Selon un communiqué officiel du ministère, cette carte compile les informations sur les sites archéologiques déjà connus ou publiés, fournies par l'Institut national des sciences de l'Archéologie et du Patrimoine ainsi que la Direction du Patrimoine culturel. Actuellement, elle inclut une série de sites répartis dans différentes régions telles que Dakhla, Essaouira, Casablanca, Rabat-Salé-Kénitra, Asilah et l’Oriental. À terme, elle intégrera également des sites des régions de Tan Tan, Zagora, Tamanart, Rehamna et Béni Mellal-Khénifra.
Le communiqué précise que la carte est le fruit des découvertes effectuées lors de recherches programmées et d'inventaires menés par les équipes scientifiques des institutions mentionnées. En parallèle, le ministère développe un projet de cartes régionales numériques prévisionnelles, novateur en Afrique, destinées à surveiller la dégradation des sites archéologiques et à identifier les zones nécessitant des prospections approfondies.
En collaboration avec l'ANCFCC, des atlas régionaux sont en cours de réalisation pour soutenir la création de plans touristiques intégrant le patrimoine culturel, y compris celui d'origine archéologique. Le communiqué souligne l'ampleur de cet effort continu de mise à jour de la carte, qui s'enrichira progressivement de nouvelles données publiées.
La carte archéologique représente une ressource scientifique cruciale pour mieux comprendre le patrimoine national. Elle sera mise à disposition des chercheurs et des étudiants, et jouera un rôle essentiel dans l'intégration des sites archéologiques dans les projets d'aménagement du territoire et de développement du tourisme culturel, selon le communiqué officiel.
L'ODJ avec lematin
Le communiqué précise que la carte est le fruit des découvertes effectuées lors de recherches programmées et d'inventaires menés par les équipes scientifiques des institutions mentionnées. En parallèle, le ministère développe un projet de cartes régionales numériques prévisionnelles, novateur en Afrique, destinées à surveiller la dégradation des sites archéologiques et à identifier les zones nécessitant des prospections approfondies.
En collaboration avec l'ANCFCC, des atlas régionaux sont en cours de réalisation pour soutenir la création de plans touristiques intégrant le patrimoine culturel, y compris celui d'origine archéologique. Le communiqué souligne l'ampleur de cet effort continu de mise à jour de la carte, qui s'enrichira progressivement de nouvelles données publiées.
La carte archéologique représente une ressource scientifique cruciale pour mieux comprendre le patrimoine national. Elle sera mise à disposition des chercheurs et des étudiants, et jouera un rôle essentiel dans l'intégration des sites archéologiques dans les projets d'aménagement du territoire et de développement du tourisme culturel, selon le communiqué officiel.
L'ODJ avec lematin