Le propos du jour de Abdallah Bekkali / alalam.ma
"Il est clair que l'Algérie va revoir tous ses accords avec l'Espagne dans tous les domaines", a déclaré Chakib Kaid, secrétaire général du ministère algérien des Affaires étrangères, dans un point de presse lors de sa visite dans la capitale italienne, la position du Premier ministre espagnols, Pedro Sanchez, contenue dans la lettre qu'il a adressée à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dans laquelle il soutenait la proposition du Maroc d'autonomie sous souveraineté marocaine dans nos provinces du sud.
Nous n'avons jamais entendu dire que le gouvernement algérien a lâché une telle menace contre de nombreux gouvernements de pays qui ont changé leurs positions sur des questions qui concernent directement l'Algérie, dont la dernière en date était la déclaration du président français Emmanuel Macron, qui a nié toute existence historique d'un pays appelé l'Algérie. Les autorités algériennes se sont contentées de manœuvrer en convoquant son ambassadeur à Paris pour l'ont renvoyé à son poste sans aucun intérêt exprimé de la part du gouvernement français. Inutile de rappeler que le gouvernement algérien n'a pas menacé de revoir ses accords avec les gouvernements des pays qui ont offensé la cause palestinienne.
Bien sûr, le responsable algérien menace le gouvernement espagnol d'annuler l'accord d'exportation de gaz vers l'Espagne dans une dernière tentative pour le forcer à changer sa position de soutien au Maroc, puisque l’Algérie à l’habitude de pratiquer le chantage au gaz avec Madrid entre autres.
Malgré tout cela, le gouvernement algérien n'hésite pas à affirmer qu'il n'est pas partie prenante au conflit factice du Sahara marocain. C'est la capacité surnaturelle que le voisin de l’Est a pour pratiquer hypocrisie.
Nous n'avons jamais entendu dire que le gouvernement algérien a lâché une telle menace contre de nombreux gouvernements de pays qui ont changé leurs positions sur des questions qui concernent directement l'Algérie, dont la dernière en date était la déclaration du président français Emmanuel Macron, qui a nié toute existence historique d'un pays appelé l'Algérie. Les autorités algériennes se sont contentées de manœuvrer en convoquant son ambassadeur à Paris pour l'ont renvoyé à son poste sans aucun intérêt exprimé de la part du gouvernement français. Inutile de rappeler que le gouvernement algérien n'a pas menacé de revoir ses accords avec les gouvernements des pays qui ont offensé la cause palestinienne.
Bien sûr, le responsable algérien menace le gouvernement espagnol d'annuler l'accord d'exportation de gaz vers l'Espagne dans une dernière tentative pour le forcer à changer sa position de soutien au Maroc, puisque l’Algérie à l’habitude de pratiquer le chantage au gaz avec Madrid entre autres.
Malgré tout cela, le gouvernement algérien n'hésite pas à affirmer qu'il n'est pas partie prenante au conflit factice du Sahara marocain. C'est la capacité surnaturelle que le voisin de l’Est a pour pratiquer hypocrisie.