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Après la pluie de bombes sur Gaza, début août, c’est le beau temps entre la Turquie et Israël. Les relations diplomatiques entre les deux pays sont rétablies, avec échange d’ambassadeurs.
Le moment est, semble-t-il, « propice » pour la reprise de bonnes relations entre le régime islamiste d’Ankara et celui de Tel Aviv.
L’armée israélienne vient, en effet, de reconnaître le meurtre de cinq enfants palestiniens, lors d’un raid aérien sur un cimetière (!), le 7 août.
De toute évidence, les Israéliens en veulent tellement aux Palestiniens qu’ils tiennent à les tuer une deuxième fois, dans leurs tombes.
Des fois que les Palestiniens décédés seraient tentés de demander à Yahvé (Dieu en hébreu) leur propre Etat souverain dans l’au-delà.
D’ailleurs, quelle idée que de se faire enterrer dans un cimetière appelé Al Faluja ! N’est-ce pas le nom de la ville irakienne qui a été écrasée sous les bombes et les obus américains, deux fois de suite en 2004, faisant ainsi plus de deux mille morts ? C’est évidemment prémonitoire qu’un tel endroit est destiné à subir un déluge de feu.
En fait, l’armée israélienne a bel et bien tenté de rejeter la responsabilité du meurtre des cinq enfants palestiniens sur le Jihad islamique.
Ce n’est qu’en prenant conscience que personne ne pouvait accorder crédit à un mensonge aussi flagrant que l’armée israélienne a dû faire contre mauvaise fortune bon cœur et avouer les infanticides commis.
Tout ça pour dire que le Sultan Erdogan, dans toute sa splendeur islamiste, ne pouvait rêver « meilleur » moment pour rendre publique la réconciliation de son pays avec Israël.
Il n’y a jamais eu, en réalité, de véritable brouille entre la Turquie et Israël. Les discours enflammés des responsables islamistes turques à ce sujet n’étaient destinés qu’aux pauvres naïfs du monde arabe prêts à avaler n’importe quel bobard.
En 2018, année de la rupture des relations diplomatiques entre la Turquie et Israël, suite à la mort d’une cinquantaine de Palestiniens lors de la « Marche du retour », le volume des échanges commerciaux entre les deux pays était de 6,2 milliards de dollars.
Ce chiffre a progressé, en 2021, jusqu’à 6,7 milliards de dollars. La Turquie est le 5ème fournisseur d’Israël et son 7ème client.
Le Sultan Erdogan sait aussi pouvoir compter sur les partis islamistes du monde arabe pour détourner le regard, quand il commerce avec les Israéliens.
Malheur aux gouvernements arabes quand ils viennent à entretenir des relations diplomatiques et commerciales avec Israël, ce que les islamistes considèrent comme une trahison de la cause palestinienne.
Par contre, quand il s’agit de la Turquie islamiste du Sultan Erdogan, de telles relations avec l’entité sioniste deviennent automatiquement « hallal » (licites).
Vous en êtes choqués ? Cela veut dire que vous n’êtes pas un frère musulman. Les voies de la confrérie islamiste sont aussi impénétrables que les relations entretenues, et récemment révélées, entre Hassan Banna, fondateur du mouvement en 1928, et Aleister Crowley, le plus grand mage sataniste du 20ème siècle.
Sur l’emblème des frères musulmans, il est écrit, sous deux sabres croisés, « préparez-vous », sans plus de précision. On sait désormais que cela signifie se préparer à agir ostensiblement de la manière que l’on défend aux autres.
Faîtes ce que je dis, pas ce que je fais… Amen !
Le moment est, semble-t-il, « propice » pour la reprise de bonnes relations entre le régime islamiste d’Ankara et celui de Tel Aviv.
L’armée israélienne vient, en effet, de reconnaître le meurtre de cinq enfants palestiniens, lors d’un raid aérien sur un cimetière (!), le 7 août.
De toute évidence, les Israéliens en veulent tellement aux Palestiniens qu’ils tiennent à les tuer une deuxième fois, dans leurs tombes.
Des fois que les Palestiniens décédés seraient tentés de demander à Yahvé (Dieu en hébreu) leur propre Etat souverain dans l’au-delà.
D’ailleurs, quelle idée que de se faire enterrer dans un cimetière appelé Al Faluja ! N’est-ce pas le nom de la ville irakienne qui a été écrasée sous les bombes et les obus américains, deux fois de suite en 2004, faisant ainsi plus de deux mille morts ? C’est évidemment prémonitoire qu’un tel endroit est destiné à subir un déluge de feu.
En fait, l’armée israélienne a bel et bien tenté de rejeter la responsabilité du meurtre des cinq enfants palestiniens sur le Jihad islamique.
Ce n’est qu’en prenant conscience que personne ne pouvait accorder crédit à un mensonge aussi flagrant que l’armée israélienne a dû faire contre mauvaise fortune bon cœur et avouer les infanticides commis.
Tout ça pour dire que le Sultan Erdogan, dans toute sa splendeur islamiste, ne pouvait rêver « meilleur » moment pour rendre publique la réconciliation de son pays avec Israël.
Il n’y a jamais eu, en réalité, de véritable brouille entre la Turquie et Israël. Les discours enflammés des responsables islamistes turques à ce sujet n’étaient destinés qu’aux pauvres naïfs du monde arabe prêts à avaler n’importe quel bobard.
En 2018, année de la rupture des relations diplomatiques entre la Turquie et Israël, suite à la mort d’une cinquantaine de Palestiniens lors de la « Marche du retour », le volume des échanges commerciaux entre les deux pays était de 6,2 milliards de dollars.
Ce chiffre a progressé, en 2021, jusqu’à 6,7 milliards de dollars. La Turquie est le 5ème fournisseur d’Israël et son 7ème client.
Le Sultan Erdogan sait aussi pouvoir compter sur les partis islamistes du monde arabe pour détourner le regard, quand il commerce avec les Israéliens.
Malheur aux gouvernements arabes quand ils viennent à entretenir des relations diplomatiques et commerciales avec Israël, ce que les islamistes considèrent comme une trahison de la cause palestinienne.
Par contre, quand il s’agit de la Turquie islamiste du Sultan Erdogan, de telles relations avec l’entité sioniste deviennent automatiquement « hallal » (licites).
Vous en êtes choqués ? Cela veut dire que vous n’êtes pas un frère musulman. Les voies de la confrérie islamiste sont aussi impénétrables que les relations entretenues, et récemment révélées, entre Hassan Banna, fondateur du mouvement en 1928, et Aleister Crowley, le plus grand mage sataniste du 20ème siècle.
Sur l’emblème des frères musulmans, il est écrit, sous deux sabres croisés, « préparez-vous », sans plus de précision. On sait désormais que cela signifie se préparer à agir ostensiblement de la manière que l’on défend aux autres.
Faîtes ce que je dis, pas ce que je fais… Amen !