Économie marocaine : des prévisions encourageantes malgré les défis
Cette estimation repose sur plusieurs facteurs, notamment une hausse de 5% des impôts et taxes nets de subventions, ainsi qu’une reprise progressive des secteurs clés de l’économie marocaine, tels que l’agriculture, l’industrie et les services.
Après une période marquée par les effets prolongés de la pandémie de Covid-19 et les incertitudes économiques mondiales, ces prévisions témoignent d’une certaine résilience de l’économie marocaine. Cependant, des défis subsistent, notamment en matière d’inflation, de chômage et de gestion des finances publiques.
La croissance prévue découle également d'une dynamique favorable dans les exportations, soutenues par les secteurs de l’automobile, de l’aéronautique et du phosphate. Toutefois, la dépendance du Maroc aux conditions climatiques, en raison du poids de l’agriculture dans son PIB, reste un facteur de vulnérabilité.
À l’échelle internationale, une croissance de 3,8% place le Maroc dans une position relativement favorable par rapport à d’autres économies émergentes. Cependant, des efforts supplémentaires seront nécessaires pour diversifier davantage l’économie et réduire les inégalités sociales.
En conclusion, ces prévisions économiques reflètent un optimisme prudent pour 2025. Le Maroc devra toutefois continuer à mettre en œuvre des réformes structurelles pour consolider cette trajectoire de croissance et garantir une prospérité partagée.
Après une période marquée par les effets prolongés de la pandémie de Covid-19 et les incertitudes économiques mondiales, ces prévisions témoignent d’une certaine résilience de l’économie marocaine. Cependant, des défis subsistent, notamment en matière d’inflation, de chômage et de gestion des finances publiques.
La croissance prévue découle également d'une dynamique favorable dans les exportations, soutenues par les secteurs de l’automobile, de l’aéronautique et du phosphate. Toutefois, la dépendance du Maroc aux conditions climatiques, en raison du poids de l’agriculture dans son PIB, reste un facteur de vulnérabilité.
À l’échelle internationale, une croissance de 3,8% place le Maroc dans une position relativement favorable par rapport à d’autres économies émergentes. Cependant, des efforts supplémentaires seront nécessaires pour diversifier davantage l’économie et réduire les inégalités sociales.
En conclusion, ces prévisions économiques reflètent un optimisme prudent pour 2025. Le Maroc devra toutefois continuer à mettre en œuvre des réformes structurelles pour consolider cette trajectoire de croissance et garantir une prospérité partagée.