Il a expliqué que les prochains cycles de la Série de dialogues sociaux nécessitent plus de fermeté et de courage pour répondre aux attentes et relever les défis.
Il a souligné que le succès de cela dépend de l’adoption de mécanismes liés au maintien et à l’institutionnalisation du dialogue social, qui seront chargés après l’élaboration d’une vision commune entre le gouvernement et ses partenaires, notamment “la mise en place de l’Observatoire national du dialogue social et de l’Académie de formation dans le domaine du travail, de l’emploi et du climat social”.
Il a souligné la volonté du gouvernement lors des précédentes réunions avec les syndicats et Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) d’aborder les questions actuelles qui ont été reportées selon le calendrier programmé dans l’Accord du 30 avril, notamment “l’impôt sur le revenu, la réforme des retraites et le réexamen d’un grand nombre de législation liée au travail”.
Il a déclaré que le gouvernement s’est efforcé d’inclure les propositions de ses partenaires sociaux et économiques dans le projet de loi de finances de l’année prochaine, “dans la mesure du possible en s’appuyant sur l’approche de la franchise et de la clarté”
Il a souligné que le succès de cela dépend de l’adoption de mécanismes liés au maintien et à l’institutionnalisation du dialogue social, qui seront chargés après l’élaboration d’une vision commune entre le gouvernement et ses partenaires, notamment “la mise en place de l’Observatoire national du dialogue social et de l’Académie de formation dans le domaine du travail, de l’emploi et du climat social”.
Il a souligné la volonté du gouvernement lors des précédentes réunions avec les syndicats et Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) d’aborder les questions actuelles qui ont été reportées selon le calendrier programmé dans l’Accord du 30 avril, notamment “l’impôt sur le revenu, la réforme des retraites et le réexamen d’un grand nombre de législation liée au travail”.
Il a déclaré que le gouvernement s’est efforcé d’inclure les propositions de ses partenaires sociaux et économiques dans le projet de loi de finances de l’année prochaine, “dans la mesure du possible en s’appuyant sur l’approche de la franchise et de la clarté”