Les autorités de transition maliennes ont indiqué, dans un décret signé par le chef de l'État, le colonel Assimi Goïta, avoir mis en place le « Comité de pilotage du dialogue inter-malien pour la paix et la réconciliation nationale », juste après avoir annoncé, le 26 janvier, la fin de l’Accord d’Alger, conclu en 2015.
Ce comité sera composé d'un président, d'un vice-président, d'un rapporteur général, d'un rapporteur général adjoint et de membres. Son président sera chargé de diriger, coordonner et contrôler les activités du Comité et de rendre compte au président de la transition.
Il aura pour mission d’élaborer les termes de référence du dialogue, de les soumet à la validation d'un atelier national et d’élaborer le rapport final et le rapport d'exécution de sa mission. Ce comité sera, par ailleurs, chargé de la programmation, la coordination et la supervision des différentes activités du dialogue, à l'intérieur et à l'extérieur du Mali, ainsi que la conception et la mise en œuvre du plan de communication.
Ce comité sera composé d'un président, d'un vice-président, d'un rapporteur général, d'un rapporteur général adjoint et de membres. Son président sera chargé de diriger, coordonner et contrôler les activités du Comité et de rendre compte au président de la transition.
Il aura pour mission d’élaborer les termes de référence du dialogue, de les soumet à la validation d'un atelier national et d’élaborer le rapport final et le rapport d'exécution de sa mission. Ce comité sera, par ailleurs, chargé de la programmation, la coordination et la supervision des différentes activités du dialogue, à l'intérieur et à l'extérieur du Mali, ainsi que la conception et la mise en œuvre du plan de communication.