Selon des sources bien informées, cette mesure aurait été prise par des responsables de la wilaya et de la commune, qui ont même affecté deux employés pour contrôler l'accès à ce parking et en interdire l'entrée au public. Tout cela dans le but de mettre fin au stationnement anarchique qui régnait aux abords de la wilaya et du siège du Conseil de la Ville. Mais à quel prix ?
En effet, cette décision prive la commune urbaine de Casablanca de recettes annuelles substantielles, estimées à plus d'un million de dirhams. Et ce n'est pas tout ! La commune avait pourtant proposé à ses élus et fonctionnaires d'utiliser le troisième étage du parking de la place Rachidi, d'une capacité de 720 places, moyennant un abonnement mensuel modique de 100 dirhams. Une offre qui aurait permis d'optimiser l'exploitation des deux parkings et de générer des revenus supplémentaires. Mais visiblement, cette proposition est restée lettre morte.
Pire encore, la gratuité accordée aux élus et fonctionnaires place l'ensemble de cette infrastructure dans une impasse financière. La commune devra trouver des ressources pour assurer l'entretien et le bon fonctionnement de ce parking de luxe, avec ses ascenseurs, ses caméras de surveillance, son système informatique et ses autres installations, sans oublier les salaires de ses employés. Un véritable casse-tête pour les finances publiques !
Ce scandale du parking de luxe réservé aux élites de Casablanca soulève de sérieuses questions sur la gestion des deniers publics et l'équité envers les citoyens. Comment justifier un tel privilège accordé à une poignée d'élus et de fonctionnaires, au détriment des automobilistes casablancais qui auraient pu bénéficier de ces places de stationnement ? Une affaire qui risque de faire grand bruit et qui appelle à une remise en question des pratiques de certains responsables.
En effet, cette décision prive la commune urbaine de Casablanca de recettes annuelles substantielles, estimées à plus d'un million de dirhams. Et ce n'est pas tout ! La commune avait pourtant proposé à ses élus et fonctionnaires d'utiliser le troisième étage du parking de la place Rachidi, d'une capacité de 720 places, moyennant un abonnement mensuel modique de 100 dirhams. Une offre qui aurait permis d'optimiser l'exploitation des deux parkings et de générer des revenus supplémentaires. Mais visiblement, cette proposition est restée lettre morte.
Pire encore, la gratuité accordée aux élus et fonctionnaires place l'ensemble de cette infrastructure dans une impasse financière. La commune devra trouver des ressources pour assurer l'entretien et le bon fonctionnement de ce parking de luxe, avec ses ascenseurs, ses caméras de surveillance, son système informatique et ses autres installations, sans oublier les salaires de ses employés. Un véritable casse-tête pour les finances publiques !
Ce scandale du parking de luxe réservé aux élites de Casablanca soulève de sérieuses questions sur la gestion des deniers publics et l'équité envers les citoyens. Comment justifier un tel privilège accordé à une poignée d'élus et de fonctionnaires, au détriment des automobilistes casablancais qui auraient pu bénéficier de ces places de stationnement ? Une affaire qui risque de faire grand bruit et qui appelle à une remise en question des pratiques de certains responsables.