Le porte-parole de la présidence argentine, Manuel Adorni, a annoncé, le 3 avril, la suppression de 15.000 emplois dans la fonction publique, dans le cadre de la politique du président libéral Javier Milei de réduire les dépenses de l’Etat. Manuel Adorni a qualifié les fonctionnaires licenciés comme ayant été « un fardeau pour les contribuables ».
En réaction à cette décision, des centaines de fonctionnaires limogés ont occupé leurs anciens lieux de travail dans la capitale Buenos Aires et d’autres villes de ce pays d’Amérique du Sud afin de protester contre leur licenciement et exiger leur réintégration.
En réaction à cette décision, des centaines de fonctionnaires limogés ont occupé leurs anciens lieux de travail dans la capitale Buenos Aires et d’autres villes de ce pays d’Amérique du Sud afin de protester contre leur licenciement et exiger leur réintégration.