Le jeûne intermittent repose sur plusieurs méthodes telles que le 16/8 (jeûner 16 heures et manger durant 8 heures), gagne en popularité pour ses bienfaits potentiels sur la santé, notamment la perte de poids, l'amélioration du sommeil, de la digestion et des niveaux d'énergie.
Le naturopathe Pedi Mirdamadi partage ses conseils
Selon le docteur, spécialisé dans cette méthode aux États-Unis, l’une des règles essentielles est de comprendre que, durant la période de jeûne, boire de l'eau, du thé ou du café est permis, à condition qu'ils soient consommés sans sucre ni lait. En effet, le lait, contenant des calories, pourrait rompre le jeûne et diminuer ses effets bénéfiques sur le métabolisme. Mirdamadi recommande également de s'assurer que ces boissons restent simples, sans additifs susceptibles de compromettre la phase de jeûne.
Un autre aspect fondamental concerne la durée du jeûne. Le docteur recommande de viser une période de 14 à 16 heures pour obtenir des bénéfices optimaux. Tout en insistant sur l’écoute du corps.
Précautions à prendre
Bien que le jeûne intermittent présente des avantages, il n'est pas adapté à tous les profils. Ceux qui souffrent de troubles alimentaires, les femmes enceintes, ou encore les personnes ayant des conditions de santé spécifiques ou prenant des médicaments doivent être particulièrement prudents. Il est essentiel de consulter un professionnel de la santé avant de se lancer dans ce type de pratique pour s'assurer qu'il convient à ses besoins et à son état de santé. Pour certains personnes, le jeûne intermittent peut également être difficile à intégrer dans leurs routines, notamment en raison de la rigidité des périodes d’alimentation et de jeûne. Des symptômes comme la fatigue, la baisse d’énergie ou des maux de tête peuvent apparaître si le corps ne s'adapte pas correctement à ce mode d'alimentation. Il est donc important d’adopter une approche progressive, en laissant au corps le temps de s'ajuster.
Bien qu’efficace pour certains, cette pratique nécessite une approche réfléchie. En adaptant les plages de jeûne et d’alimentation à son propre rythme et en tenant compte des besoins de son corps, il est possible d'en tirer les bienfaits. Toutefois, ce n’est pas une solution universelle et il est recommandé d'adopter cette pratique sous la supervision d'un spécialiste de la santé, particulièrement pour ceux avec des conditions spécifiques.
Le naturopathe Pedi Mirdamadi partage ses conseils
Selon le docteur, spécialisé dans cette méthode aux États-Unis, l’une des règles essentielles est de comprendre que, durant la période de jeûne, boire de l'eau, du thé ou du café est permis, à condition qu'ils soient consommés sans sucre ni lait. En effet, le lait, contenant des calories, pourrait rompre le jeûne et diminuer ses effets bénéfiques sur le métabolisme. Mirdamadi recommande également de s'assurer que ces boissons restent simples, sans additifs susceptibles de compromettre la phase de jeûne.
Un autre aspect fondamental concerne la durée du jeûne. Le docteur recommande de viser une période de 14 à 16 heures pour obtenir des bénéfices optimaux. Tout en insistant sur l’écoute du corps.
"Les recherches montrent qu'un jeûne de 14 à 16 heures vous apporte de nombreux avantages, vous devez donc essayer de le pousser jusqu'à la barre des 14-16 heures et de ne manger que lorsque vous avez faim."Pour accompagner le corps durant ces phases sans apport calorique, il est conseillé de prendre certains compléments alimentaires, notamment les vitamines B, les électrolytes et les oméga-3. Ces éléments aident à maintenir l’énergie et à éviter les carences. Mirdamadi met en garde contre des produits comme le bouillon d’os ou les poudres protéinées, qui, malgré leur apparence innocente, contiennent des calories et des additifs qui peuvent interrompre le jeûne.
Précautions à prendre
Bien que le jeûne intermittent présente des avantages, il n'est pas adapté à tous les profils. Ceux qui souffrent de troubles alimentaires, les femmes enceintes, ou encore les personnes ayant des conditions de santé spécifiques ou prenant des médicaments doivent être particulièrement prudents. Il est essentiel de consulter un professionnel de la santé avant de se lancer dans ce type de pratique pour s'assurer qu'il convient à ses besoins et à son état de santé. Pour certains personnes, le jeûne intermittent peut également être difficile à intégrer dans leurs routines, notamment en raison de la rigidité des périodes d’alimentation et de jeûne. Des symptômes comme la fatigue, la baisse d’énergie ou des maux de tête peuvent apparaître si le corps ne s'adapte pas correctement à ce mode d'alimentation. Il est donc important d’adopter une approche progressive, en laissant au corps le temps de s'ajuster.
Bien qu’efficace pour certains, cette pratique nécessite une approche réfléchie. En adaptant les plages de jeûne et d’alimentation à son propre rythme et en tenant compte des besoins de son corps, il est possible d'en tirer les bienfaits. Toutefois, ce n’est pas une solution universelle et il est recommandé d'adopter cette pratique sous la supervision d'un spécialiste de la santé, particulièrement pour ceux avec des conditions spécifiques.