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Le vaccin Astra Zeneca victime de complot .mp3 (8.65 Mo)
C’était pourtant le premier de la classe…
Peut-être sommes-nous tout proche de poser une question légitime qui se tisse en filigrane derrière ce tohu-bohu provoqué par la mise sous-verrou pour nombre de pays européens, qui, à l’heure de la mise sous presse de cet article est de 15.
La mise sous-verrou donc, et jusqu’à nouvel ordre du vaccin Astra Zeneca. Les langues se délient pour parler d’une ribambelle de choses, doctes et autres, justifiant cet arrêt intempestif, et contre toute attente, eu égard des tests cliniques, ou pour être plus précis, dans le langage où se tiennent les choses, de ces trois phases qui différent de l’une l’autre de par la taille de l’échantillon soumis à l’observation, suite à l’inoculation de la dose du vaccin miracle.
Si nous couchons par écrit, que nous mettons sous l’œil du lecteur les dites phases, sous-entendu que ce soit le processus en rigueur à même de valider, d’accommoder, ou de jeter aux oubliettes le dit vaccin, c’est pour donner plus de poids à l’expression précitée, et dont nous avons usé, et à propos et qui est « Contre toute attente ».
Car il s’avère que le vaccin suédois entré en course avec ces principaux rivaux, lesquels rivaux, et pour les citer, étaient et sont toujours Sinopharm, Pfizer, et qui avaient, dit-on, le vent en poupe, de par la vitesse avec laquelle ils se sont acharnés sur la chose pandémique, aussi celle des conclusions auxquelles ils avaient abouti en un temps court relativement au vaccin qui fait scandale.
Sauf que, et revenons-en, à ce « contre toute attente » expression pivot de notre article, et qui peut nous illuminer sur bien d’autres éléments qu’on peine à voir sans le concours d’une chronologie des évènements, sauf que donc, et c’est là où l’on redouble de suspicion, et que l’on parvienne à débusquer les questions plus aisément.
Ce dit vaccin qui fait scandale, honni d’une bonne partie de l’Europe, saboté, terni à volonté, devenu la risée d’une bonne masse qui se brule les doigts en tirant des conclusions à la va vite, est celui qui a validé haut la main les trois dites phases, qui a eu donc, pour parler un langage droit-au-but, enregistré le meilleur score d’entre ses rivaux.
Ce principe qui nuit plus qu’il ne sert ?
La contradiction est de taille et vite levée, et nous savons, à présent envers quoi nous penchons, après avoir déblayé le chemin de notre démonstration. Pour appuyer davantage cette ambiguïté, ce qui se décline comme non-sens, les effets secondaires suite auxquelles il y eut arrêt sous couvert du dit principe de précaution, un principe, qui, soit dit en passant, est bien modéré, bien tempéré, puisqu’il ne dit ni noir ni blanc, et ne peut en rien nous dire en clair que les effets secondaires observés sur les personnes vaccinées découleraient de facto du dit vaccin.
Mais qui, disons-le, met à mal, de par cette surmédiatisation qui s’en suit, la notoriété du dit vaccin, soulève grand doute chez les concernés après cet emballement, qui peut-être, serait parti de pas grand-chose, et qui dans sa hâte, n’aurait pas pris le temps qu’il faut pour vérifier ces allégations.
Des effets qui ont trait à ce qu’on appelle, et le terme docte ne nous importe que peu, puisqu’en gros et en clair cela veut dire caillot de sang, nous saisissons par-là qu’il y aurait eu coagulation de sang suite à l’administration de la dose prescrite.
D’ailleurs l’affaire fut vite saisie de par l’agence européenne des médicaments, par l’OMS, et autre, qui ne voyaient aucun lien direct entre le dit vaccin et les effets observés.
Peut-être sommes-nous tout proche de poser une question légitime qui se tisse en filigrane derrière ce tohu-bohu provoqué par la mise sous-verrou pour nombre de pays européens, qui, à l’heure de la mise sous presse de cet article est de 15.
La mise sous-verrou donc, et jusqu’à nouvel ordre du vaccin Astra Zeneca. Les langues se délient pour parler d’une ribambelle de choses, doctes et autres, justifiant cet arrêt intempestif, et contre toute attente, eu égard des tests cliniques, ou pour être plus précis, dans le langage où se tiennent les choses, de ces trois phases qui différent de l’une l’autre de par la taille de l’échantillon soumis à l’observation, suite à l’inoculation de la dose du vaccin miracle.
Si nous couchons par écrit, que nous mettons sous l’œil du lecteur les dites phases, sous-entendu que ce soit le processus en rigueur à même de valider, d’accommoder, ou de jeter aux oubliettes le dit vaccin, c’est pour donner plus de poids à l’expression précitée, et dont nous avons usé, et à propos et qui est « Contre toute attente ».
Car il s’avère que le vaccin suédois entré en course avec ces principaux rivaux, lesquels rivaux, et pour les citer, étaient et sont toujours Sinopharm, Pfizer, et qui avaient, dit-on, le vent en poupe, de par la vitesse avec laquelle ils se sont acharnés sur la chose pandémique, aussi celle des conclusions auxquelles ils avaient abouti en un temps court relativement au vaccin qui fait scandale.
Sauf que, et revenons-en, à ce « contre toute attente » expression pivot de notre article, et qui peut nous illuminer sur bien d’autres éléments qu’on peine à voir sans le concours d’une chronologie des évènements, sauf que donc, et c’est là où l’on redouble de suspicion, et que l’on parvienne à débusquer les questions plus aisément.
Ce dit vaccin qui fait scandale, honni d’une bonne partie de l’Europe, saboté, terni à volonté, devenu la risée d’une bonne masse qui se brule les doigts en tirant des conclusions à la va vite, est celui qui a validé haut la main les trois dites phases, qui a eu donc, pour parler un langage droit-au-but, enregistré le meilleur score d’entre ses rivaux.
Ce principe qui nuit plus qu’il ne sert ?
La contradiction est de taille et vite levée, et nous savons, à présent envers quoi nous penchons, après avoir déblayé le chemin de notre démonstration. Pour appuyer davantage cette ambiguïté, ce qui se décline comme non-sens, les effets secondaires suite auxquelles il y eut arrêt sous couvert du dit principe de précaution, un principe, qui, soit dit en passant, est bien modéré, bien tempéré, puisqu’il ne dit ni noir ni blanc, et ne peut en rien nous dire en clair que les effets secondaires observés sur les personnes vaccinées découleraient de facto du dit vaccin.
Mais qui, disons-le, met à mal, de par cette surmédiatisation qui s’en suit, la notoriété du dit vaccin, soulève grand doute chez les concernés après cet emballement, qui peut-être, serait parti de pas grand-chose, et qui dans sa hâte, n’aurait pas pris le temps qu’il faut pour vérifier ces allégations.
Des effets qui ont trait à ce qu’on appelle, et le terme docte ne nous importe que peu, puisqu’en gros et en clair cela veut dire caillot de sang, nous saisissons par-là qu’il y aurait eu coagulation de sang suite à l’administration de la dose prescrite.
D’ailleurs l’affaire fut vite saisie de par l’agence européenne des médicaments, par l’OMS, et autre, qui ne voyaient aucun lien direct entre le dit vaccin et les effets observés.
Qui veut la peau du vaccin suédois ?
Autre élément qui prête à confusion, et qui souligne davantage le caractère hâtif, peut-être suspect, de cette décision multilatérale, aux retombées néfastes sur le vaccin suédois, est que cette maladie à la déclinaison montre et qu’on appelle thrombose enregistre, avec ou sans ce vaccin bouc-émissaire ? un chiffre annuel, prédéfini, pré-estimé, dans un lot de personnes et dans nombre de pays européens.
Et que jusqu’à présent la barre ne serait pas atteinte, rajoutons à cela que le lien de cause à effet n’est, à croire les autorités sanitaires, pas avéré. Aussi n’oublions pas de souligner une chose d’importance, et qui est que, eu égard à cette équation bénéfice / risque, les effets secondaires observés suite à l’administration du vaccin se révèlent bien faibles, maintenus bien en deca de la moyenne par rapport au nombre d’injections faites.
Rappelons que ce n’est pas une première et que le vaccin en question fut déjà objet de mauvaise campagne, que les bruits ont déjà couru pour prêcher son inefficacité quant aux personnes âgées, que ce fut un vaccin pour jeunes, sous-entendu que ceux-là n’en avaient même pas besoin puisque leur immunité leur permettrait de parer contre l’indésirable.
En clair le vaccin ( seul contre tous ) a déjà été frappé d’obsolescence, mais là, la chose, si tant est qu’elle soit vérifiée, aurait une portée plus néfaste, puisqu’il s’agit de graves complications. Certains, à cheval sur la matière médicale, et chiffres à l’appui, avancent que même cette thrombose érigée en monstre, tuerait moins de monde que la Covid, avec une différence notable.
Que nous serions entrain d’assister à un complot fomenté contre le vaccin suédois, qu’il s’agirait là de bas calculs politiques, que même, certains vont jusqu’à faire allusion à ce qui sonne comme scène de ménage, évoquent en vrac, que le labo suédois fut pénalisé rien que pour n’avoir pas livré à temps son client, lequel client ,pays d’Europe, ayant accusé retard sur retard pour honorer son agenda en terme de vaccination, déclassé par ses rivaux, livrée à la vindicte populaire, se serait vengé à sa manière en mettant fin à son approvisionnement en vaccin suédois.
D’autres parlent guerre économique, que la Covid serait un gros marché, et que ne gagne pas qui veut. En tout cas pour ce qui est du Maroc, l’utilisation du vaccin est maintenue, car il n’ y aurait pas de quoi s'inquiéter
Hicham Aboumerrouane
Autre élément qui prête à confusion, et qui souligne davantage le caractère hâtif, peut-être suspect, de cette décision multilatérale, aux retombées néfastes sur le vaccin suédois, est que cette maladie à la déclinaison montre et qu’on appelle thrombose enregistre, avec ou sans ce vaccin bouc-émissaire ? un chiffre annuel, prédéfini, pré-estimé, dans un lot de personnes et dans nombre de pays européens.
Et que jusqu’à présent la barre ne serait pas atteinte, rajoutons à cela que le lien de cause à effet n’est, à croire les autorités sanitaires, pas avéré. Aussi n’oublions pas de souligner une chose d’importance, et qui est que, eu égard à cette équation bénéfice / risque, les effets secondaires observés suite à l’administration du vaccin se révèlent bien faibles, maintenus bien en deca de la moyenne par rapport au nombre d’injections faites.
Rappelons que ce n’est pas une première et que le vaccin en question fut déjà objet de mauvaise campagne, que les bruits ont déjà couru pour prêcher son inefficacité quant aux personnes âgées, que ce fut un vaccin pour jeunes, sous-entendu que ceux-là n’en avaient même pas besoin puisque leur immunité leur permettrait de parer contre l’indésirable.
En clair le vaccin ( seul contre tous ) a déjà été frappé d’obsolescence, mais là, la chose, si tant est qu’elle soit vérifiée, aurait une portée plus néfaste, puisqu’il s’agit de graves complications. Certains, à cheval sur la matière médicale, et chiffres à l’appui, avancent que même cette thrombose érigée en monstre, tuerait moins de monde que la Covid, avec une différence notable.
Que nous serions entrain d’assister à un complot fomenté contre le vaccin suédois, qu’il s’agirait là de bas calculs politiques, que même, certains vont jusqu’à faire allusion à ce qui sonne comme scène de ménage, évoquent en vrac, que le labo suédois fut pénalisé rien que pour n’avoir pas livré à temps son client, lequel client ,pays d’Europe, ayant accusé retard sur retard pour honorer son agenda en terme de vaccination, déclassé par ses rivaux, livrée à la vindicte populaire, se serait vengé à sa manière en mettant fin à son approvisionnement en vaccin suédois.
D’autres parlent guerre économique, que la Covid serait un gros marché, et que ne gagne pas qui veut. En tout cas pour ce qui est du Maroc, l’utilisation du vaccin est maintenue, car il n’ y aurait pas de quoi s'inquiéter
Hicham Aboumerrouane