A écouter en podcast :
Voilà un nouveau temps que j'invente à cet instant pour enrichir aussi bien la conjugaison que la langue française que j'adore par sa musicalité et son aisance, quand bien même ne soit-elle pas la langue des sciences et des technologies. Le «passé permanent» traduit pour moi la vitesse phénoménale du temps qui rend obsolète, caduque, le temps présent, l'information du présent pour l'installer à la vitesse de la lumière, dans le passé.
Rédigé par Najib MIKOU le Samedi 7 Novembre 2020 sur www.lopinion.ma