Lors de la Ligue des champions féminine de la CAF, trois figures majeures du football féminin africain, à savoir Desiree Ellis, sélectionneuse de l’Afrique du Sud et championne de la Coupe d’Afrique des Nations Féminine CAF TotalEnergies 2022, Clémentine Touré, membre du Groupe Technique d’Étude (TSG), et Meskerem Tadesse Goshime, responsable du développement du football féminin à la CAF, se sont réunies pour une table ronde inspirante. Cette rencontre a porté sur les avancées, les défis et les ambitions futures pour le développement du football féminin en Afrique.
Clémentine Touré a souligné l’essor constant de la Ligue des champions féminine depuis ses premières éditions, avec une progression notable sur les plans technique, tactique, physique et mental. Selon elle, cette compétition offre aux joueuses une plateforme unique pour améliorer leurs compétences et attirer l'attention des recruteurs internationaux. De son côté, Desirée Ellis a insisté sur les opportunités qu'offre cette compétition pour les joueuses de se perfectionner et d'évoluer sur la scène internationale.
La CAF, consciente de l’importance de la professionnalisation du football féminin, met en place des initiatives de formation pour les entraîneurs et administratrices. Meskerem Tadesse Goshime a mentionné la mise en place de licences C et D spécifiquement pour les femmes entraîneures, afin de renforcer les compétences et permettre aux femmes de prendre des rôles de leadership dans les clubs et fédérations.
Les discussions ont également abordé les défis persistants, notamment la nécessité de professionnaliser les ligues nationales pour améliorer la compétitivité. Desiree Ellis a insisté sur le fait que, bien que les ligues africaines restent principalement semi-professionnelles, des efforts accrus pour développer des ligues solides permettront aux joueuses de se concentrer sur leur carrière. Clémentine Touré a souligné l’importance d’avoir des ligues nationales bien établies dans chaque pays, une condition essentielle pour participer aux qualifications zonales de la Ligue des champions.
Les questions financières ont également été abordées, avec des améliorations notables annoncées par Mme Goshime : cette année, l’équipe championne remportera 600 000 dollars, tandis que les demi-finalistes recevront une part substantielle des gains, permettant aux clubs de mieux investir dans leurs équipes féminines.
En conclusion, les intervenantes ont exprimé un optimisme partagé quant à l’avenir du football féminin en Afrique, avec l’engagement de la CAF à accroître la visibilité, soutenir financièrement les clubs et développer des structures de formation pour favoriser l’épanouissement des talents féminins à l’échelle continentale et internationale.
Clémentine Touré a souligné l’essor constant de la Ligue des champions féminine depuis ses premières éditions, avec une progression notable sur les plans technique, tactique, physique et mental. Selon elle, cette compétition offre aux joueuses une plateforme unique pour améliorer leurs compétences et attirer l'attention des recruteurs internationaux. De son côté, Desirée Ellis a insisté sur les opportunités qu'offre cette compétition pour les joueuses de se perfectionner et d'évoluer sur la scène internationale.
La CAF, consciente de l’importance de la professionnalisation du football féminin, met en place des initiatives de formation pour les entraîneurs et administratrices. Meskerem Tadesse Goshime a mentionné la mise en place de licences C et D spécifiquement pour les femmes entraîneures, afin de renforcer les compétences et permettre aux femmes de prendre des rôles de leadership dans les clubs et fédérations.
Les discussions ont également abordé les défis persistants, notamment la nécessité de professionnaliser les ligues nationales pour améliorer la compétitivité. Desiree Ellis a insisté sur le fait que, bien que les ligues africaines restent principalement semi-professionnelles, des efforts accrus pour développer des ligues solides permettront aux joueuses de se concentrer sur leur carrière. Clémentine Touré a souligné l’importance d’avoir des ligues nationales bien établies dans chaque pays, une condition essentielle pour participer aux qualifications zonales de la Ligue des champions.
Les questions financières ont également été abordées, avec des améliorations notables annoncées par Mme Goshime : cette année, l’équipe championne remportera 600 000 dollars, tandis que les demi-finalistes recevront une part substantielle des gains, permettant aux clubs de mieux investir dans leurs équipes féminines.
En conclusion, les intervenantes ont exprimé un optimisme partagé quant à l’avenir du football féminin en Afrique, avec l’engagement de la CAF à accroître la visibilité, soutenir financièrement les clubs et développer des structures de formation pour favoriser l’épanouissement des talents féminins à l’échelle continentale et internationale.