Le Baromètre arabe, une enquête régionale qui prend le pouls de l’opinion publique dans plusieurs pays du monde arabe, révèle des résultats qui pourraient surprendre certains observateurs. Alors que le Maroc a été pionnier en adoptant des réformes législatives pour promouvoir l'égalité entre hommes et femmes, y compris dans le domaine politique, la perception populaire semble encore largement biaisée en faveur des hommes.
Politiquement, cette tendance s’explique par la persistance de certains stéréotypes de genre et par une culture patriarcale encore bien ancrée dans de nombreuses régions du pays. Bien que les femmes aient accès aux postes de pouvoir, leur présence reste limitée. En 2021, les élections législatives ont marqué une progression en matière de représentation féminine, mais le chemin vers une parité véritable reste semé d’embûches.
Socialement, cette perception met en lumière les défis auxquels sont confrontées les femmes dans leur quête d'égalité. Les femmes politiques au Maroc sont souvent confrontées à des barrières invisibles : préjugés, sexisme, et manque de soutien institutionnel. Cette enquête met en évidence la nécessité de redoubler d’efforts pour changer les mentalités et encourager une plus grande participation des femmes dans la sphère publique.
L’égalité des sexes est un principe inscrit dans la Constitution marocaine, et le pays a fait de nombreux progrès dans la promotion des droits des femmes. Cependant, cette enquête montre que les réformes légales ne suffisent pas à elles seules pour changer les attitudes sociales.
Comparé à d’autres pays de la région, le Maroc est loin d’être le seul à afficher une telle perception. Des pays comme la Jordanie ou l'Égypte montrent des résultats similaires, où les hommes sont toujours perçus comme plus aptes à occuper des postes de direction. Toutefois, des efforts sont en cours à l’échelle régionale pour promouvoir le leadership féminin, à travers des initiatives de sensibilisation et des quotas de parité.
Ainsi, malgré les réformes et les progrès réalisés en matière d’égalité, une majorité de Marocains continue de penser que les hommes sont de meilleurs dirigeants politiques. Ce constat met en lumière les défis socio-culturels qui subsistent et la nécessité de poursuivre les efforts pour une parité réelle en politique.
Politiquement, cette tendance s’explique par la persistance de certains stéréotypes de genre et par une culture patriarcale encore bien ancrée dans de nombreuses régions du pays. Bien que les femmes aient accès aux postes de pouvoir, leur présence reste limitée. En 2021, les élections législatives ont marqué une progression en matière de représentation féminine, mais le chemin vers une parité véritable reste semé d’embûches.
Socialement, cette perception met en lumière les défis auxquels sont confrontées les femmes dans leur quête d'égalité. Les femmes politiques au Maroc sont souvent confrontées à des barrières invisibles : préjugés, sexisme, et manque de soutien institutionnel. Cette enquête met en évidence la nécessité de redoubler d’efforts pour changer les mentalités et encourager une plus grande participation des femmes dans la sphère publique.
L’égalité des sexes est un principe inscrit dans la Constitution marocaine, et le pays a fait de nombreux progrès dans la promotion des droits des femmes. Cependant, cette enquête montre que les réformes légales ne suffisent pas à elles seules pour changer les attitudes sociales.
Comparé à d’autres pays de la région, le Maroc est loin d’être le seul à afficher une telle perception. Des pays comme la Jordanie ou l'Égypte montrent des résultats similaires, où les hommes sont toujours perçus comme plus aptes à occuper des postes de direction. Toutefois, des efforts sont en cours à l’échelle régionale pour promouvoir le leadership féminin, à travers des initiatives de sensibilisation et des quotas de parité.
Ainsi, malgré les réformes et les progrès réalisés en matière d’égalité, une majorité de Marocains continue de penser que les hommes sont de meilleurs dirigeants politiques. Ce constat met en lumière les défis socio-culturels qui subsistent et la nécessité de poursuivre les efforts pour une parité réelle en politique.