Ces interruptions nous semblent tout à fait normales : nous voulons que la technologie nous aide dans nos vies remplies, en s'assurant qu'on ne rate ni rendez-vous ni messages importants.
Mais nos corps ont un avis différent: ces alertes constantes font passer nos hormones de stress à l'action, déclenchant notre réaction de combat ou de fuite...
Cependant, le smartphone est à l'origine d'une fuite de cerveau en mobilisant des ressources de ce dernier et le simple fait d'avoir un téléphone à portée de vue ou facilement accessible réduit la capacité de l'individu à se concentrer et à effectuer des tâches.
Plus nous avons de tâches à accomplir, plus nous devons choisir comment nous voulons utiliser notre précieux pouvoir cérébral. Cela justifie le fait que nous puissions transférer une partie de notre charge de travail supplémentaire à nos téléphones ou à nos assistants numériques.
Mais cela représente un inconvénient, car en déléguant des tâches de réflexion à nos appareils pourrait non seulement rendre notre cerveau plus malade, mais aussi plus paresseux.
Il est donc important de comprendre comment les smartphones affectent la psychologie humaine, les smartphones altéreront la concentration, leur simple présence réduisant massivement l'attention des utilisateurs et utilisatrices, par peur de manquer quelque chose sur les fils d'actualité constamment actualisés.
Il faudra donc une remise en question importante des utilisateurs pour revoir leur façon d’appréhender ce compagnon. Le smartphone est avant tout un outil, il faut donc l’utiliser en tant que tel.
Mais nos corps ont un avis différent: ces alertes constantes font passer nos hormones de stress à l'action, déclenchant notre réaction de combat ou de fuite...
Cependant, le smartphone est à l'origine d'une fuite de cerveau en mobilisant des ressources de ce dernier et le simple fait d'avoir un téléphone à portée de vue ou facilement accessible réduit la capacité de l'individu à se concentrer et à effectuer des tâches.
Plus nous avons de tâches à accomplir, plus nous devons choisir comment nous voulons utiliser notre précieux pouvoir cérébral. Cela justifie le fait que nous puissions transférer une partie de notre charge de travail supplémentaire à nos téléphones ou à nos assistants numériques.
Mais cela représente un inconvénient, car en déléguant des tâches de réflexion à nos appareils pourrait non seulement rendre notre cerveau plus malade, mais aussi plus paresseux.
Il est donc important de comprendre comment les smartphones affectent la psychologie humaine, les smartphones altéreront la concentration, leur simple présence réduisant massivement l'attention des utilisateurs et utilisatrices, par peur de manquer quelque chose sur les fils d'actualité constamment actualisés.
Il faudra donc une remise en question importante des utilisateurs pour revoir leur façon d’appréhender ce compagnon. Le smartphone est avant tout un outil, il faut donc l’utiliser en tant que tel.
L’idéal serait qu’il ne se substitue pas à un livre par exemple, à une bonne soirée entre amis, à des rencontres physiques et non virtuelles. Sans compter que se détacher un peu de cette technologie permet à l’esprit de se réapproprier son environnement, de penser, de réfléchir, de contempler, bref de vivre.