Produit par Saïd Himmich Belarbi, ce long métrage de 128 minutes nous entraîne dans un récit émouvant où les destins croisés de Mehdi et Hamid, amis de longue date travaillant pour une agence de recouvrement d'argent à Casablanca, se dévoilent au cœur des villages isolés du sud du Maroc.
"Déserts" représente la cinquième incursion cinématographique de Faouzi Bensaidi dans l'univers des longs métrages, s'ajoutant à une liste impressionnante comprenant des œuvres telles que "Volubilis" (2017), "Mort à vendre" (2011), "Quel monde merveilleux" (2006), et "Mille mois" (2003).
Le réalisateur n'en est pas à ses débuts, ayant déjà marqué les esprits avec des courts métrages remarquables, dont "La Falaise" (1997), récompensé à maintes reprises dans des festivals nationaux et internationaux, et "Le Mur" (2000), primé au festival de Cannes, sans oublier "Trajets" (2003), récompensé à la Mostra de Venise.
Aux côtés de "Déserts", trois autres longs métrages arabes rivalisent dans la compétition officielle du festival, présidée par le réalisateur bosniaque Danis Tanovic.
Le Maroc rayonne également dans les activités du festival à travers la compétition "Perspectives du cinéma arabe" avec "Marrokia harra", du réalisateur Hicham Lasri, offrant ainsi une palette riche et diversifiée de l'art cinématographique marocain à l'échelle internationale.
L'ODJ avec lematin
"Déserts" représente la cinquième incursion cinématographique de Faouzi Bensaidi dans l'univers des longs métrages, s'ajoutant à une liste impressionnante comprenant des œuvres telles que "Volubilis" (2017), "Mort à vendre" (2011), "Quel monde merveilleux" (2006), et "Mille mois" (2003).
Le réalisateur n'en est pas à ses débuts, ayant déjà marqué les esprits avec des courts métrages remarquables, dont "La Falaise" (1997), récompensé à maintes reprises dans des festivals nationaux et internationaux, et "Le Mur" (2000), primé au festival de Cannes, sans oublier "Trajets" (2003), récompensé à la Mostra de Venise.
Aux côtés de "Déserts", trois autres longs métrages arabes rivalisent dans la compétition officielle du festival, présidée par le réalisateur bosniaque Danis Tanovic.
Le Maroc rayonne également dans les activités du festival à travers la compétition "Perspectives du cinéma arabe" avec "Marrokia harra", du réalisateur Hicham Lasri, offrant ainsi une palette riche et diversifiée de l'art cinématographique marocain à l'échelle internationale.
L'ODJ avec lematin