Le Général major Khaled Nezzar, ancien chef d’état-major de l’armée nationale populaire et ancien ministre de la défense d’Algérie, est mort, le 29 décembre, à l’âge de 86 ans.
Ce fils de sous-officier de l’armée française, qui a lui-même fait ses classes au sein de l’armée française, avant de déserter pour rejoindre les rangs de l’Armée nationale populaire, en 1958, a été poursuivi en Confédération helvétique, en 2011, pour crimes de guerre, pour ses actes lors de la guerre civile algérienne, durant la « décennie noire », dans les années 90.
Khaled Nezzar a été condamné, par contumace, en septembre 2019, a 20 ans de prison, sous l’accusation de complot et d’atteinte à l’ordre public.
Le 11 décembre de la même année, Khaled Nezzar est rentré en Algérie, sans être inquiété, alors même qu’il était encore « recherché ». Le Général Nezzar était considéré comme l’un des pires dirigeants militaires, parmi les plus sanguinaires, de la junte algérienne.
Ce fils de sous-officier de l’armée française, qui a lui-même fait ses classes au sein de l’armée française, avant de déserter pour rejoindre les rangs de l’Armée nationale populaire, en 1958, a été poursuivi en Confédération helvétique, en 2011, pour crimes de guerre, pour ses actes lors de la guerre civile algérienne, durant la « décennie noire », dans les années 90.
Khaled Nezzar a été condamné, par contumace, en septembre 2019, a 20 ans de prison, sous l’accusation de complot et d’atteinte à l’ordre public.
Le 11 décembre de la même année, Khaled Nezzar est rentré en Algérie, sans être inquiété, alors même qu’il était encore « recherché ». Le Général Nezzar était considéré comme l’un des pires dirigeants militaires, parmi les plus sanguinaires, de la junte algérienne.