Poème en musique du Dr Anwar CHERKAOUI
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Ton chant éclate et murmure, perle de cristal,
Toi, âme noble de la musique orientale,
Toi, souffle envoûtant qui enivre et débale
Ton murmure, doux et puissant, traverse les âges,
Tu es le cœur brûlant de l'orchestre sacré,
À chaque note, tu portes des secrets murmurés,
Des échos perdus, des amours sans rivages.
Cithare sacrée, gardienne des chansons arabes,
Ton souffle est celui d’un vent chaud et suave,
Sous la lune du Croissant Rouge de Amer, tu vibres,
Douceur rouge, comme un rêve qui s’enivre.
Dans la danse de l’Atlas de Rachidi, tu t’élèves, fière,
ton âme s'illumine,
Et le monde suspend son souffle, car ton rythme s’imprime,
Tes cordes, en arabesques, dessinent la lumière.
Ô Salah Cherki, maître des mains ardentes,
Ton kanoun est un murmure céleste, une prière vibrante,
Pour la Diva Oum Kalthoum, tu as tissé un hymne sacré,
"Ô Prophète, guide-moi" – doux appel vers l'éternité.
Roi Hassan, devant toi, s'inclinait, émerveillé,
Chaque retour dans son royaume, il goûtait à ton art,
Dans le palais résonnait ton kanoun, doux rempart,
Près du luth d’El Bidaoui, son allié depuis le départ
Dors en paix, Salah Cherki, toi l'âme d’un chant sans fin,
Virtuose marocain, étoile d’un art ancien,
Ton kanoun résonne encore, vibrant au-delà des cieux,
Musique éternelle, hommage ultime à ton adieu.
Toi, âme noble de la musique orientale,
Toi, souffle envoûtant qui enivre et débale
Ton murmure, doux et puissant, traverse les âges,
Tu es le cœur brûlant de l'orchestre sacré,
À chaque note, tu portes des secrets murmurés,
Des échos perdus, des amours sans rivages.
Cithare sacrée, gardienne des chansons arabes,
Ton souffle est celui d’un vent chaud et suave,
Sous la lune du Croissant Rouge de Amer, tu vibres,
Douceur rouge, comme un rêve qui s’enivre.
Dans la danse de l’Atlas de Rachidi, tu t’élèves, fière,
ton âme s'illumine,
Et le monde suspend son souffle, car ton rythme s’imprime,
Tes cordes, en arabesques, dessinent la lumière.
Ô Salah Cherki, maître des mains ardentes,
Ton kanoun est un murmure céleste, une prière vibrante,
Pour la Diva Oum Kalthoum, tu as tissé un hymne sacré,
"Ô Prophète, guide-moi" – doux appel vers l'éternité.
Roi Hassan, devant toi, s'inclinait, émerveillé,
Chaque retour dans son royaume, il goûtait à ton art,
Dans le palais résonnait ton kanoun, doux rempart,
Près du luth d’El Bidaoui, son allié depuis le départ
Dors en paix, Salah Cherki, toi l'âme d’un chant sans fin,
Virtuose marocain, étoile d’un art ancien,
Ton kanoun résonne encore, vibrant au-delà des cieux,
Musique éternelle, hommage ultime à ton adieu.
Ce poème est un hommage au kanoun, un instrument à cordes de la musique orientale, et à Salah Cherki, un virtuose marocain reconnu pour sa maîtrise de cet instrument.
Le poème célèbre la beauté et la puissance de la mélodie produite par le kanoun, évoquant sa capacité à traverser les âges et à capturer l'essence de la musique arabe. Le poème décrit le kanoun comme le cœur vibrant des orchestres sacrés, porteur de secrets et de souvenirs, et le lie à des figures emblématiques telles que la diva Oum Kalthoum et feu SM le Roi Hassan, qui appréciaient sa musique. IL rend hommage à Salah Cherki, soulignant son héritage musical éternel et sa contribution à l'art marocain, immortalisée à travers les notes de son kanoun.