Le changement climatique fréquent peut jouer un mauvais tour à l'économie marocaine en entravant la mise en oeuvre de plusieurs projets. De là, Nadia Fettah, ministre de l'économie et des finances déclare que le Maroc doit adapter son économie pour faire face à la menace croissante du changement climatique.
Marquée par la sécheresse, l'année 2022 est également l'année où, d'après la déclaration de Nadia Fettah, " nous avons décidé que nous n'avions pas besoin de plans d'action pour des années spécifiques, mais d'une vision à long terme"
Ainsi, ce changement climatique nécessite une accélération des investissements dans les usines de dessalement, les barrages et les systèmes de recyclage de l'eau, qui se fera par le biais de partenariats public-privé. Le coût de l'eau pour les ménages sera subventionné, tandis que l'industrie et les autres gros utilisateurs paieront un "prix correct", déclare la ministre.
Sauf que les conséquences de cette sécheresse ont fait surface l'année dernière, avec une diminution de la récolte de céréales, en plus de la guerre entre la Russie et l'Ukraine entraînant le gouvernement à payer des prix plus élevés pour le blé et l'énergie, et à augmenter les subventions.
Marquée par la sécheresse, l'année 2022 est également l'année où, d'après la déclaration de Nadia Fettah, " nous avons décidé que nous n'avions pas besoin de plans d'action pour des années spécifiques, mais d'une vision à long terme"
Ainsi, ce changement climatique nécessite une accélération des investissements dans les usines de dessalement, les barrages et les systèmes de recyclage de l'eau, qui se fera par le biais de partenariats public-privé. Le coût de l'eau pour les ménages sera subventionné, tandis que l'industrie et les autres gros utilisateurs paieront un "prix correct", déclare la ministre.
Sauf que les conséquences de cette sécheresse ont fait surface l'année dernière, avec une diminution de la récolte de céréales, en plus de la guerre entre la Russie et l'Ukraine entraînant le gouvernement à payer des prix plus élevés pour le blé et l'énergie, et à augmenter les subventions.
L'économie marocaine en progrès malgré les défis
Suite à des années de précipitations inférieures à la moyenne, Mme Fettah nous fait apprendre qu'il y avait des moments en 2022 où doter tout le monde d'eau potable semblait incertain.
Malgré l'ouverture des entreprises agricoles sur l'utilisation des méthodes d'irrigation modernes pour économiser l'eau, la croissance économique a longtemps été liée aux précipitations étant donné que le tiers de la population travaille dans l'agriculture, y compris les petits agriculteurs qui fournissent le marché intérieur de céréales.
Mais ce n'est pas pour autant que l'économie marocaine n'avancera pas. Selon la Banque mondiale, l’économie marocaine a progressé de 1,2% en 2022, contre 7,9% un an plus tôt. La banque s’attend à une croissance de 3,1 % en 2023.
Malgré l'ouverture des entreprises agricoles sur l'utilisation des méthodes d'irrigation modernes pour économiser l'eau, la croissance économique a longtemps été liée aux précipitations étant donné que le tiers de la population travaille dans l'agriculture, y compris les petits agriculteurs qui fournissent le marché intérieur de céréales.
Mais ce n'est pas pour autant que l'économie marocaine n'avancera pas. Selon la Banque mondiale, l’économie marocaine a progressé de 1,2% en 2022, contre 7,9% un an plus tôt. La banque s’attend à une croissance de 3,1 % en 2023.
Vers les sources vertes
Il est important de mentionner l'intérêt croissant des investisseurs pour les énergies renouvelables, comme l'énergie éolienne et l'hydrogène vert. D'autant plus que le royaume produit le tiers de son électricité à partir de sources vertes.