Ces données font aussi état d'une production céréalière de 32 millions de quintaux repartie par espace, entre 17,6 millions Qx de blé tendre, 7,5 millions Qx de blé dur et 6,9 millions Qx d'orge.
Aussi, est-il indiqué, de même source, que par espace, plus de 60 % de la production provienne des zones favorables des régions de Fès-Meknès et de Rabat-Salé-Kénitra. Et ce, au moment où les céréales en zones irriguées, suite à la superficie irriguée limitée en céréales et aux restrictions d’irrigation dans les périmètres de la grande hydraulique, n’ont contribué que d’environ 20 % à la production globale.
Aussi, est-il indiqué, de même source, que par espace, plus de 60 % de la production provienne des zones favorables des régions de Fès-Meknès et de Rabat-Salé-Kénitra. Et ce, au moment où les céréales en zones irriguées, suite à la superficie irriguée limitée en céréales et aux restrictions d’irrigation dans les périmètres de la grande hydraulique, n’ont contribué que d’environ 20 % à la production globale.
Qu'en est-il des cultures printanières ?
Toujours est-il qu'outre les céréales, les autres cultures affichent un état favorable.
Le département de l'Agriculture précise que, de manière globale, les pluies cumulées depuis le début de mars ont contribué au rétablissement du couvert végétal et au bon déroulement des cultures printanières.
Au département de l'Agriculture, il est prévu que la betterave à sucre enregistre de bonnes performances de rendement. Idem pour les agrumes, les oliviers et les rosacées en stade de floraison qui affichent de bonnes perspectives de production, quoique tributaires de l’évolution des températures du mois de mai et juin.
Pour ce département, le tout dernier épisode pluvieux de mars et avril avait favorisé une bonne installation des cultures de printemps et des cultures maraîchères de saison ainsi que leur évolution dans de bonnes conditions.
Ajouter à cela, les bons chiffres enregistrés à l'export et l’amélioration des parcours et des ressources fourragères de la saison printanière, le département de l'Agriculture estime que le PIB agricole enregistrerait, au grand maximum, une baisse tournant autour de 14 % dont l'impact sur le PIB global ne devrait pas dépasser -1,7 points.
Le département de l'Agriculture précise que, de manière globale, les pluies cumulées depuis le début de mars ont contribué au rétablissement du couvert végétal et au bon déroulement des cultures printanières.
Au département de l'Agriculture, il est prévu que la betterave à sucre enregistre de bonnes performances de rendement. Idem pour les agrumes, les oliviers et les rosacées en stade de floraison qui affichent de bonnes perspectives de production, quoique tributaires de l’évolution des températures du mois de mai et juin.
Pour ce département, le tout dernier épisode pluvieux de mars et avril avait favorisé une bonne installation des cultures de printemps et des cultures maraîchères de saison ainsi que leur évolution dans de bonnes conditions.
Ajouter à cela, les bons chiffres enregistrés à l'export et l’amélioration des parcours et des ressources fourragères de la saison printanière, le département de l'Agriculture estime que le PIB agricole enregistrerait, au grand maximum, une baisse tournant autour de 14 % dont l'impact sur le PIB global ne devrait pas dépasser -1,7 points.