La beauté des choses imparfaites, impermanentes et incomplètes. C’est la définition simpliste du Wabi-Sabi, mais le sens de cette philosophie de vie est plus profond qu’une simple appréciation des choses. Deux principes s’entremêlent : le Wabi, qui fait référence à la modestie et à la plénitude ; et le Sabi, qui désigne cette sensation éprouvée lorsqu’un individu observe les choses patinées par le temps. Bref, un état de sobriété maîtrisée où l’individu arrive à déceler et à apprécier la beauté des choses imparfaites et humbles.
L’imperfection devient ainsi un élément important qui contribue à l’harmonie de la vie. Cette harmonie, longtemps mal interprétée comme l’absence de défauts, trouve sa véritable essence dans les petites imperfections, les choses impermanentes comme les traces de vieillissement, le sifflet d’une théière, le rire d’un bébé, le bruit des feuilles d’arbres écrasées en automne, l’odeur d’un livre ancien, le goût d’amertume de la dernière gorgée de café refroidi, le goût salé des larmes. Tous ces détails et bien d’autres que certains considèrent comme des imperfections et que d’autres ignorent, sont l’essence du Wabi-Sabi.
C’est un remède pour la sensation d’insatisfaction résultant de la quête incessante de la perfection que l’on observe chez la majorité actuellement. En adoptant cette philosophie, la personne se donne le droit à l’erreur, ce qui permet d’apprendre et de profiter des choses simples, des petits plaisirs. Le Wabi-Sabi favorise la souplesse au lieu du perfectionnisme, l’acceptation au lieu du contrôle et de la résistance.
Dans un monde où l’individu est constamment détourné de l’essentiel par un nombre infini de distractions, le Wabi-Sabi propose une pause pour contempler l’entourage. Peut-être que vous n’êtes pas conscient que la toile dans votre chambre est très belle, que la photo de famille rappelle un souvenir agréable, que la boule de neige vous a été offerte par un ami cher. Un mode de vie qui nous ramène à l’essentiel, loin d’être dépourvu de beauté et de magie.
Le Wabi-Sabi fait de plus en plus d’adeptes. Êtes-vous prêt à l’adopter ?
L’imperfection devient ainsi un élément important qui contribue à l’harmonie de la vie. Cette harmonie, longtemps mal interprétée comme l’absence de défauts, trouve sa véritable essence dans les petites imperfections, les choses impermanentes comme les traces de vieillissement, le sifflet d’une théière, le rire d’un bébé, le bruit des feuilles d’arbres écrasées en automne, l’odeur d’un livre ancien, le goût d’amertume de la dernière gorgée de café refroidi, le goût salé des larmes. Tous ces détails et bien d’autres que certains considèrent comme des imperfections et que d’autres ignorent, sont l’essence du Wabi-Sabi.
C’est un remède pour la sensation d’insatisfaction résultant de la quête incessante de la perfection que l’on observe chez la majorité actuellement. En adoptant cette philosophie, la personne se donne le droit à l’erreur, ce qui permet d’apprendre et de profiter des choses simples, des petits plaisirs. Le Wabi-Sabi favorise la souplesse au lieu du perfectionnisme, l’acceptation au lieu du contrôle et de la résistance.
Dans un monde où l’individu est constamment détourné de l’essentiel par un nombre infini de distractions, le Wabi-Sabi propose une pause pour contempler l’entourage. Peut-être que vous n’êtes pas conscient que la toile dans votre chambre est très belle, que la photo de famille rappelle un souvenir agréable, que la boule de neige vous a été offerte par un ami cher. Un mode de vie qui nous ramène à l’essentiel, loin d’être dépourvu de beauté et de magie.
Le Wabi-Sabi fait de plus en plus d’adeptes. Êtes-vous prêt à l’adopter ?