Drapée des couleurs du « berceau de l’humanité », elle a accueilli une célébration festive et instructive, mettant en lumière la diversité et l’héritage ancestral du continent africain. Cet événement, instauré par l’Unesco en 2019, vise à promouvoir les valeurs, les traditions et les contributions culturelles des Africains et des Afro-descendants à travers le monde.
Le Maroc, acteur clé de cet événement, a brillé par une programmation riche et variée. De la musique traditionnelle aux délices culinaires, en passant par des débats captivants, le Royaume a démontré son attachement profond à ses racines africaines.
L’ambassadeur délégué permanent du Maroc auprès de l’Unesco, Samir Addahre, a exprimé avec fierté l’engagement du pays dans cette initiative. « L’Afrique, c’est notre continent. Nous sommes profondément ancrés dans cette culture africaine », a-t-il déclaré. Selon lui, ces célébrations répondent à une « nouvelle réalité » marquée par un éveil de conscience porté par une jeunesse africaine en quête de reconnaissance et d’émancipation.
Cette journée mondiale revêt une importance cruciale dans un contexte où les récits coloniaux et postcoloniaux continuent d’influencer la perception de l’identité africaine. L’ambassadeur a souligné la nécessité d’avancer vers une reconnaissance globale des cultures africaines et afro-descendantes, tout en saluant l’initiative de l’Unesco d’avoir officialisé cette journée le 24 janvier.
Le thème de cette édition, « Préserver et promouvoir les héritages ancestraux : un élan de fraternité intergénérationnelle », a mis en avant la transmission des savoirs et des traditions entre générations. La présidente de la 42ᵉ session de la Conférence générale de l’Unesco, Simona-Mirela Miculescu, a rappelé que cet héritage est une source précieuse de sagesse et de résilience, porteuse de valeurs universelles telles que la paix et la cohésion sociale.
L’événement a également été marqué par un panel animé par Ismail Daoud, communicant marocain spécialiste de l’Afrique. Il a souligné l’importance pour le continent de s’imposer dans la « guerre des récits » culturels sur la scène mondiale. Pour lui, la culture est un outil stratégique aussi puissant que l’économie ou le commerce.
Enfin, les festivités ont été ponctuées par des performances musicales vibrantes, notamment les rythmes envoûtants de la Dakka Marrakchia, et par l’annonce des lauréats du prix JMCA-Kékéli 2025, honorant ceux qui œuvrent pour la promotion de la culture africaine. Cet événement illustre parfaitement le rôle fédérateur de la culture comme ciment d’une fraternité universelle.
Le Maroc, acteur clé de cet événement, a brillé par une programmation riche et variée. De la musique traditionnelle aux délices culinaires, en passant par des débats captivants, le Royaume a démontré son attachement profond à ses racines africaines.
L’ambassadeur délégué permanent du Maroc auprès de l’Unesco, Samir Addahre, a exprimé avec fierté l’engagement du pays dans cette initiative. « L’Afrique, c’est notre continent. Nous sommes profondément ancrés dans cette culture africaine », a-t-il déclaré. Selon lui, ces célébrations répondent à une « nouvelle réalité » marquée par un éveil de conscience porté par une jeunesse africaine en quête de reconnaissance et d’émancipation.
Cette journée mondiale revêt une importance cruciale dans un contexte où les récits coloniaux et postcoloniaux continuent d’influencer la perception de l’identité africaine. L’ambassadeur a souligné la nécessité d’avancer vers une reconnaissance globale des cultures africaines et afro-descendantes, tout en saluant l’initiative de l’Unesco d’avoir officialisé cette journée le 24 janvier.
Le thème de cette édition, « Préserver et promouvoir les héritages ancestraux : un élan de fraternité intergénérationnelle », a mis en avant la transmission des savoirs et des traditions entre générations. La présidente de la 42ᵉ session de la Conférence générale de l’Unesco, Simona-Mirela Miculescu, a rappelé que cet héritage est une source précieuse de sagesse et de résilience, porteuse de valeurs universelles telles que la paix et la cohésion sociale.
L’événement a également été marqué par un panel animé par Ismail Daoud, communicant marocain spécialiste de l’Afrique. Il a souligné l’importance pour le continent de s’imposer dans la « guerre des récits » culturels sur la scène mondiale. Pour lui, la culture est un outil stratégique aussi puissant que l’économie ou le commerce.
Enfin, les festivités ont été ponctuées par des performances musicales vibrantes, notamment les rythmes envoûtants de la Dakka Marrakchia, et par l’annonce des lauréats du prix JMCA-Kékéli 2025, honorant ceux qui œuvrent pour la promotion de la culture africaine. Cet événement illustre parfaitement le rôle fédérateur de la culture comme ciment d’une fraternité universelle.