A lire ou à écouter en podcast :
Y eu-t-il effet d’entraînement ? Une question-pivot que je fais vite de coucher par écrit en préambule de cette affaire, de peur que de zapper l’essentiel de ce qui va de côté...qui n’augure que misère, et dont le nom s’accommoderait, ipso facto, d’un oiseau grognon et vachard.
Débarrassons-nous de ce morceau resté à travers gorge, qui s’affaire de ladite tribune des militaires, comme venu droit des enfers, dans un malaise que nul ne saurait envier à la vieille France...serait-ce cet envieux par défaut qui s’empêtre dans toute aventure au mépris du fameux « De quoi s’agit-il ?» du Maréchal Foch.
Une tribune à la course réglée sur les stridences d’une catastrophe augure d’une éventuelle guerre civile.
Une guerre qui exigerait une intervention manu militari pour réinstaurer l’ordre, « tuer » de ces ardeurs criminelles, contraires, échauffées jusqu’à vous brûler votre reste de raison.
Une tribune pointée dans une confusion-massacre où fusent de tout côté, d’interminables qualificatifs à la sauce catastrophiste, comme « séparatisme », « grand remplacement » et d’autres automatismes lapidaires, devenus monnaie-courante des échanges « montagneux » sitôt tournés au vinaigre.
Seul bémol, pour créditer cet axiome ramifié sous le signe mauvais d’une « France envahie », il faut tâter le « pays », et avec, de ces humeurs françaises et autres...voisines...
Loin de nous la boîte de Pandore… nous appesantir l’esprit jusqu’à nous fourvoyer dans le sentier juridique, user de ces agencements « quasi-ésotériques » tels : « français de souches », « droit du sol », et autres technicités argotiques...
Pour "voisines", restreignons-nous à celles « immigrées » et c’est déjà la confusion ! Car, remonté à un point d’histoire, qui ne le serait pas...mais passons sur cet entichement anthropologique né sous ma plume, revenons sur « le terrain ».
Nous « gagnons » en inquiétude, quand les médias remâchent de ce clivage « gros de misère » dressé, à vue d’œil, entre deux blocs d’une France éclatée, l’un « on-peut-plus- Français », l’autre « non-assimilé » pour les plus orthodoxes, qui se réinvente jusqu’imposer ses lois du « terroir », et de faire des banlieues « des territoires perdus de la République Française », des « zones de non-droit »
« Ce n’est plus la France! » s’écrirait « un » Zemmour. Nous peinons, faute d’éléments concluants, à « imaginer » une dimension mesurée de l’état des choses...
En même temps, les démangeaisons du cœur, les envolées romancées, requièrent la tutelle de notre raison… au risque de nous « menotter » le cerveau des seules vues de l’esprit... C’est là que la question-réserve effleurée en préambule de ce tohu-bohu velléitaire prend forme.
Débarrassons-nous de ce morceau resté à travers gorge, qui s’affaire de ladite tribune des militaires, comme venu droit des enfers, dans un malaise que nul ne saurait envier à la vieille France...serait-ce cet envieux par défaut qui s’empêtre dans toute aventure au mépris du fameux « De quoi s’agit-il ?» du Maréchal Foch.
Une tribune à la course réglée sur les stridences d’une catastrophe augure d’une éventuelle guerre civile.
Une guerre qui exigerait une intervention manu militari pour réinstaurer l’ordre, « tuer » de ces ardeurs criminelles, contraires, échauffées jusqu’à vous brûler votre reste de raison.
Une tribune pointée dans une confusion-massacre où fusent de tout côté, d’interminables qualificatifs à la sauce catastrophiste, comme « séparatisme », « grand remplacement » et d’autres automatismes lapidaires, devenus monnaie-courante des échanges « montagneux » sitôt tournés au vinaigre.
Seul bémol, pour créditer cet axiome ramifié sous le signe mauvais d’une « France envahie », il faut tâter le « pays », et avec, de ces humeurs françaises et autres...voisines...
Loin de nous la boîte de Pandore… nous appesantir l’esprit jusqu’à nous fourvoyer dans le sentier juridique, user de ces agencements « quasi-ésotériques » tels : « français de souches », « droit du sol », et autres technicités argotiques...
Pour "voisines", restreignons-nous à celles « immigrées » et c’est déjà la confusion ! Car, remonté à un point d’histoire, qui ne le serait pas...mais passons sur cet entichement anthropologique né sous ma plume, revenons sur « le terrain ».
Nous « gagnons » en inquiétude, quand les médias remâchent de ce clivage « gros de misère » dressé, à vue d’œil, entre deux blocs d’une France éclatée, l’un « on-peut-plus- Français », l’autre « non-assimilé » pour les plus orthodoxes, qui se réinvente jusqu’imposer ses lois du « terroir », et de faire des banlieues « des territoires perdus de la République Française », des « zones de non-droit »
« Ce n’est plus la France! » s’écrirait « un » Zemmour. Nous peinons, faute d’éléments concluants, à « imaginer » une dimension mesurée de l’état des choses...
En même temps, les démangeaisons du cœur, les envolées romancées, requièrent la tutelle de notre raison… au risque de nous « menotter » le cerveau des seules vues de l’esprit... C’est là que la question-réserve effleurée en préambule de ce tohu-bohu velléitaire prend forme.
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Fûmes-nous victimes et « Nos » Français sur place, d’un show grandeur nature, orchestré par les « diableries » médiatiques, qui président à cette portée insufflée à l’actualité…S’impose à mon esprit ce vers Baudelairien : « C’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent »… Loin de moi tout apriori suprasensible…
Et si les médias gavaient à outrance de ces événements du dehors, plutôt que l’inverse...
Des médias, terreau d’idéologues décidés de « crucifier » ce qui répugne à leurs « grandeurs » tant rêvées...
Des idéologues faits dans les livres, le nez dans le sacré, sur la trace des « grandeurs » qui ont bâti « une » France...rêvée.
Une France mono-culturelle, qui « excommunierait » de ces « émanations » intruses, les chassent au dehors de son idéal-sorcier ?
Une France ployée sous le joug d’immigrés déversés en nombre gros de chair, revanchards, prêt à rendre le « coût » colonial, à l’image...d’un livre.
Si entraînement il y eut, à qui la faute ?
Révolu est le temps où la « guerre civile » se contint au chuchotement des « plateaux ».
Le spectre de « la guerre civile » se revigore, se fait « peau » ailleurs, chez les politiques, et, un cran au-dessus : Les militaires.
N’est-ce pas que la récupération de ce « revenant » qui « démange » fut vite établie de par l’extrême-droite française « affolée » des « reliques » du vocabulaire défaitiste, affamée de voix « contaminées » par une alarme qu’aucun ne veut assumer...
Il est vrai que la montée du terrorisme « low-cost » sème la confusion, que sous la dictature de ces élancements de cœur, on puisse manquer de jugement, glaner le « salut » dans quelques extrémités...là où, affaissés, vous voterez « Faiblesse »…C’est que…
Ni une ni deux, Marine-le-Pen, assoiffée des « dorures de l’Élysée » , ornait sa verve politicarde de « la sirène » militaire. Une aubaine pour dorer ses allégations au frais de la « la grande muette ».
Une muette fâchée d’avec sa réserve, pour dire de cette dégradation « française ».
La « singularité » française était au rendez-vous ! des conclusions cinglantes furent forcés au dehors… Des lectures « biaisées », et autres brûlaient sur « les prémices d’un putsch » agrémentées de chiffres à « haut-régime » qui fusent sur cette presque-moitié de Français qui juge utile une intervention « unilatérale » de la muette, sans l’aval du chef ! Pourquoi ? remettre les « êtres » en place.
Doublons ce chiffre, d’un plus de « gras » : 75 % des Français croient dur comme « faire » en le « délitement » de la France. 25 % d’entre eux, le croient irréversibles.
Avec les Républicains « mangés » par le LREM, et l’extrême-droite pressentie à la présidence de la République, nous ne se savons que présager d’une France incertaine...
Et si les médias gavaient à outrance de ces événements du dehors, plutôt que l’inverse...
Des médias, terreau d’idéologues décidés de « crucifier » ce qui répugne à leurs « grandeurs » tant rêvées...
Des idéologues faits dans les livres, le nez dans le sacré, sur la trace des « grandeurs » qui ont bâti « une » France...rêvée.
Une France mono-culturelle, qui « excommunierait » de ces « émanations » intruses, les chassent au dehors de son idéal-sorcier ?
Une France ployée sous le joug d’immigrés déversés en nombre gros de chair, revanchards, prêt à rendre le « coût » colonial, à l’image...d’un livre.
Si entraînement il y eut, à qui la faute ?
Révolu est le temps où la « guerre civile » se contint au chuchotement des « plateaux ».
Le spectre de « la guerre civile » se revigore, se fait « peau » ailleurs, chez les politiques, et, un cran au-dessus : Les militaires.
N’est-ce pas que la récupération de ce « revenant » qui « démange » fut vite établie de par l’extrême-droite française « affolée » des « reliques » du vocabulaire défaitiste, affamée de voix « contaminées » par une alarme qu’aucun ne veut assumer...
Il est vrai que la montée du terrorisme « low-cost » sème la confusion, que sous la dictature de ces élancements de cœur, on puisse manquer de jugement, glaner le « salut » dans quelques extrémités...là où, affaissés, vous voterez « Faiblesse »…C’est que…
Ni une ni deux, Marine-le-Pen, assoiffée des « dorures de l’Élysée » , ornait sa verve politicarde de « la sirène » militaire. Une aubaine pour dorer ses allégations au frais de la « la grande muette ».
Une muette fâchée d’avec sa réserve, pour dire de cette dégradation « française ».
La « singularité » française était au rendez-vous ! des conclusions cinglantes furent forcés au dehors… Des lectures « biaisées », et autres brûlaient sur « les prémices d’un putsch » agrémentées de chiffres à « haut-régime » qui fusent sur cette presque-moitié de Français qui juge utile une intervention « unilatérale » de la muette, sans l’aval du chef ! Pourquoi ? remettre les « êtres » en place.
Doublons ce chiffre, d’un plus de « gras » : 75 % des Français croient dur comme « faire » en le « délitement » de la France. 25 % d’entre eux, le croient irréversibles.
Avec les Républicains « mangés » par le LREM, et l’extrême-droite pressentie à la présidence de la République, nous ne se savons que présager d’une France incertaine...
Hicham Aboumerrouane