Poème en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Lorsque le mal m’envahit, tout perd son éclat,
Et le monde se couvre d’un funeste drap.
Les rayons de soleil s’éteignent dans mon cœur,
Sous le voile des peines, disparaît la lueur.
Je vois les gens sourire, mais mon âme enchaînée,
Ne peut que contempler leur joie désenchantée.
Inconsciemment, je veux qu’eux aussi ressentent,
Cette lourde tristesse où mes pensées me hantent.
Je désire dans l’ombre que tout soit aussi noir,
Que nul ne puisse échapper à ce triste soir.
Mais ce souhait cruel, nourri par ma douleur,
Ne fait qu’aggraver mon tourment et mes pleurs.
Je vois le monde sombre et le peins de mes maux,
Espérant que d’autres se brisent sous mes mots.
Hélas, cet élan ne fait que m’isoler,
Car de cette noirceur je ne puis me lasser.
Je dois comprendre enfin que ma peine est la mienne,
Et qu’autrui n’a pas à ressentir ma chaîne.
Exprimer sa douleur n’est point contagion,
Et je dois préserver des autres la raison.
Si je veux retrouver en moi quelque lumière,
Je dois briser ce cercle aux teintes trop amères.
Car la souffrance seule n’est jamais un appui,
Et je dois voir les autres en paix malgré mon cri.
Pour guérir, il me faut des pensées bienveillantes,
Écarter les ténèbres, espérer l’aimante.
Je laisse les ténèbres,
Et retrouve l’espoir,
Dans la paix de mon cœur,
Brille un nouveau regard.
Et le monde se couvre d’un funeste drap.
Les rayons de soleil s’éteignent dans mon cœur,
Sous le voile des peines, disparaît la lueur.
Je vois les gens sourire, mais mon âme enchaînée,
Ne peut que contempler leur joie désenchantée.
Inconsciemment, je veux qu’eux aussi ressentent,
Cette lourde tristesse où mes pensées me hantent.
Je désire dans l’ombre que tout soit aussi noir,
Que nul ne puisse échapper à ce triste soir.
Mais ce souhait cruel, nourri par ma douleur,
Ne fait qu’aggraver mon tourment et mes pleurs.
Je vois le monde sombre et le peins de mes maux,
Espérant que d’autres se brisent sous mes mots.
Hélas, cet élan ne fait que m’isoler,
Car de cette noirceur je ne puis me lasser.
Je dois comprendre enfin que ma peine est la mienne,
Et qu’autrui n’a pas à ressentir ma chaîne.
Exprimer sa douleur n’est point contagion,
Et je dois préserver des autres la raison.
Si je veux retrouver en moi quelque lumière,
Je dois briser ce cercle aux teintes trop amères.
Car la souffrance seule n’est jamais un appui,
Et je dois voir les autres en paix malgré mon cri.
Pour guérir, il me faut des pensées bienveillantes,
Écarter les ténèbres, espérer l’aimante.
Je laisse les ténèbres,
Et retrouve l’espoir,
Dans la paix de mon cœur,
Brille un nouveau regard.
Ce poème exprime la manière dont la tristesse profonde peut déformer la perception du monde.
Lorsqu'on ne va pas bien, on a tendance à voir tout à travers un prisme sombre et, inconsciemment, à souhaiter que les autres partagent ce même mal-être.
Cependant, cette attitude, bien que non voulue, est néfaste autant pour soi-même que pour les autres, car elle entretient la souffrance et l'isolement. Le texte souligne l'importance de reconnaître ce mécanisme et de ne pas contaminer ceux qui nous entourent avec notre douleur.
La guérison vient en cultivant la bienveillance et en cherchant à retrouver la lumière intérieure, sans imposer son mal-être aux autres.
Cependant, cette attitude, bien que non voulue, est néfaste autant pour soi-même que pour les autres, car elle entretient la souffrance et l'isolement. Le texte souligne l'importance de reconnaître ce mécanisme et de ne pas contaminer ceux qui nous entourent avec notre douleur.
La guérison vient en cultivant la bienveillance et en cherchant à retrouver la lumière intérieure, sans imposer son mal-être aux autres.