Le parasol devient une sinistre danse,
Des ombres enchevêtrées dans des rêves brisés,
Révèlent des secrets que nul n'ose avouer.
Le vent murmure des histoires effrayantes,
Sous le voile du parasol, des âmes errantes,
Cherchent une échappatoire, un passage secret,
Mais l'ombre les retient dans son sombre attrait.
Mais même dans l'ombre, un rayon peut percer,
Dévoilant la lumière que l'on croit effacée,
Le parasol, alors, devient un doux abri,
Où l'ombre et la lumière se rejoignent en harmonie.
Le parasol s'étend, sombre et inquiétant,
Projetant des ombres, mystérieux refuge,
Là où la lumière, en silence, se déjuge.
Son ombre obscure cache bien des secrets,
Des murmures étouffés, des rêves inachevés,
Dans ce voile ténébreux, les cœurs se dissimulent,
Fuyant les vérités que la clarté bouscule.
Sous le grand parasol, les âmes solitaires,
Trouvent un abri sombre, échappant à la lumière,
Mais l'obscurité, compagne de leurs peurs,
N'offre qu'un répit faux, nourrissant leurs douleurs.
Dans l'ombre s'insinuent les pensées ténébreuses,
Les doutes, les regrets, les visions malheureuses,
Le parasol, tel un écran de nuit,
Cache des réalités que le jour fuit.
Les visages masqués, à l'abri des regards,
Tissent des mensonges, des récits illusoires,
Sous ce ciel artificiel, la vérité se perd,
Dans un théâtre sombre, où tout n'est que mystère.
Quand le soleil décline et que la nuit s'avance,
Le parasol devient une sinistre danse,
Des ombres enchevêtrées dans des rêves brisés,
Révèlent des secrets que nul n'ose avouer.
Le vent murmure des histoires effrayantes,
Sous le voile du parasol, des âmes errantes,
Cherchent une échappatoire, un passage secret,
Mais l'ombre les retient dans son sombre attrait.
Tel un complice discret, le parasol obscur,
Protège et cache à la fois les esprits impurs,
Offrant une illusion d'un refuge sacré,
Où l'ombre consume les âmes égarées.
Dans ce sanctuaire sombre, les cœurs déchirés,
Tremblent de se confronter aux vérités cachées,
Le parasol, gardien de leurs plus sombres pensées,
Renforce les chaînes des âmes enchaînées.
Sous cette étoffe noire, les rêves s'effacent,
Les espoirs, les désirs, tout sombre dans l'impasse,
Et le parasol, en gardien silencieux,
Ferme les portes de l'avenir radieux.
Quand le soleil décline et que la nuit s'avance,
Le parasol devient une sinistre danse,
Des ombres enchevêtrées dans des rêves brisés,
Révèlent des secrets que nul n'ose avouer.
Le vent murmure des histoires effrayantes,
Sous le voile du parasol, des âmes errantes,
Cherchent une échappatoire, un passage secret,
Mais l'ombre les retient dans son sombre attrait.
Mais même dans l'ombre, un rayon peut percer,
Dévoilant la lumière que l'on croit effacée,
Le parasol, alors, devient un doux abri,
Où l'ombre et la lumière se rejoignent en harmonie.
En musique svp
Sous le ciel éclatant d'un été, le parasol, sombre et inquiétant, projette des ombres mystérieuses et cache des secrets.
Son ombre obscure étouffe les murmures et les rêves inachevés, dissimulant les cœurs qui fuient la clarté. Les âmes solitaires y trouvent un faux refuge, nourrissant leurs peurs et douleurs. L'obscurité du parasol insinue des pensées ténébreuses, cachant des réalités et des vérités. Les visages masqués tissent des mensonges, créant un théâtre sombre où la vérité se perd. Le parasol, protecteur et complice des esprits impurs, offre une illusion de refuge, consommant les âmes égarées. Les cœurs déchirés tremblent face aux vérités cachées, renforçant leurs chaînes. Pourtant, un rayon de lumière peut percer cette ombre, dévoilant la clarté et transformant le parasol en abri harmonieux où l'ombre et la lumière se rejoignent.