Liaison Historique sous la Mer:
Selon un rapport de "Newsweek", ce projet monumental a récemment été relancé avec des avancées significatives en termes de planification et d'études techniques. D'après le journal, le tunnel, qui figure parmi les projets les plus complexes jamais conçus, s'étendra sur environ 27 kilomètres entre Punta Paloma en Espagne et Malabata au Maroc.
Initialement envisagée dans les années 80, l'idée d'un pont a été abandonnée en 1996 au profit d'un tunnel, qui semble désormais plus viable pour des raisons techniques et environnementales. Ce tunnel prévoit de faciliter non seulement le transport de passagers mais aussi le transit de marchandises, avec des trains navettes prévus pour les véhicules et les camions, en plus des services passagers classiques.
Le projet est supervisé par la société espagnole "SECEGSA", chargée d'explorer la faisabilité de cette liaison stratégique. Malgré l'enthousiasme et l'engagement des gouvernements espagnol et marocain, des défis majeurs subsistent. Les experts mettent en garde contre les potentielles complexités qui pourraient retarder la réalisation du tunnel jusqu'après 2040.
Le gouvernement espagnol a d'ailleurs intensifié son soutien financier en allouant récemment plus de 1,6 million de dollars pour avancer les études nécessaires, marquant ainsi le plus grand investissement depuis l'émergence de l'idée.
Ce projet transfrontalier ne se contente pas de promettre une amélioration significative des échanges commerciaux et une plus grande fluidité dans les déplacements entre les deux continents ; il symbolise également un pas de géant vers l'intégration économique et culturelle entre l'Afrique du Nord et l'Europe.
Initialement envisagée dans les années 80, l'idée d'un pont a été abandonnée en 1996 au profit d'un tunnel, qui semble désormais plus viable pour des raisons techniques et environnementales. Ce tunnel prévoit de faciliter non seulement le transport de passagers mais aussi le transit de marchandises, avec des trains navettes prévus pour les véhicules et les camions, en plus des services passagers classiques.
Le projet est supervisé par la société espagnole "SECEGSA", chargée d'explorer la faisabilité de cette liaison stratégique. Malgré l'enthousiasme et l'engagement des gouvernements espagnol et marocain, des défis majeurs subsistent. Les experts mettent en garde contre les potentielles complexités qui pourraient retarder la réalisation du tunnel jusqu'après 2040.
Le gouvernement espagnol a d'ailleurs intensifié son soutien financier en allouant récemment plus de 1,6 million de dollars pour avancer les études nécessaires, marquant ainsi le plus grand investissement depuis l'émergence de l'idée.
Ce projet transfrontalier ne se contente pas de promettre une amélioration significative des échanges commerciaux et une plus grande fluidité dans les déplacements entre les deux continents ; il symbolise également un pas de géant vers l'intégration économique et culturelle entre l'Afrique du Nord et l'Europe.