Des idées et informations controversées circulent aux quatre coins du monde, s’expliquant par le flou ou manque de clarté et de communication qui émane des scientifiques et organisations internationales qui avaient, il y a peu de temps une crédibilité parfois démesurée. Ajoutées aux défaillances et faiblesses au niveau de la prise de décisions, à l’insuffisance d’expérimentation « pondérée », dans le temps et dans l’espace, de la part des chercheurs, à l’ignorance et à l’analphabétisme, dans quelques cas de figure, la problématique est de taille et tourne en dérision, sans équivoque, tous les pays.
Plusieurs intervenants se mettent dans ce dossier, « entrent dans la danse » : décideurs, scientifiques, experts, chercheurs, naturopathes, médecins…, pensant étouffer le brouhaha alors qu’ils ne font que se brouiller les pistes. Quel gâchis !
Il n’y a aucune pertinence, ni objectivité ou véritable ligne directrice dans les discours officiels ou en matière de stratégies. D’ailleurs, le Maroc dont le chef de l’exécutif se vantait être pionnier dans sa gestion de la covid 19 se retrouve hors norme. En effet, dans le classement des pays africains en matière de gestion de la pandémie de la covid 19 (performance) par Lowy Institute, notre pays se retrouve au 68e rang mondial, avec un score de 37,1 points et 18e au rang africain.
La première saison de la crise sanitaire tire sa révérence avec ses propres héros virtuels, infinitésimaux où l’humain a perdu la bataille.
Pour cette deuxième édition, les « personnages » principaux fictifs (mécanismes ou outils) qui entrent en ligne sont le variant et le vaccin.
Variant britannique, sud-africain, brésilien ou autre ; contre ; vaccin Astrazeneca, Sinopharm et la liste promet d’être longue. Autre saison, autre termes.
La bataille s’annonce rude avec ces vaccins à la va-vite et où le doute s’installe.
C’est pour quand une réelle sérénité ?
Bouteina BENNANI
Plusieurs intervenants se mettent dans ce dossier, « entrent dans la danse » : décideurs, scientifiques, experts, chercheurs, naturopathes, médecins…, pensant étouffer le brouhaha alors qu’ils ne font que se brouiller les pistes. Quel gâchis !
Il n’y a aucune pertinence, ni objectivité ou véritable ligne directrice dans les discours officiels ou en matière de stratégies. D’ailleurs, le Maroc dont le chef de l’exécutif se vantait être pionnier dans sa gestion de la covid 19 se retrouve hors norme. En effet, dans le classement des pays africains en matière de gestion de la pandémie de la covid 19 (performance) par Lowy Institute, notre pays se retrouve au 68e rang mondial, avec un score de 37,1 points et 18e au rang africain.
La première saison de la crise sanitaire tire sa révérence avec ses propres héros virtuels, infinitésimaux où l’humain a perdu la bataille.
Pour cette deuxième édition, les « personnages » principaux fictifs (mécanismes ou outils) qui entrent en ligne sont le variant et le vaccin.
Variant britannique, sud-africain, brésilien ou autre ; contre ; vaccin Astrazeneca, Sinopharm et la liste promet d’être longue. Autre saison, autre termes.
La bataille s’annonce rude avec ces vaccins à la va-vite et où le doute s’installe.
C’est pour quand une réelle sérénité ?
Bouteina BENNANI