Le trio des 'loosers' : un président marionnette, un général 'couche-culotte' et un tortionnaire malade
Une commission algéro-polisarienne s’est réunie, les 14 & 15 juin à Tindouf, pour apporter une touche finale au projet de traçage des ‘frontières’ entre le voisin de l’Est et la bande de miliciens polisariens que les caporaux d’Alger ont eux-mêmes crées.
C’est tellement surréaliste que l’on se demande si les dirigeants algériens n’ont pas totalement perdu les pédales et viellent à ce que l’ensemble de la communauté internationale le sache.
Tout le monde va se demander de quelles ‘frontières’ il s’agit, puisque les miliciens du polisario sont installés et Algérie même, plus exactement dans la Wilaya de Tindouf.
Une prison à ciel ouvert de 40 kms2 ou sont enfermées les populations marocaines sahraouies séquestrées, mélangées à d’autres sahraouis, d’Algérie, de Mauritanie et du nord du Mali.
C’est tellement surréaliste que l’on se demande si les dirigeants algériens n’ont pas totalement perdu les pédales et viellent à ce que l’ensemble de la communauté internationale le sache.
Tout le monde va se demander de quelles ‘frontières’ il s’agit, puisque les miliciens du polisario sont installés et Algérie même, plus exactement dans la Wilaya de Tindouf.
Une prison à ciel ouvert de 40 kms2 ou sont enfermées les populations marocaines sahraouies séquestrées, mélangées à d’autres sahraouis, d’Algérie, de Mauritanie et du nord du Mali.
« Ici gît le polisario »
En fait, il s’agit une ligne de 40,34 Kms située entre la ville algérienne de Tindouf et celle marocaine de Mahbès.
La grande trouvaille des caporaux d’Alger est d’y planter des panneaux indiquant une pseudo-frontière entre l’Algérie et la république fantoche qu’elle a créée.
D’abord, Lahmda de Tindouf est une région tellement désolée que personne n’aurait envie d’y mettre les pieds. Les habitants des camps y souffrent le martyr, entre absence de pâturages et tempêtes de sables.
Ensuite, la zone désertique en question est considérée comme militaire, les Forces Armées Royales y veillent à ce qu’aucune bande terroriste ne vienne s’y implanter et semer le chaos.
Depuis que le polisario a déclaré la fin du cessez-le-feu, le 13 novembre 2020, c’est toute la zone démilitarisée, qu’il désignait au monde entier comme étant des ‘territoires libérés’, qui lui est interdite.
Il n’y aura, donc, que les soldats algériens et les miliciens polisariens qui vont pouvoir ‘admirer’ les panneaux qu’ils vont planter.
La grande trouvaille des caporaux d’Alger est d’y planter des panneaux indiquant une pseudo-frontière entre l’Algérie et la république fantoche qu’elle a créée.
D’abord, Lahmda de Tindouf est une région tellement désolée que personne n’aurait envie d’y mettre les pieds. Les habitants des camps y souffrent le martyr, entre absence de pâturages et tempêtes de sables.
Ensuite, la zone désertique en question est considérée comme militaire, les Forces Armées Royales y veillent à ce qu’aucune bande terroriste ne vienne s’y implanter et semer le chaos.
Depuis que le polisario a déclaré la fin du cessez-le-feu, le 13 novembre 2020, c’est toute la zone démilitarisée, qu’il désignait au monde entier comme étant des ‘territoires libérés’, qui lui est interdite.
Il n’y aura, donc, que les soldats algériens et les miliciens polisariens qui vont pouvoir ‘admirer’ les panneaux qu’ils vont planter.
Déliquescence en mode accéléré
Les plus réalistes vont se rendre compte que ça ressemble plutôt à une inscription sur une pierre tombale : « Ici gît l’illusion d’une république qui n’a jamais existé » !
La médiocrité intellectuelle des dirigeants algériens est vraiment sans bornes. A quoi peut bien servir de ‘délimiter des frontières’ avec un Etat virtuel qui ne bénéficie pas de la reconnaissance de la communauté internationale ?
Tromper les habitants des camps de Tindouf ? Ces derniers ont parfaitement pris conscience, surtout au cours des six derniers mois, qu’ils ne sont que des marionnettes au service des ambitions hostiles d’Alger contre le Maroc.
Même les plus fervents séparatistes dans les camps crient maintenant haut et fort, sur les réseaux sociaux, que le polisario ne les représente plus. Seuls quelques opportunistes soutiennent encore la direction du polisario.
Quand à la majorité des habitants des camps, s’ils pouvaient fuir avec leurs proches pour rentrer chez eux, au Maroc, ils l’auraient fait depuis longtemps.
Les autorisations de sortie ne sont, toutefois, jamais accordées à tous les membres d’une même famille.
La médiocrité intellectuelle des dirigeants algériens est vraiment sans bornes. A quoi peut bien servir de ‘délimiter des frontières’ avec un Etat virtuel qui ne bénéficie pas de la reconnaissance de la communauté internationale ?
Tromper les habitants des camps de Tindouf ? Ces derniers ont parfaitement pris conscience, surtout au cours des six derniers mois, qu’ils ne sont que des marionnettes au service des ambitions hostiles d’Alger contre le Maroc.
Même les plus fervents séparatistes dans les camps crient maintenant haut et fort, sur les réseaux sociaux, que le polisario ne les représente plus. Seuls quelques opportunistes soutiennent encore la direction du polisario.
Quand à la majorité des habitants des camps, s’ils pouvaient fuir avec leurs proches pour rentrer chez eux, au Maroc, ils l’auraient fait depuis longtemps.
Les autorisations de sortie ne sont, toutefois, jamais accordées à tous les membres d’une même famille.
Les Algériens ont marre du polisario
Par contre, cette nouvelle va être particulièrement mal perçue par les militants du Hirak algérien.
Ils sont de plus en plus nombreux, sur les réseaux sociaux, à se plaindre des milliards de dollars dépensés par leur pays pour financer le polisario.
Ils leur reprochent, par ailleurs, de n’avoir jamais appuyé le Hirak.
Le régime du pays voisin de l’Est est en train de tout perdre, et sa guerre contre le Maroc et son emprise sur la société algérienne. En attendant, il continue à se nourrir d’illusions.
Ils sont de plus en plus nombreux, sur les réseaux sociaux, à se plaindre des milliards de dollars dépensés par leur pays pour financer le polisario.
Ils leur reprochent, par ailleurs, de n’avoir jamais appuyé le Hirak.
Le régime du pays voisin de l’Est est en train de tout perdre, et sa guerre contre le Maroc et son emprise sur la société algérienne. En attendant, il continue à se nourrir d’illusions.