Porsche sème la controverse :
Lors de la présentation du tout nouvel et entièrement électrique Porsche Macan, Meschke a alimenté le débat en déclarant ouvertement que « beaucoup de discussions en ce moment autour de la fin des moteurs à combustion » laissent place à la possibilité qu'elle soit reportée. Cette révélation intervient dans un contexte où les ventes de voitures électriques ont connu un ralentissement notable depuis la fin de l'année dernière, forçant certains constructeurs à ajuster leur production en conséquence.
Plusieurs facteurs contribuent à l'opinion critique de Meschke. Les prix élevés des véhicules électriques par rapport à leurs homologues thermiques, combinés aux défis persistants liés au déploiement de réseaux de recharge efficaces, alimentent le scepticisme des consommateurs européens. En Allemagne, par exemple, l'arrêt de la prime à l'achat a accentué cette tendance.
Cependant, la Belgique semble être une exception, avec une adoption continue de la voiture électrique, en particulier dans le secteur des voitures de société, où les incitations fiscales restent attractives. Cette singularité belge pourrait influencer la dynamique du marché dans les années à venir.
À noter également que Porsche maintient ses investissements dans les carburants synthétiques, les "e-fuels", et a exprimé le souhait de prolonger leur utilisation au-delà de 2035. Des manoeuvres qui suscitent des interrogations sur le rôle du lobbying dans cette remise en question de l'interdiction des moteurs à combustion.
Plusieurs facteurs contribuent à l'opinion critique de Meschke. Les prix élevés des véhicules électriques par rapport à leurs homologues thermiques, combinés aux défis persistants liés au déploiement de réseaux de recharge efficaces, alimentent le scepticisme des consommateurs européens. En Allemagne, par exemple, l'arrêt de la prime à l'achat a accentué cette tendance.
Cependant, la Belgique semble être une exception, avec une adoption continue de la voiture électrique, en particulier dans le secteur des voitures de société, où les incitations fiscales restent attractives. Cette singularité belge pourrait influencer la dynamique du marché dans les années à venir.
À noter également que Porsche maintient ses investissements dans les carburants synthétiques, les "e-fuels", et a exprimé le souhait de prolonger leur utilisation au-delà de 2035. Des manoeuvres qui suscitent des interrogations sur le rôle du lobbying dans cette remise en question de l'interdiction des moteurs à combustion.