Par Kaïsse Ben Yahia
Comment puis-je mettre en mots l’univers
Comment dire mon amour, le mettre en vers
Comment trahir mon cœur, traduire en lettres
Un soupir qui soulage peu l’émoi de mon être
Ta lumière céleste, scintille fort depuis ce jour
Où naquit la paix des âmes, le pardon et l’amour
Nous éclaire la voie du cœur, la voie du destin
Retrouver la graine source, semis des humains
Porteur de l’étrange dans un monde en déroute
Message divin, le cœur certain, libéré du doute
Voyageur de nuit en quête alors de lumière
Vers l’enceinte sacrée appelant à la prière,
l’Aimé d’Allah, tu te laissas quitter la terre,
lavé des peines, âme et charge légères,
fort de ta foi, pleine et seule science
tu nous ramenas la vie, l’amour et le sens.
Comment dire mon amour, le mettre en vers
Comment trahir mon cœur, traduire en lettres
Un soupir qui soulage peu l’émoi de mon être
Ta lumière céleste, scintille fort depuis ce jour
Où naquit la paix des âmes, le pardon et l’amour
Nous éclaire la voie du cœur, la voie du destin
Retrouver la graine source, semis des humains
Porteur de l’étrange dans un monde en déroute
Message divin, le cœur certain, libéré du doute
Voyageur de nuit en quête alors de lumière
Vers l’enceinte sacrée appelant à la prière,
l’Aimé d’Allah, tu te laissas quitter la terre,
lavé des peines, âme et charge légères,
fort de ta foi, pleine et seule science
tu nous ramenas la vie, l’amour et le sens.
J’imagine ton regard, reflet du ciel infini
Nourri de louanges des êtres sereins et bénis
Je prononce ton nom et s’arrête ma pensée
Le temps de dire le salut divin, sans nuancer
L’instant de doute où vers toi je suis parti
Ta voix emplit mon cœur d’une douce empathie
J’ai tombé ma frayeur, d’une prière volontaire
Issue des craintes, que tu m’as ordonné de faire
Depuis je sais, au-delà de tous les savoirs
Que ce n’était ni un rêve, ni un vœu illusoire
Cet instant de présence auprès du Messager
M’a rendu ma foi, ma soumission engagée.
Rédigé par Kaïsse Ben Yahia
Nourri de louanges des êtres sereins et bénis
Je prononce ton nom et s’arrête ma pensée
Le temps de dire le salut divin, sans nuancer
L’instant de doute où vers toi je suis parti
Ta voix emplit mon cœur d’une douce empathie
J’ai tombé ma frayeur, d’une prière volontaire
Issue des craintes, que tu m’as ordonné de faire
Depuis je sais, au-delà de tous les savoirs
Que ce n’était ni un rêve, ni un vœu illusoire
Cet instant de présence auprès du Messager
M’a rendu ma foi, ma soumission engagée.
Rédigé par Kaïsse Ben Yahia