Par Jamal HAJJAM
"Suite aux propos inacceptables tenus par Mehdi Ghezzar sur une télévision étrangère, la direction de RMC et Les Grandes Gueules ont décidé de mettre un terme à la participation de Mehdi Ghezzar à l’émission", a déclaré le présentateur Alain Marschall à l’antenne ce mardi, précisant que "RMC et les animateurs des Grandes Gueules se désolidarisent de ces propos tenus à titre personnel. Ceux-ci ne correspondent pas aux valeurs de RMC et des Grandes Gueules. Point final, pas d’autres commentaires", a-t-il ajouté sèchement dans une courte séquence.
Que reproche-t-on de particulier à ce chroniqueur de la dernière heure, par ailleurs fraichement désigné représentant du président Abdelmadjid Tebboune à Paris ? Et bien, un tas de manquements à la morale, à l'éthique, à la déontologie, aux exigences professionnelles et au respect dû aux Etats et à leurs symboles. Sa diatribe contre le peuple marocain, le Roi Mohammed VI et son Conseiller André Azoulay, qualifiée par d'aucuns de raciste, antisémite, immorale et ordurière, a soulevé une très grosse vague d'indignation au Maroc comme France.
Le désormais ancien intervenant à l'émission Les Grandes gueules a donné libre cour à son imagination haineuse accusant André Azoulay d’être un "juif sioniste" qui aurait été à l’origine d’un "décret royal interdisant aux Marocains de manifester leur solidarité avec le peuple palestinien". Ce n'est pas tout. Le Conseiller royal est aussi accusé d’être le "véritable dirigeant du Maroc, téléguidé par l’entité sioniste". Rien que ça ! A-t-il étayé ces accusations par la moindre petite preuve ? Bien-sûr que non étant donné que nous sommes ici devant un mal qui a pour noms calomnie, dénigrement, médisance, diffamation...
Mehdi Ghezzar, qui était manifestement investi d'une mission de lynchage du Maroc sur les ondes d'une télévision publique algérienne, ne faisait au fait que verser dans les mêmes fantasmes propagandistes du régime grabataire d'Alger dont les mensonges et le dénigrement du Maroc n'ont d'égal que ses frustrations devant les succès successif de la diplomatie marocaine concernant la question de l'intégrité territoriale du Royaume, et du rayonnement grandissant du Maroc de Mohammed VI dans les différents domaines et secteurs.
Le calomniateur de service dont on ne s'étonnera pas de voir désigné à un haut poste de responsabilité dans son pays, l'Algérie, pour haine accrue contre le Maroc -c'est comme cela que ça marche chez nos voisins de l'Est- n'a pas hésité devant le grand saut dans le vide en avançant sans sourciller que le Maroc serait "téléguidé par l’entité sioniste" via la main cachée d'Azoulay et serait ainsi sous l’emprise d’une "partie étrangère à la population marocaine" qui interdit aux Marocains de manifester leur soutien à la Palestine tandis que l’Algérie, elle, résisterait au "diktat sioniste" !
Le monde à l'envers quoi, sachant que les sorties dans les rues des Marocains pour la Palestine sont récurrentes alors qu'en Algérie, qui ose manifester se retrouve illico presto en prison.
Et puis, cet apôtre de l'anti-marocanisme primaire connaît-il réellement qui est le citoyen marocain André Azoulay, ou se contente-t-il, par antisémitisme caractérisé, de le traiter de tous les noms d'oiseaux pour le simple fait qu'il soit de confession juive ?
Pour faire vite, l'on rappellera qu'André Azoulay est le fondateur, en 1970 déjà, d’un groupe d’intellectuels juifs appelant à la création d’un Etat Palestinien. Il est aussi président élu de la Fondation euro-méditerranéenne Anna Lindh pour le dialogue entre les cultures, basée à Alexandrie, et membre du comité des sages pour l’Alliance des civilisations à l’ONU, président délégué de la Fondation des trois cultures et des trois religions, basée à Séville, et administrateur du Forum méditerranéen et du centre Shimon Peres pour la paix.
Celui que la presse algérienne ne cesse de dénigrer dans l'objectif de porter atteinte à l'image du Maroc pour ce qui est de la question palestinienne, a milité depuis plus d’un demi-siècle pour la création d’un État palestinien et pour un dialogue respectueux de tous, entre le monde arabo-musulman et les communautés juives, en Europe, aux États-Unis, et plus largement des diasporas arabes et juives dans le Monde.
Seulement voilà, il y en a de ces bougres algériens qui foncent tête baissée, aveuglés par la haine et la frustration. Situation que l'illustre politologue français Bruno Tertrais a résumé en ces termes : "L’amertume de certains Algériens vis-à-vis des succès marocains s’exprime parfois publiquement avec une brutalité inouïe et ce genre d’attaques est un signe de cette frustration, notamment devant les succès du Maroc dans l’affaire du Sahara, après la reconnaissance française".
Tout porte à croire que la rage algérienne va gagner en intensité, le Maroc n'étant pas prêt de s'arrêter en si bon chemin en matière de consolidation de son intégrité territoriale et d'alignement pour sa cause des États des quatre continents. Les chocs pour les locataires d'Al Mouradia se suivront encore, à un rythme soutenu, au grand dam du régime fossilisé d'Alger.
Que reproche-t-on de particulier à ce chroniqueur de la dernière heure, par ailleurs fraichement désigné représentant du président Abdelmadjid Tebboune à Paris ? Et bien, un tas de manquements à la morale, à l'éthique, à la déontologie, aux exigences professionnelles et au respect dû aux Etats et à leurs symboles. Sa diatribe contre le peuple marocain, le Roi Mohammed VI et son Conseiller André Azoulay, qualifiée par d'aucuns de raciste, antisémite, immorale et ordurière, a soulevé une très grosse vague d'indignation au Maroc comme France.
Le désormais ancien intervenant à l'émission Les Grandes gueules a donné libre cour à son imagination haineuse accusant André Azoulay d’être un "juif sioniste" qui aurait été à l’origine d’un "décret royal interdisant aux Marocains de manifester leur solidarité avec le peuple palestinien". Ce n'est pas tout. Le Conseiller royal est aussi accusé d’être le "véritable dirigeant du Maroc, téléguidé par l’entité sioniste". Rien que ça ! A-t-il étayé ces accusations par la moindre petite preuve ? Bien-sûr que non étant donné que nous sommes ici devant un mal qui a pour noms calomnie, dénigrement, médisance, diffamation...
Mehdi Ghezzar, qui était manifestement investi d'une mission de lynchage du Maroc sur les ondes d'une télévision publique algérienne, ne faisait au fait que verser dans les mêmes fantasmes propagandistes du régime grabataire d'Alger dont les mensonges et le dénigrement du Maroc n'ont d'égal que ses frustrations devant les succès successif de la diplomatie marocaine concernant la question de l'intégrité territoriale du Royaume, et du rayonnement grandissant du Maroc de Mohammed VI dans les différents domaines et secteurs.
Le calomniateur de service dont on ne s'étonnera pas de voir désigné à un haut poste de responsabilité dans son pays, l'Algérie, pour haine accrue contre le Maroc -c'est comme cela que ça marche chez nos voisins de l'Est- n'a pas hésité devant le grand saut dans le vide en avançant sans sourciller que le Maroc serait "téléguidé par l’entité sioniste" via la main cachée d'Azoulay et serait ainsi sous l’emprise d’une "partie étrangère à la population marocaine" qui interdit aux Marocains de manifester leur soutien à la Palestine tandis que l’Algérie, elle, résisterait au "diktat sioniste" !
Le monde à l'envers quoi, sachant que les sorties dans les rues des Marocains pour la Palestine sont récurrentes alors qu'en Algérie, qui ose manifester se retrouve illico presto en prison.
Et puis, cet apôtre de l'anti-marocanisme primaire connaît-il réellement qui est le citoyen marocain André Azoulay, ou se contente-t-il, par antisémitisme caractérisé, de le traiter de tous les noms d'oiseaux pour le simple fait qu'il soit de confession juive ?
Pour faire vite, l'on rappellera qu'André Azoulay est le fondateur, en 1970 déjà, d’un groupe d’intellectuels juifs appelant à la création d’un Etat Palestinien. Il est aussi président élu de la Fondation euro-méditerranéenne Anna Lindh pour le dialogue entre les cultures, basée à Alexandrie, et membre du comité des sages pour l’Alliance des civilisations à l’ONU, président délégué de la Fondation des trois cultures et des trois religions, basée à Séville, et administrateur du Forum méditerranéen et du centre Shimon Peres pour la paix.
Celui que la presse algérienne ne cesse de dénigrer dans l'objectif de porter atteinte à l'image du Maroc pour ce qui est de la question palestinienne, a milité depuis plus d’un demi-siècle pour la création d’un État palestinien et pour un dialogue respectueux de tous, entre le monde arabo-musulman et les communautés juives, en Europe, aux États-Unis, et plus largement des diasporas arabes et juives dans le Monde.
Seulement voilà, il y en a de ces bougres algériens qui foncent tête baissée, aveuglés par la haine et la frustration. Situation que l'illustre politologue français Bruno Tertrais a résumé en ces termes : "L’amertume de certains Algériens vis-à-vis des succès marocains s’exprime parfois publiquement avec une brutalité inouïe et ce genre d’attaques est un signe de cette frustration, notamment devant les succès du Maroc dans l’affaire du Sahara, après la reconnaissance française".
Tout porte à croire que la rage algérienne va gagner en intensité, le Maroc n'étant pas prêt de s'arrêter en si bon chemin en matière de consolidation de son intégrité territoriale et d'alignement pour sa cause des États des quatre continents. Les chocs pour les locataires d'Al Mouradia se suivront encore, à un rythme soutenu, au grand dam du régime fossilisé d'Alger.