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Le jeudi 18 septembre 2024, la ville de Qabatiya, en Cisjordanie occupée, a été le théâtre d’un acte insoutenable. Sous le regard impuissant des résidents et d’un journaliste de l’Associated Press (AP), et dans un acte de sauvagerie inouïe des soldats, ou plutôt des terroristes israéliens ont poussé les corps apparemment sans vie de quatre Palestiniens depuis des toits, lors d’un raid militaire. Ce moment macabre a été capturé en vidéo, un témoignage brutal de la violence quotidienne subie par les habitants palestiniens dans cette région sous occupation militaire.
L'incident s’inscrit dans une longue série de violations des droits de l’Homme perpétrées par l’armée israélienne, un cycle de violence qui a pris une ampleur nouvelle depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas il y a bientôt une année. Les images insoutenables de ces corps, froidement jetés du haut des toits, illustrent la cruauté sans limites des actions militaires sionistes en Cisjordanie, où les raids sont devenus un élément du quotidien pour les locaux. Ces violences, loin d’être des incidents isolés, s’inscrivent dans une logique de répression intense et systématique contre la population civile.
Des actions sans limites sous prétexte de lutte contre le militantisme
La tragédie de Qabatiya ne se résume pas à une simple opération militaire. Depuis le début de la guerre d'agression à Gaza, des centaines de Palestiniens ont été tués, blessés ou emprisonnés en Cisjordanie. Le prétexte ? La lutte contre le militantisme, qui est, rappelons nous, autorisé par le droit international. Mais derrière cette rhétorique sécuritaire, les corps de civils continuent de s’empiler. Ceux qui meurent dans ces raids sont souvent des habitants ordinaires, fauchés dans leurs maisons ou leurs rues, victimes d'excès aveugle.
Les quatre hommes tués à Qabatiya et ensuite jetés des toits ont-ils représenté une réelle menace ? Une question que personne n’ose poser, mais dont la réponse est douloureusement évidente. Comment justifier un tel mépris pour les corps, pour la dignité humaine ? Il est acceptable de traiter des corps sans vie de la sorte, quelle que soit leur implication présumée.
Des organisations de défense des droits humains, tant locales qu’internationales, pointent du doigt ces exactions comme des preuves supplémentaires de l'usage excessif de la force par l'armée israélienne. Cette routine meurtrière semble loin des "valeurs" et des "normes" évoquées par le communiqué officiel de l’armée israélienne, qui a promis d’ouvrir une enquête. Mais pour les Palestiniens, ces promesses d’enquête ne sont que des mots vides, provenant d'une autorité illégitime et résonnant dans un ciel lourd de désespoir.
Un silence international assourdissant
Face à la barbarie, la communauté internationale reste largement silencieuse. Si la Maison-Blanche s’est dite « profondément troublée » par l’incident de Qabatiya et a exhorté l'entité sioniste à enquêter, cela ne change en rien le quotidien des Palestiniens pris dans cet engrenage infernal. Des vies humaines sont sacrifiées, et la promesse d’enquêtes sans conséquences concrètes ne fait qu’aggraver l’impunité qui semble régner sur cette terre.
La situation en Cisjordanie est l’un des aspects les plus sombres du conflit israélo-palestinien. Les violations des droits de l’Homme s’y multiplient, et chaque nouveau raid devient un nouveau coup porté à l’espoir de paix. Pourtant, le monde continue de détourner les yeux. Ce sont ces moments, capturés par des caméras, qui rappellent cruellement la nécessité d’une prise de conscience collective, d’une mobilisation pour mettre fin à cette spirale de violence.
Une guerre contre les corps, une guerre contre l'humanité
La tragédie de Qabatiya n’est pas un incident isolé. C’est le reflet de la guerre constante contre le peuple palestinien, une guerre menée non seulement contre des militants présumés, mais contre l’humanité elle-même. Lorsque les corps des victimes ne sont même plus traités avec respect, c'est toute la dignité humaine qui est foulée aux pieds.
Le chemin vers la paix semble plus éloigné que jamais. Et tant que ces actes inhumains se poursuivront sous le regard indifférent du monde, la douleur des Palestiniens ne cessera de croître. Jusqu'au jour ou la terre reviendrai à ses propriétaire, et qu'elle soit purifier de toute empreinte sioniste.
L'incident s’inscrit dans une longue série de violations des droits de l’Homme perpétrées par l’armée israélienne, un cycle de violence qui a pris une ampleur nouvelle depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas il y a bientôt une année. Les images insoutenables de ces corps, froidement jetés du haut des toits, illustrent la cruauté sans limites des actions militaires sionistes en Cisjordanie, où les raids sont devenus un élément du quotidien pour les locaux. Ces violences, loin d’être des incidents isolés, s’inscrivent dans une logique de répression intense et systématique contre la population civile.
Des actions sans limites sous prétexte de lutte contre le militantisme
La tragédie de Qabatiya ne se résume pas à une simple opération militaire. Depuis le début de la guerre d'agression à Gaza, des centaines de Palestiniens ont été tués, blessés ou emprisonnés en Cisjordanie. Le prétexte ? La lutte contre le militantisme, qui est, rappelons nous, autorisé par le droit international. Mais derrière cette rhétorique sécuritaire, les corps de civils continuent de s’empiler. Ceux qui meurent dans ces raids sont souvent des habitants ordinaires, fauchés dans leurs maisons ou leurs rues, victimes d'excès aveugle.
Les quatre hommes tués à Qabatiya et ensuite jetés des toits ont-ils représenté une réelle menace ? Une question que personne n’ose poser, mais dont la réponse est douloureusement évidente. Comment justifier un tel mépris pour les corps, pour la dignité humaine ? Il est acceptable de traiter des corps sans vie de la sorte, quelle que soit leur implication présumée.
Des organisations de défense des droits humains, tant locales qu’internationales, pointent du doigt ces exactions comme des preuves supplémentaires de l'usage excessif de la force par l'armée israélienne. Cette routine meurtrière semble loin des "valeurs" et des "normes" évoquées par le communiqué officiel de l’armée israélienne, qui a promis d’ouvrir une enquête. Mais pour les Palestiniens, ces promesses d’enquête ne sont que des mots vides, provenant d'une autorité illégitime et résonnant dans un ciel lourd de désespoir.
Un silence international assourdissant
Face à la barbarie, la communauté internationale reste largement silencieuse. Si la Maison-Blanche s’est dite « profondément troublée » par l’incident de Qabatiya et a exhorté l'entité sioniste à enquêter, cela ne change en rien le quotidien des Palestiniens pris dans cet engrenage infernal. Des vies humaines sont sacrifiées, et la promesse d’enquêtes sans conséquences concrètes ne fait qu’aggraver l’impunité qui semble régner sur cette terre.
La situation en Cisjordanie est l’un des aspects les plus sombres du conflit israélo-palestinien. Les violations des droits de l’Homme s’y multiplient, et chaque nouveau raid devient un nouveau coup porté à l’espoir de paix. Pourtant, le monde continue de détourner les yeux. Ce sont ces moments, capturés par des caméras, qui rappellent cruellement la nécessité d’une prise de conscience collective, d’une mobilisation pour mettre fin à cette spirale de violence.
Une guerre contre les corps, une guerre contre l'humanité
La tragédie de Qabatiya n’est pas un incident isolé. C’est le reflet de la guerre constante contre le peuple palestinien, une guerre menée non seulement contre des militants présumés, mais contre l’humanité elle-même. Lorsque les corps des victimes ne sont même plus traités avec respect, c'est toute la dignité humaine qui est foulée aux pieds.
Le chemin vers la paix semble plus éloigné que jamais. Et tant que ces actes inhumains se poursuivront sous le regard indifférent du monde, la douleur des Palestiniens ne cessera de croître. Jusqu'au jour ou la terre reviendrai à ses propriétaire, et qu'elle soit purifier de toute empreinte sioniste.