Des injections d'énergie renouvelable en forte augmentation :
La première partie du plan consiste à augmenter de manière significative les injections d'énergie renouvelable dans le réseau électrique national. Actuellement, le Maroc injecte environ 160 mégawatts (MW) d'électricité verte chaque année. Benali propose de porter ce chiffre à 1300 MW par an jusqu'en 2027. Cette augmentation drastique, comparée à l'actuelle, représente un véritable bond en avant. La ministre a également souligné que depuis son arrivée, la capacité d'injection a presque doublé, atteignant désormais 203 MW.
En outre, des autorisations ont été délivrées cette année pour produire 1000 MW supplémentaires d'énergie verte. Cependant, la capacité du réseau de transport d'énergie pourrait constituer un obstacle. Benali assure que son département travaille activement sur le renforcement et le développement de cette infrastructure critique.
La deuxième mesure clé concerne les investissements dans le secteur des énergies renouvelables. De 2009 à 2022, le Maroc a investi environ 4 milliards de dirhams (MMDH) par an. Le plan de Benali prévoit d'augmenter ce montant à 14 MMDH annuellement de 2023 à 2027, une augmentation de trois fois et demi. Bien que les détails sur l'origine de ces investissements, qu'ils soient publics ou privés, restent flous, l'engagement à mobiliser des ressources financières substantielles est clair.
Benali a également mis en lumière plusieurs initiatives visant à encourager l'utilisation des énergies renouvelables, particulièrement dans le secteur agricole. Parmi ces incitations figurent l'exonération de la TVA pour les matériaux de fabrication de panneaux solaires et les pompes solaires utilisées pour l'irrigation agricole. Ces mesures visent à rendre les technologies renouvelables plus accessibles et à stimuler leur adoption à grande échelle.
En complément, deux textes législatifs importants, les lois N°40.19 et 82.21, ont été adoptés récemment. Ces lois sont conçues pour avoir un impact positif sur le développement des énergies renouvelables dans le pays.
Initialement, l'objectif de la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique marocain était fixé à 52% pour 2030. Cependant, cet objectif a été revu à la hausse, atteignant désormais 64,3%. Ce changement reflète l'engagement du Royaume à devenir un leader dans le domaine des énergies renouvelables et à assurer une transition énergétique durable et efficace.
En outre, des autorisations ont été délivrées cette année pour produire 1000 MW supplémentaires d'énergie verte. Cependant, la capacité du réseau de transport d'énergie pourrait constituer un obstacle. Benali assure que son département travaille activement sur le renforcement et le développement de cette infrastructure critique.
La deuxième mesure clé concerne les investissements dans le secteur des énergies renouvelables. De 2009 à 2022, le Maroc a investi environ 4 milliards de dirhams (MMDH) par an. Le plan de Benali prévoit d'augmenter ce montant à 14 MMDH annuellement de 2023 à 2027, une augmentation de trois fois et demi. Bien que les détails sur l'origine de ces investissements, qu'ils soient publics ou privés, restent flous, l'engagement à mobiliser des ressources financières substantielles est clair.
Benali a également mis en lumière plusieurs initiatives visant à encourager l'utilisation des énergies renouvelables, particulièrement dans le secteur agricole. Parmi ces incitations figurent l'exonération de la TVA pour les matériaux de fabrication de panneaux solaires et les pompes solaires utilisées pour l'irrigation agricole. Ces mesures visent à rendre les technologies renouvelables plus accessibles et à stimuler leur adoption à grande échelle.
En complément, deux textes législatifs importants, les lois N°40.19 et 82.21, ont été adoptés récemment. Ces lois sont conçues pour avoir un impact positif sur le développement des énergies renouvelables dans le pays.
Initialement, l'objectif de la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique marocain était fixé à 52% pour 2030. Cependant, cet objectif a été revu à la hausse, atteignant désormais 64,3%. Ce changement reflète l'engagement du Royaume à devenir un leader dans le domaine des énergies renouvelables et à assurer une transition énergétique durable et efficace.