Sa mort est survenue quelques semaines seulement avant la sortie de son dernier film « The Caine Mutiny Court-Martial », basé sur la pièce de théâtre de Herman Wouk.
Considéré comme un maître dans le suspense et l’horreur, le cinéaste américain avait reçu l’Oscar du meilleur réalisateur pour French Connection, sorti en 1971, film qui l’a propulsé parmi la nouvelle génération hollywoodienne affranchie des codes classiques, aux côtés de Francis Ford Coppola et Martin Scorsese.
Mais William Friedkin va réellement s’imposer comme un cinéaste incontournable avec L’Exorciste. L’histoire d’une jeune fille de 12 ans habitée par un démon, adaptée du roman de William Peter Blatty. Ce film lui a valu deux Oscars et quatre Golden Globes en 1974, mélange horreur, malaise et perversion. Non-croyant, Friedkin raconte que ce classique à la bande originale aussi glaçante qu’une main froide posée sur la nuque, est basé sur un cas « authentique » de possession démoniaque.
Considéré comme un maître dans le suspense et l’horreur, le cinéaste américain avait reçu l’Oscar du meilleur réalisateur pour French Connection, sorti en 1971, film qui l’a propulsé parmi la nouvelle génération hollywoodienne affranchie des codes classiques, aux côtés de Francis Ford Coppola et Martin Scorsese.
Mais William Friedkin va réellement s’imposer comme un cinéaste incontournable avec L’Exorciste. L’histoire d’une jeune fille de 12 ans habitée par un démon, adaptée du roman de William Peter Blatty. Ce film lui a valu deux Oscars et quatre Golden Globes en 1974, mélange horreur, malaise et perversion. Non-croyant, Friedkin raconte que ce classique à la bande originale aussi glaçante qu’une main froide posée sur la nuque, est basé sur un cas « authentique » de possession démoniaque.
Il a ensuite réalisé plusieurs films très appréciés, dont « Bug » (2006) et « Killer Joe » (2011). En 2013, il reçoit un Lion d’or pour l’ensemble de son œuvre au Festival du film de Venise.
L'ODJ avec 20minutes