Abdel Jalil a indiqué, lors d'une séance publique de questions orales à la Chambre des représentants, lundi 27 décembre 2021, que le ministère avait reçu plusieurs demandes à ce sujet de la part d'organismes et d'associations professionnelles, notant que pour étudier ces difficultés, les autorités marocaines ont lié contact avec la représentation diplomatique française au Royaume, ce qui a donné un signal positif dans le sens de trouver des solutions efficaces à ce dossier.
Le ministre a indiqué avoir présidé ce mois-ci une réunion avec des professionnels du transport international de marchandises, au cours de laquelle il a été convenu d'une méthodologie d'action commune pour surmonter les obstacles auxquels ce secteur est confronté.
Les routiers internationaux marocains sont confrontés à des difficultés d'accès aux marchés européens, en raison de la décision des autorités françaises de durcir les procédures de visa pour les Marocains, d'autant plus que cette décision a coïncidé avec le début de la saison des exportations.
Abdelilah Hifdi, président de la Fédération nationale des transports, expliqué, selon le site SNRT News, que les professionnels du transport routier international souffrent d'obstacles à l'obtention d'un visa français, notant que la décision des autorités françaises a contribué à aggraver leurs souffrances prolongées depuis le déclenchement de la crise covid-19. Les routiers internationaux, du fait du long délai de traitement de leurs dossiers, ont également constaté que déposer leurs dossiers est devenue quasi impossible.
Franck Riester, ministre délégué auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, chargé du commerce extérieur et de l'attractivité de la République Française, avait précédemment lié le retour sur la décision de durcir les procédures de visas pour les Marocains au rapatriement des ressortissants marocains en situation irrégulière en France.
Le 28 septembre dernier, les autorités françaises ont annoncé le durcissement des conditions de visas pour les ressortissants marocains, algériens et tunisiens, en réponse à ce qu'elles considéraient comme le « refus » des trois pays de délivrer les autorisations consulaires nécessaires au retour de leurs citoyens.
De son côté, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains des expatriés, Nasser Bourita, a jugé la décision prise par la France "injustifiée", soulignant que le Maroc a toujours traité la question des migrations avec responsabilité en plus du soutien de l’équilibre nécessaire entre le mouvement des personnes et la lutte contre l'immigration illégale.
Le ministre a indiqué avoir présidé ce mois-ci une réunion avec des professionnels du transport international de marchandises, au cours de laquelle il a été convenu d'une méthodologie d'action commune pour surmonter les obstacles auxquels ce secteur est confronté.
Les routiers internationaux marocains sont confrontés à des difficultés d'accès aux marchés européens, en raison de la décision des autorités françaises de durcir les procédures de visa pour les Marocains, d'autant plus que cette décision a coïncidé avec le début de la saison des exportations.
Abdelilah Hifdi, président de la Fédération nationale des transports, expliqué, selon le site SNRT News, que les professionnels du transport routier international souffrent d'obstacles à l'obtention d'un visa français, notant que la décision des autorités françaises a contribué à aggraver leurs souffrances prolongées depuis le déclenchement de la crise covid-19. Les routiers internationaux, du fait du long délai de traitement de leurs dossiers, ont également constaté que déposer leurs dossiers est devenue quasi impossible.
Franck Riester, ministre délégué auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, chargé du commerce extérieur et de l'attractivité de la République Française, avait précédemment lié le retour sur la décision de durcir les procédures de visas pour les Marocains au rapatriement des ressortissants marocains en situation irrégulière en France.
Le 28 septembre dernier, les autorités françaises ont annoncé le durcissement des conditions de visas pour les ressortissants marocains, algériens et tunisiens, en réponse à ce qu'elles considéraient comme le « refus » des trois pays de délivrer les autorisations consulaires nécessaires au retour de leurs citoyens.
De son côté, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains des expatriés, Nasser Bourita, a jugé la décision prise par la France "injustifiée", soulignant que le Maroc a toujours traité la question des migrations avec responsabilité en plus du soutien de l’équilibre nécessaire entre le mouvement des personnes et la lutte contre l'immigration illégale.