Poème à écouter en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Les hommes que l’on juge au poids de leurs échecs,
Portent sur leurs épaules des fardeaux si secs.
Le monde, implacable, inscrit leurs faux-pas,
Et l’on nomme « ratés » ceux qui n’avancent pas.
Mais qu’est-ce qu’un succès ? Un éclat, un reflet,
Qui parfois éblouit, mais s’éteint sans regret.
Les ratés sont peut-être des âmes audacieuses,
Qui cherchent un chemin hors des routes pieuses.
Leur rêve les entraîne loin des sentiers battus,
Loin des règles d’un monde où tout est convenu.
Ils ratent, mais au fond, ne ratent-ils que peu,
Puisqu’ils cherchent ailleurs le vrai, l’absolu ?
Les regards accusent, les jugements s’abattent,
Mais eux seuls savent voir la beauté des défaites.
Le succès n’est qu’un masque, un habit trop étroit,
Qui cache les vertus des épreuves parfois.
Les ratés ne sont pas ceux qui tombent en chemin,
Mais ceux qui se relèvent avec cœur et dessein.
Ils portent dans leurs yeux des étoiles éteintes,
Qui renaissent en flammes dès que s’envole la crainte.
Le monde est une scène où chacun joue son rôle,
Mais les ratés s’écrivent une autre parabole.
Leur vie est un poème, un souffle de hasard,
Qui dépasse les cadres et brise les remparts.
Alors, si l’on échoue, pourquoi craindre la chute ?
Les ratés sont des cœurs qui défient l’intransigeance.
Ainsi chante la vie, entre gloire et revers,
Les ratés sont des hommes libres de l’univers.
Portent sur leurs épaules des fardeaux si secs.
Le monde, implacable, inscrit leurs faux-pas,
Et l’on nomme « ratés » ceux qui n’avancent pas.
Mais qu’est-ce qu’un succès ? Un éclat, un reflet,
Qui parfois éblouit, mais s’éteint sans regret.
Les ratés sont peut-être des âmes audacieuses,
Qui cherchent un chemin hors des routes pieuses.
Leur rêve les entraîne loin des sentiers battus,
Loin des règles d’un monde où tout est convenu.
Ils ratent, mais au fond, ne ratent-ils que peu,
Puisqu’ils cherchent ailleurs le vrai, l’absolu ?
Les regards accusent, les jugements s’abattent,
Mais eux seuls savent voir la beauté des défaites.
Le succès n’est qu’un masque, un habit trop étroit,
Qui cache les vertus des épreuves parfois.
Les ratés ne sont pas ceux qui tombent en chemin,
Mais ceux qui se relèvent avec cœur et dessein.
Ils portent dans leurs yeux des étoiles éteintes,
Qui renaissent en flammes dès que s’envole la crainte.
Le monde est une scène où chacun joue son rôle,
Mais les ratés s’écrivent une autre parabole.
Leur vie est un poème, un souffle de hasard,
Qui dépasse les cadres et brise les remparts.
Alors, si l’on échoue, pourquoi craindre la chute ?
Les ratés sont des cœurs qui défient l’intransigeance.
Ainsi chante la vie, entre gloire et revers,
Les ratés sont des hommes libres de l’univers.
Le poème réhabilite la figure des « ratés », en les décrivant comme des âmes courageuses qui osent défier les normes sociales et tracer leur propre voie, loin des diktats du succès traditionnel.
Dans un monde où l'on glorifie le succès éclatant et les parcours sans faille, ceux qui trébuchent, s’égarent ou choisissent des chemins moins battus sont souvent relégués à l'ombre d'un mot lourd : « ratés ». Mais cette étiquette ne reflète-t-elle pas une perception simpliste et injuste de l’échec ? Derrière chaque faux-pas, il y a une tentative, un rêve, une audace. Ce poème invite à redécouvrir ces "ratés", non comme des perdants, mais comme des explorateurs du possible, porteurs d’une liberté que le conformisme étouffe.