Une année qui s’ajoute au chômage des uns, au célibat d’autres, faute d’un emploi stable et de la capacité financière de fonder un foyer, dans l’attente de la célébration d’un mariage ou de retrouvailles des membres de la famille dispersés aux quatre coins du monde…
Autant de si qui font des destins conditionnés et entravés par un microscopique virus qui n’a pas encore fini de faire ses siennes, mais qui donne des leçons aux uns et aux autres. Il apprend aux jeunes qu’il faut rire tant que c’est possible, qu’il faut rêver, encore et encore, quitte à ce que souhaits et rêves ne se réalisent pas…et à survivre dans les pires des conditions.
Nos jeunes, quoique leurs attentes et rêves soient parfois extravagants ou au dessus de leurs possibilités « humaines », ont appris en ces deux années d’aléas à se contrôler, à rêver moins grand qu’avant, à ne pas perdre patience et à espérer des jours meilleurs.
Ils ont changé au fil des temps, nouvelles technologies et mondialisation aidant. Leur bien-être est perçu autrement, la crise sanitaire ayant changé la donne. Ces jeunes sont de plus en plus dépendants de leurs parents, ce qui rappelle l’époque d’autrefois, où plusieurs familles habitaient dans la même résidence.
Selon l’enquête de l’ONDH, plus de huit jeunes marocains sur dix sont peu satisfaits de leur niveau de vie. Ils aspirent à des conditions socio-économiques meilleures que celles de leurs parents, à une prise en charge optimale côté santé, à une protection sociale, à une bonne qualité de vie…
Des besoins à même de leur assurer intégration économique et sociale, épanouissement et insertion économique qui reste difficile et longue. Les jeunes instruits ne veulent plus subir le sort des « diplômés chômeurs » et aspirent à la dignité et à la citoyenneté.
Leurs perceptions de la vie, leurs espérances et leurs attentes ont d’ailleurs été mesurés dans le rapport de l’ONDH fin 2021, ce qui a permis d’avoir une idée sur leur maturité. Ils ne cherchent depuis la crise sanitaire que l’essentiel, à savoir un travail décent et construire une vie sereine.
Même le concept « jeune » a changé. Pas mal de choses superflues ont perdu leurs valeurs d’antan, même les fêtes de fin d’année ont perdu leur attrait, entre peur de la contagion et restrictions sanitaires.
Qui sait si, à la même date, l’année prochaine, seront dissipés ou pas tous ces nuages…
Autant de si qui font des destins conditionnés et entravés par un microscopique virus qui n’a pas encore fini de faire ses siennes, mais qui donne des leçons aux uns et aux autres. Il apprend aux jeunes qu’il faut rire tant que c’est possible, qu’il faut rêver, encore et encore, quitte à ce que souhaits et rêves ne se réalisent pas…et à survivre dans les pires des conditions.
Nos jeunes, quoique leurs attentes et rêves soient parfois extravagants ou au dessus de leurs possibilités « humaines », ont appris en ces deux années d’aléas à se contrôler, à rêver moins grand qu’avant, à ne pas perdre patience et à espérer des jours meilleurs.
Ils ont changé au fil des temps, nouvelles technologies et mondialisation aidant. Leur bien-être est perçu autrement, la crise sanitaire ayant changé la donne. Ces jeunes sont de plus en plus dépendants de leurs parents, ce qui rappelle l’époque d’autrefois, où plusieurs familles habitaient dans la même résidence.
Selon l’enquête de l’ONDH, plus de huit jeunes marocains sur dix sont peu satisfaits de leur niveau de vie. Ils aspirent à des conditions socio-économiques meilleures que celles de leurs parents, à une prise en charge optimale côté santé, à une protection sociale, à une bonne qualité de vie…
Des besoins à même de leur assurer intégration économique et sociale, épanouissement et insertion économique qui reste difficile et longue. Les jeunes instruits ne veulent plus subir le sort des « diplômés chômeurs » et aspirent à la dignité et à la citoyenneté.
Leurs perceptions de la vie, leurs espérances et leurs attentes ont d’ailleurs été mesurés dans le rapport de l’ONDH fin 2021, ce qui a permis d’avoir une idée sur leur maturité. Ils ne cherchent depuis la crise sanitaire que l’essentiel, à savoir un travail décent et construire une vie sereine.
Même le concept « jeune » a changé. Pas mal de choses superflues ont perdu leurs valeurs d’antan, même les fêtes de fin d’année ont perdu leur attrait, entre peur de la contagion et restrictions sanitaires.
Qui sait si, à la même date, l’année prochaine, seront dissipés ou pas tous ces nuages…
Magazine créé avec Madmagz.