Selon les chiffres provisoires fournis dimanche 18 décembre par le cabinet spécialisé Exhibitor Relations, le film du réalisateur James Cameron a enregistré quelque 134 millions de dollars (126 millions d’euros environ) de recettes entre vendredi et dimanche, mais il se trouve légèrement en deçà des prévisions des spécialistes.
A travers le monde, il a également engrangé 300 millions de dollars supplémentaires. Avec plus de 430 millions de dollars de recettes au total, c’est l’une des meilleures entrées au box-office depuis la pandémie de Covid-19.
A travers le monde, il a également engrangé 300 millions de dollars supplémentaires. Avec plus de 430 millions de dollars de recettes au total, c’est l’une des meilleures entrées au box-office depuis la pandémie de Covid-19.
"Complexe et beau"
Les plus grandes stars se pressent dans les salles obscures pour découvrir la suite. A commencer par le réalisateur Guillermo Del Toro.
« J’ai pu le voir très en avance. Et c’est un film incroyable ». A-t-il poursuivi dans un long entretien accordé à AP Entertainment. Mieux encore, il n’aurait aucune critique à émettre.
« Techniquement et artistiquement, c’est si compliqué, complexe et beau. Si vous me donniez le choix entre réaliser une des séquences finales du film et perdre la vie… je préparerais mon cercueil. Parce que c’est sidérant ». A-t-il lâché.
Un voyage de trois heures et douze minutes
De nouveau situé sur la planète Pandora, à des années-lumière de la Terre, ce nouveau volet raconte une histoire se déroulant plus d’une décennie après les événements du premier film. Le marine américain Jake Sully (interprété par Sam Worthington), a effectué sa transition dans le corps d’un Na’vi, le peuple à grande taille et à la peau bleue de Pandora, et travaille avec eux pour protéger leur habitat d’une funeste menace. Tourné comme le premier pour la 3D, le film s’étire sur trois heures et douze minutes.
Rappelons que ce film de James Cameron a battu quelques records et aréalisé un très bon démarrage. Bien que les espérances se trouvaient un peu plus hautes. Malgré tout, il n’y a pas de quoi se montrer déçu.
L'ODJ avec Hespress