Il a en effet été prouvé que l’exercice physique régulier diminuerait les symptômes des personnes dépressives. Même si c’est la dernière chose à laquelle on pourrait penser en état de dépression, il faudrait avoir en tête que la pratique du sport stimule la production de certaines substances chimiques par le cerveau qui ont des effets positifs sur l'humeur.
La principale étant l'endorphine, dont la structure chimique s'apparente fortement à celle de la morphine, procure une sensation de douce euphorie. Cela vous permet également de relâcher la tension musculaire et par conséquent, vous êtes moins stressés et votre sommeil est de meilleure qualité.
Ce qui est bien c’est que, dans tous les cas, la pratique d’un sport ne vous fera que du bien. Même si vous vous trouvez dans une situation où le sport ne vous sera d’aucune aide, il est indéniable que sa pratique rendra les antidépresseurs pharmaceutiques que vous prenez plus efficaces.
Ces antidépresseurs s'accompagnent souvent d'effets secondaires désagréables : prise de poids, nausées, rétention d'eau ou autres. En pratiquant régulièrement du sport, vous serez capable de réduire ces effets secondaires.
Grâce au sport, vous serez également capables de limiter les risques de rechute après la fin du traitement d'une dépression nerveuse.
Comment s'y prendre ? Pour commencer, choisissez une activité physique que vous appréciez et fixez des objectifs atteignables. L’essentiel est de ne pas considérer l’exercice physique comme une corvée et d’essayer d’y prendre plaisir.
L'exercice est aussi réputé d'avoir des effets sur la prévention de la dépression. De plus, vous pouvez pratiquer le sport que vous voulez, à vous de faire votre choix ! Cependant, il est recommandé de s’adonner à un sport d’intensité moyenne a élevée, mais même une activité légère telle que la marche n’aura que des bienfaits sur votre santé morale.
Pratiquez 30 minutes d’exercice par jour pendant 3 à 5 jours par semaine, et vous sentirez le changement ! N’attendez surtout pas d’avoir plus de motivation du jour au lendemain ; vous devez vous lancer. Même si vous avez l’impression de ne pas avoir d’énergie, ce n’est que votre cerveau qui vous joue de mauvais tours. Franchissez les obstacles !
Cependant, le sport ne doit pas remplacer votre traitement médical : il ne s’agit que d’un complément.
La principale étant l'endorphine, dont la structure chimique s'apparente fortement à celle de la morphine, procure une sensation de douce euphorie. Cela vous permet également de relâcher la tension musculaire et par conséquent, vous êtes moins stressés et votre sommeil est de meilleure qualité.
Ce qui est bien c’est que, dans tous les cas, la pratique d’un sport ne vous fera que du bien. Même si vous vous trouvez dans une situation où le sport ne vous sera d’aucune aide, il est indéniable que sa pratique rendra les antidépresseurs pharmaceutiques que vous prenez plus efficaces.
Ces antidépresseurs s'accompagnent souvent d'effets secondaires désagréables : prise de poids, nausées, rétention d'eau ou autres. En pratiquant régulièrement du sport, vous serez capable de réduire ces effets secondaires.
Grâce au sport, vous serez également capables de limiter les risques de rechute après la fin du traitement d'une dépression nerveuse.
Comment s'y prendre ? Pour commencer, choisissez une activité physique que vous appréciez et fixez des objectifs atteignables. L’essentiel est de ne pas considérer l’exercice physique comme une corvée et d’essayer d’y prendre plaisir.
L'exercice est aussi réputé d'avoir des effets sur la prévention de la dépression. De plus, vous pouvez pratiquer le sport que vous voulez, à vous de faire votre choix ! Cependant, il est recommandé de s’adonner à un sport d’intensité moyenne a élevée, mais même une activité légère telle que la marche n’aura que des bienfaits sur votre santé morale.
Pratiquez 30 minutes d’exercice par jour pendant 3 à 5 jours par semaine, et vous sentirez le changement ! N’attendez surtout pas d’avoir plus de motivation du jour au lendemain ; vous devez vous lancer. Même si vous avez l’impression de ne pas avoir d’énergie, ce n’est que votre cerveau qui vous joue de mauvais tours. Franchissez les obstacles !
Cependant, le sport ne doit pas remplacer votre traitement médical : il ne s’agit que d’un complément.