Hamas salue l’opération de résistance à Tel-Aviv, une réponse au massacre de Jénine
Dans un communiqué officiel, le Hamas a salué cette attaque, la qualifiant de "réponse naturelle" aux crimes israéliens perpétrés en Cisjordanie. Selon le mouvement, cette opération est un message clair : "Le sang appelle le sang, et la main de la résistance frappera avec force au cœur de ce régime usurpateur."
Cette déclaration fait écho à la colère généralisée dans les territoires palestiniens et au-delà, après l’offensive israélienne à Jénine qui a fait des dizaines de morts et de blessés parmi les civils palestiniens. Pour le Hamas, l’attaque de Tel-Aviv est une démonstration que la résistance palestinienne reste déterminée à riposter face à l’occupation et aux massacres.
L’attaque de Tel-Aviv s’inscrit dans un cycle de violence qui trouve sa source dans l’occupation israélienne des territoires palestiniens. Les incursions militaires, les démolitions de maisons, les arrestations arbitraires et les violences des colons ont poussé de nombreux Palestiniens à recourir à des actes de résistance, souvent désespérés.
Pour les Palestiniens, ces attaques ne sont pas des actes isolés, mais des réponses à des décennies d’oppression et d’injustice. "Tant que l’occupation persistera, la résistance continuera", a déclaré un porte-parole du Hamas.
L’attaque de Tel-Aviv a été rapidement condamnée par les grandes puissances, notamment les États-Unis et l’Union européenne, qui ont exprimé leur soutien à Israël. Cependant, ces mêmes acteurs restent silencieux face aux massacres perpétrés par Israël en Cisjordanie et à Gaza.
Ce double standard alimente un sentiment d’injustice parmi les Palestiniens et leurs soutiens. "La communauté internationale condamne toujours les actes de résistance palestinienne, mais ferme les yeux sur les crimes israéliens", déplore un militant des droits humains.
L’attaque de Tel-Aviv et les événements de Jénine illustrent une escalade inévitable tant que l’occupation israélienne persistera. Pour le peuple palestinien, la résistance reste un droit légitime face à une oppression systématique. Mais pour que la paix soit possible, il est impératif que la communauté internationale reconnaisse et s’attaque aux causes profondes du conflit.